Citation ne pas savoir qui
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Une Sélection de 170 citations et proverbes sur le thème ne pas savoir qui.
170 citations
La vie continue en m'ayant mis entre parenthèses. Je veux savoir ce qui se passe hors des parenthèses. Je ne veux pas être trois point de suspension entre ces foutues parenthèses.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
Les « christicoles » ont-ils été voir ? Pour en savoir des nouvelles ? Qui leur a dit que cela était ainsi ? Quelle expérience en ont-ils ? Quelle preuve en ont-ils ? Certainement aucune, si ce n’est celle qu’ils prétendent tirer de leur foi, qui n’est qu’une croyance aveugle des choses qu’ils ne voient pas, que personne n’a jamais vues et que personne ne verra jamais ?
Si un secret peut épargner celui qui le détient, il en est de même pour celui qui le réclame. Ne pas savoir c'était pouvoir.
Transformer la vie ! Ceux qui parlent ainsi en ont peut-être vu de toutes les couleurs, mais la vie, ils n'ont jamais su ce que c'était, ils n'en ont jamais senti le souffle, l'âme. L'existence pour eux, c'est une poignée de matière brute qui n'a pas été ennoblie par leur contact et qui attend d'être travaillée par eux. Mais la vie n'est pas une matière ni un matériau. La vie, si vous voulez le savoir, n'a pas besoin de nous pour se renouveler et se refaçonner sans cesse, pour se refaire et se transformer éternellement. Elle est à cent lieues au-dessus de toutes les théories obtuses que vous et moi pouvons faire à son sujet.
Quant à savoir si l'affaire est bonne ou mauvaise, c'est selon, car l'argent n'a pas toujours la même valeur, contrairement aux hommes qui valent toujours la même chose, tout et rien.
Lorsque vous prenez connaissance d'une information dans un média, demandez-vous toujours de qui, pourquoi, pour qui ? Aucune information n'est gratuite en temps de guerre. Il ne suffit pas de savoir lire, il vous faut apprendre à lire.
Si nous voulons que notre école n’ajoute pas au malheur du monde, quand elle devait au contraire contribuer à le combattre, il faut sans doute retrouver cette certitude que le savoir libère les hommes en les inscrivant dans une continuité, celles des hommes qui les ont précédés, et dans une communauté, celle de la société dont ils partagent les valeurs.
Il faut être perdu dans le désert, pour savoir ce qu'est la solitude, où ne chante ni un arbre ni un oiseau, dans l'aridité des pierres ou du sable. Celui qui ne connaît pas cela ne peut pas dire qu'il soit jamais resté seul.
Le vrai mal ne m'intéresse pas du tout. Je ne veux pas écrire sur le bien et le mal, sur le blanc et le noir, mais sur les zones grises. Le mal sur lequel j'écris est semblable à la ligne blanche qui délimite un terrain de football: cette ligne est très étroite et, si vous la piétinez, elle devient si floue qu'il est impossible de savoir avec certitude si vous êtes hors jeu. Cette ligne floue me fascine.
On trouve dans le monde beaucoup d'injustices, mais il en est une dont on parle jamais, qui est celle du climat. De cette injustice-là, j'ai été longtemps, sans le savoir, un des profiteurs. J'entends d'ici les accusations de nos féroces philanthropes, s'ils me lisaient. Je veux faire passer les ouvriers pour riches et les bourgeois pour pauvres, afin de conserver plus longtemps l'heureuse servitude des uns et la puissance des autres. Non, ce n'est pas cela. Au contraire, lorsque la pauvreté se conjugue avec cette vie sans ciel ni espoir qu'en arrivant à l'âge d'homme j'ai découverte dans les horribles faubourgs de nos villes, alors l'injustice dernière, et la plus révoltante, est consommée: il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.
On se sent seul auprès des enfants. Ils se fichent des contours de notre monde. Ils en devinent la dureté, la noirceur mais n'en veulent rien savoir. Louise leur parle et ils détournent la tête. Elle leur tient les mains, se met à leur hauteur mais déjà ils regardent ailleurs, ils ont vu quelque chose. Ils ont trouvé un jeu qui les excuse de ne pas entendre. Ils ne font pas semblant de plaindre les malheureux.
Là où il n'y a qu'un fou, tout le monde est certain de ne pas l'être. Là où il y en a deux, trois, cinq, douze, plus personne n'est à l'abri, plus moyen de savoir qui est qui.
Je crois que la poésie est quelque chose qu'on sent, et si vous ne sentez pas la poésie, la beauté d'un texte, si un récit ne vous donne pas l'envie de savoir ce qui s'est passé ensuite, c'est que l'auteur n'a pas écrit pour vous.
Et qu'est-ce qu'un Juif qui n'a pas l'air juif, qui n'a pas l'air retors, qui n'a pas les cheveux noirs, qui n'a pas le nez crochu ? Et que dire des Juifs convertis au christianisme ou des Juifs qui ont épousé une Allemande ou des Juives qui ont épousé un Allemand ? Ne jamais savoir réellement ce qu'était au juste cette qualité – ou, comme dirait un antisémite (ou un Juif qui a de l'humour), ce défaut – n'allait pourtant pas empêcher l'administration nazie de réfléchir à comment exproprier les Juifs, puis à comment les concentrer, puis à comment les déporter, puis, enfin, à comment les exterminer.
Savoir jusqu'à quel point un mariage est heureux, c'est là une tout autre question et qui échappe au spectateur. Les enfants, les graves soucis d'argent, tant de choses secrètes peuvent ruiner le bonheur; l'amour non plus n'échappe parfois pas à la ruine.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Aujourd'hui, on fait campagne pour libérer les animaux de leurs cages, mais nous enfermons des hommes dans des cages à barreaux pas plus grandes que celles des lions. Qu'on puisse faire cela à des êtres humains, ça me rend malade. Tenter d'enrayer ce qu'on appelle le crime — je crois qu'il a toujours existé et qu'il existera toujours — d'accord ; mais en changeant la société et non pas en brimant la jeunesse qui suit sans le savoir la voie que la société lui impose.
Le sujet des virus m'a toujours intéressé, mais je voulais l'écrire vraiment à la française. Je ne voulais pas d'une souche volée dans un laboratoire américain, qu'un méchant répandrait parmi la population. Non, ce qui m'intéressait, c'était de savoir ce qui se passerait spécifiquement en France, vraiment heure par heure, si une telle situation venait à arriver. Je voulais comprendre comment naît une pandémie. Je me suis donc rapproché de l'Institut Pasteur, à Lille, près de chez moi. Et le scénario développé alors, c'est exactement ce qui se passe aujourd'hui.
Les donnés biographiques : je fais partie de ceux qui croient, avec Croce, que d’un auteur importent seulement ses œuvres (quand elles comptent, bien évidement), donc les données autobiographiques je n’en donne pas, ou j’en donne de fausses, ou j’essaierai de les changer à chaque fois. Demandez-moi ce que vous voulez savoir, je vais vous le dire. Mais je ne vous dirai jamais la vérité, de ça vous pouvez en être sûr.
Il est difficile d'expliquer à quelqu'un qui a les idées étroites qu'être éduqué ne signifie pas seulement savoir lire et écrire et avoir une licence, mais qu'un illettré peut être un électeur bien plus éduqué que quelqu'un qui possède des diplômes.
Elle était tellement belle que j'avais envie de me glisser dans sa peau et de devenir elle pour savoir ce que c'était. Puis j'ai pensé que je ne pourrais plus la voir si j'étais dans sa peau, sauf dans un miroir, et que ce serait peut-être mieux si c'était elle qui se glissait dans ma peau à moi. Je ne pourrais pas la voir non plus mais au moins, je pourrais l'emmener partout.
Ne pas vouloir tout aimer et savoir aimer vraiment ce qu'on aime: cela, qui paraît facile, ne s'obtient de soi que par force.
La mission du précepteur que vous donnerez à votre enfant – et dont le choix conditionne la réussite de son éducation – comporte plusieurs autres grandes tâches dont je ne parlerai pas, parce que je ne saurais rien en dire de valable. Et sur le point à propos duquel je me mêle de lui donner un avis, il m'en croira pour autant qu'il y verra quelque apparence de raison. A un enfant de bonne famille, qui s'adonne à l'étude des lettres, non pas pour gagner de l'argent (car un but aussi abject est indigne de la grâce et de la faveur des Muses, et de toute façon cela ne concerne que les autres et ne dépend que d'eux), et qui ne recherche pas non plus d'éventuels avantages extérieurs, mais plutôt les siens propres, pour s'en enrichir et s'en emparer au-dedans, comme j'ai plutôt envie de faire de lui un homme habile qu'un savant, je voudrais que l'on prenne soin de lui choisir un guide qui eût plutôt la tête bien faite que la tête bien pleine. Et si on exige de lui les deux qualités, que ce soit plus encore la valeur morale et l'intelligence que le savoir, et qu'il se comporte dans l'exercice de sa charge d'une nouvelle manière.
Antoine de Caunes : Vous aviez un commentaire très violent sur le Coran en 2001, que l'islam était la religion la plus con du monde. Je voudrais savoir qu'est-ce qui vous a fait bouger...
Michel Houellebecq : Qu'est-ce qui m'a fait changer d'avis ? La lecture du Coran surtout, je ne l'avais peut-être pas lu suffisamment bien. Maintenant, je pense qu'une interprétation moyennement honnête du Coran n'aboutit pas au djihadisme. Il faut une interprétation très déshonnête pour aboutir au djihadisme.
Pars avec lui (2014) de Agnès Ledig
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Mémoire des pensées et sentiments (1762) de Jean Meslier
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Je me souviens de tout (2004) de Isabelle Desesquelles
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Le Docteur Jivago (1957) de Boris Pasternak
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Le Dieu manchot (1987) de José Saramago
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La Tentation d'une île : Derrière les caméras de la télé réalité (2009) de Philippe Bartherotte
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« Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons »: qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 de Natacha Polony
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Chants du Hoggar (1924) de Angèle Maraval-Berthoin
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Interview Harlan Coben Par François Busnel (Lire), le 01/06/2005 de Harlan Coben
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Chanson douce de Leïla Slimani
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Geai de Christian Bobin
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Conférences de Jorge Luis Borges
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Le Ghetto intérieur (2019) de Santiago Amigorena
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Une sorte de vie (1971) de Graham Greene
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Interview Le Point, par Julie Malaure, le 19/03/2020 de Franck Thilliez
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Lettre à Germana Pescio Bottino, 9 juillet 1964 de Italo Calvino
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Un long chemin vers la liberté (1996) de Nelson Mandela
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Ma reine (2017) de Jean-Baptiste Andrea
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Lire et écrire (1960) de Maurice Chapelan
Références de Maurice Chapelan - Biographie de Maurice Chapelan
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Essais, I, 26, De l'institution des enfants. A Madame Diane de Foix, comtesse de Gurson de Michel de Montaigne
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Le Grand Journal - Interview de Michel Houellebecq, Canal plus, 12 janvier 2015
de Michel Houellebecq
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