Citation n a pas eu
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Une Sélection de 1870 citations et proverbes sur le thème n a pas eu.
1870 citations
Il ne s’agit pas de croire ou ne pas croire aux hasards. Le monde entier est un hasard. J’ai eu un ami qui me disait que je me trompais en pensant comme ça. Mon ami me disait que pour quelqu’un qui voyage en train, le monde n’est pas un hasard, même si le train traverse des territoires inconnus du voyageur, des territoires que le voyageur ne reverra jamais plus de sa vie.
Il y a, chez Dostoïevski ou chez Voltaire un personnage qui dit que si Dieu n'existait pas, les hommes l'auraient inventé. Et je crois profondément que, si l'immortalité n'existe pas, tôt ou tard le grand esprit humain l'inventera.
Il faut lutter contre toute immigration nouvelle : à quatre millions… un peu plus : quatre millions deux cent mille étrangers en France, nous ne pouvons pas héberger toute la misère du monde : ce n'est pas possible. [...]
Les réfugiés, ce n'est pas une quantité statistique, c'est des hommes et des femmes qui vivent à Vénissieux, aux Minguettes, à Villeurbanne, à Chanteloup ou à Mantes-la-Jolie. Et là, il se passe des choses quand ils sont trop nombreux et qu'on se comprend mal entre communautés. C'est pourquoi je pense que nous ne pouvons pas héberger toute la misère du monde, que la France doit rester ce qu'elle est, une terre d'asile politique (…), mais pas plus.Je ne sens pas en moi l'étoffe d'un dieu si petit qu'il soit. Ma faiblesse m'est chère. Je tiens à mon imperfection comme à ma raison d'être.
Sitôt ma “philo” terminée, j'ai eu l'occasion d'une audition. [...] J'ai dû passer une Fable de la Fontaine à un monsieur, c'était pour partir en Allemagne. Vraiment c'est le hasard. Je ne me suis pas réveillé un jour à 14 ans avec 40 de fièvre en me disant 'je vais faire du théâtre'. C'est un peu le hasard, et mon goût plus ou moins inconscient ou subconscient qui m'y a entraîné. Cette audition a été satisfaisante. Grâce aux dieux, comme on dit dans les textes classiques, je n'ai pas pu partir dans cette tournée en Allemagne car les événements qui dirigent les hommes sont intervenus. Et la tournée n'a pas eu lieu car les bombardements étaient tels qu'il n'était plus conscient d'aller faire un tour en Allemagne.
Toutes ces guerres, ces massacres, ces enfants morts de faim, cela ne vous empêche pas de dormir? - - Vous savez... A mon âge, on dort si peu.
Un déiste est un homme qui, dans sa courte existence, n'a pas eu le temps de devenir athée.
Le premier homme qui s'est marié, mon Dieu, il n'y a rien à lui dire: il ne savait pas - mais, vraiment, le deuxième est inexcusable!
Un petit propriétaire français, en juin 40, ne pouvait se décider à mettre le feu à sa maison ou à sa grange. Un kolkhozien n'a pas les mêmes scrupules.
Paris, ville où l'on élabore les idées, et où l'on n'en jouit pas. Lieu où l'on fait toujours la cuisine et où on ne la mange jamais.
Il y avait des catacombes dans ce lycée. On avait très peu d 'armes, quelques revolvers, et on s'entraînait la nuit dans des catacombes profondes à tirer au revolver et pour frimer quelques fois, dans nos blouses grises d'internes, on venait avec un flingue dans la poche. Mais moi je n'ai pas beaucoup travaillé cette année-là, trop occupé uniquement à la Résistance.
Les seules personnes normales, ce sont les gens qu'on ne connaît pas. Et dès qu'on les connaît un peu, on voit vite qu'ils ne sont pas comme tout le monde, parce que ça n'existe pas, des gens sans bizarreries.
La politique dans une oeuvre littéraire, c'est un coup de pistolet au milieu d'un concert, quelque chose de grossier et auquel pourtant il n'est pas possible de refuser son attention.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.- Attention! J'ai le glaive vengeur et le bras séculier! L'aigle va fondre sur la vieille buse!... - - Un peu chouette comme métaphore, non? - - C'est pas une métaphore, c'est une périphrase. - - Fais pas chier!... - - Ca, c'est une métaphore.
S'il y a anthropomorphisme à dire que Dieu souffre, il y en a plus encore à penser qu'il ne souffre pas.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Vivre mieux, car l'homme aurait tendance à sombrer dans la dégénérescence et l'enfant l'aide à aller vers le haut. S'il ne prête pas attention à cela, l'adulte se perd, se couvre peu à peu d'une carapace dure et devient insensible.
Si vous venez avec votre seul intellect, vous pouvez faire un peu de gymnastique mentale, construire des théories intellectuelles, mais vous ne trouverez pas la vérité.
Certains films sont des auberges espagnoles. Si l'on n'invente pas un peu soi-même, c'est de la non-assistance à personne en danger.
J'ai la sensation que ma vie est achevée, c'est-à-dire que je ne vois rien à présent qui demande un lendemain. Ce qui me reste à vivre ne peut plus désormais être que du temps à perdre. Après tout j'ai fait ce que j'ai pu. Je connais 1. assez mon esprit. Je crois que ce que j'ai trouvé d'important — je suis sûr de cette valeur — ne sera pas facile à déchiffrer de mes notes. — Peu importe. Je connais my heart aussi. Il triomphe. Plus fort que tout, que mon esprit, que l'organisme. — Voilà le fait. Le plus obscur des faits. Plus fort que le vouloir vivre et que le pouvoir comprendre est donc ce sacré coeur. — « Coeur », c'est mal nommé. Je voudrais au moins, trouver le vrai nom de ce terrible résonateur. Il y a quelque chose en l'être qui est créateur de valeurs, et cela est tout-puissant, irrationnel, inexplicable, ne s'expliquant pas. Source d'énergie séparée mais qui peut se décharger aussi bien pour que contre la vie de l'individu.
Ce n’est pas ce à quoi on nous oblige qui nous détruit, mais ce à quoi nous consentons qui nous ébrèche ; Nous sommes traversés de ces hontes, un tourbillon qui, peu à peu, nous creuse et nous vide. N’avoir rien dit, rien fait. Avoir dit oui parce qu’on ne savait pas dire non.
Ce qu'il y a de plus pitoyable au monde, c'est, je crois, l'incapacité de l'esprit humain à relier tout ce qu'il renferme. Nous vivons sur une île placide d'ignorance,environnée de noirs océans d'infinitude que nous n'avons pas été destinés à parcourir bien loin. Les sciences, chacune s'évertuant dans sa propre direction, nous ont jusqu'à présent peu nui. Un jour, cependant, la coordination des connaissances éparses nous ouvrira des perspectives si terrifiantes sur le réel et sur l'effroyable position que nous y occupons qu'il ne nous restera plus qu'à sombrer dans la folie devant cette révélation ou à fuir cette lumière mortelle pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel obscurantisme.
Avec un peu plus de chaleur dans le nihilisme, il me serait possible - en niant tout - de secouer mes doutes et d'en triompher. Mais je n'ai que le goût de la négation, je n'en ai pas la grâce.
La pensée est vaine, le monde dépourvu de sens. Dieu ne vit pas. On ne peut croire en l'amour. La surface, la surface, la surface, voilà ce dans quoi on trouve une signification… C'est ainsi que je vis la civilisation, un colosse déchiqueté…
2666 (2004) de Roberto Bolano
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La Steppe (1888) de Anton Tchekhov
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Interview « Sept sur Sept », le dimanche 3 décembre 1989. de Michel Rocard
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Le jardin d'Epicure (1894) de Anatole France
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Invité dès 1962 dans l’émission Les Premiers Pas, sur les ondes de la RTF de Jean Piat
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Sans référence de Yvan Audouard
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Oeuvres complètes tome 3, Pensées de Louis de Bonald
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Jean de La Fontaine de Sacha Guitry
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Journal des années noires (1940-1944) (1947), 26 août 1941 de Jean Guéhenno
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Tas de pierres (1901) de Victor Hugo
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Claude Lanzmann dans "A voix nue" le 27/12/2005 sur France Culture. de Claude Lanzmann
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Histoire d'Alice, qui ne pensait jamais à rien (et de tous ses maris, plus un) (2013) de Francis Dannemark
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La Chartreuse de Parme (1839) de Henri Beyle, dit Stendhal
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Faut pas prendre les Enfants du Bon Dieu pour des Canards sauvages (1968) de Michel Audiard
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La Souffrance de Dieu (1975) de Père François Varillon
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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L'Enfant (1935) de Maria Montessori
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Complete Works de Swami Vivekananda
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Les Pensées de Francis Blanche (2012) de Francis Blanche
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Cahiers, 10 mai 1945 de Paul Valéry
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Chavirer (2020) de Lola Lafon
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L'Appel de Cthulhu (1926) de Howard Phillips Lovecraft
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Syllogismes de l'amertume (1952) de Emil Cioran
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American Psycho (2000) de Bret Easton Ellis
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