Citation nos yeux
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Une Sélection de 150 citations et proverbes sur le thème nos yeux.
150 citations
Qui considère les choses d'un point plus élevé, se singularise plus grandement; se tourner vers le grand livre de la nature, qui est proprement l'objet de la philosophie, est le moyen d'élever son regard; bien que tout ce qui se lit dans ce livre soit le mieux proportionné, en tant que fruit du souverain artisan, c'est lorsque se découvre à nos yeux le travail et l'artifice que la lecture en est plus claire et plus digne.
Le passé n'est jamais tout à fait révolu quand il a duré ; c'est le présent qui parfois se dissipe sous nos yeux, faute de prises.
Envolez-vous, mes tourterelles
Partez, voyagez au long cours!
Puisque ni nos yeux, ni nos discours
Ne vous font plus frémir d'amour
Envolez-vous, mes toutes belles
Bon voyage et belles amours!Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.On ne choisit pas son nom : c'est un héritage qui nous échoit après d'incommensurables péripéties, dont nos parents eux-mêmes ne sont que les protagonistes passagers. Par contre, ils portent une plus grande responsabilité dans la sélection de notre prénom, et dans l'allure que l'ensemble nom prénom prendra aux yeux du monde
Je suis un grand-père du temps des mammouths laineux, je suis d’une race lourde et lente, éteinte depuis longtemps. Et c’est miracle que je puisse encore parler la même langue que vous, apercevoir vos beaux yeux écarquillés et vos minois surpris, votre étonnement devant pareilles révélations. Cela a existé, un temps passé où rien ne se passait. Nous avons cheminé quand même à travers nos propres miroirs. Dans notre monde où l’imagerie était faible, l’imaginaire était puissant.
Les vapeurs de la terre élèvent leurs ténèbres
Entre nos yeux et la clarté,
Et font que nous prenons pour des lampes funèbres
Des rayons d'immortalité.Il reste à parler d'un état de l'âme qui, ce nous semble, n'a pas encore été bien observé : c'est celui qui précède le développement des passions, lorsque nos facultés, jeunes, actives, entières, mais renfermées, ne se sont exercées que sur elles-mêmes, sans but et sans objet. Plus les peuples avancent en civilisation, plus cet état du vague des passions augmente ; car il arrive alors une chose fort triste : le grand nombre d'exemples qu'on a sous les yeux, la multitude de livres qui traitent de l'homme et de ses sentiments rendent habile sans expérience. On est détrompé sans avoir joui ; il reste encore des désirs, et l'on n'a plus d'illusions. L'imagination est riche, abondante et merveilleuse ; l'existence pauvre, sèche et désenchantée. On habite avec un coeur plein un monde vide, et sans avoir usé de rien on est désabusé de tout.
Et elle demeura la tête dans ses mains, effondrée, mais ses yeux intérieurs - ces yeux que nous avons pour voir dans la nuit de nos âmes - étaient fixés sur cette pensée soudaine: «Aimerait-elle?»
Que des noeuds mal attachés - Dévoilent pour nos péchés - Tes deux beaux seins, radieux - Comme des yeux.
Je fermais les yeux, mais pouvais cependant tout voir à travers mes paupières - quelles folies nous imposent parfois nos rêves, et avec quelle facilité nous les acceptons !
Je voudrais voir par tes yeux et que tu voies par les miens afin que nos pensées et nos âmes soient semblables pour que nous ne soyons plus qu'un.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Même les aveugles de nos jours ont un écran allumé au fond des yeux. Aujourd'hui, on ne voit plus rien, on passe son temps à reconnaître.
L'amour a un lien étroit avec l'appétit du sexe ; mais on ne saurait cependant les confondre. L'un tient à ce que notre nature a de plus humble, et l'autre à ce qu'elle a de plus noble. Quoique l'amour commence le plus souvent par les yeux, il se nourrit de mille éléments étrangers à nos organes corporels; des grâces de l'esprit, des qualités du coeur, des services rendus, des grandes actions accomplies.
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Jamais Iphigénie en Aulide immolée,
N'a coûté tant de pleurs à la Grèce assemblée,
Que dans l'heureux spectacle à nos yeux étalé,
En afait sous son nom verser la Champmeslé.Nos deux corps se parlaient en braille, les yeux au bout des doigts, nous savions lire dans toutes les langues.
Parfois aussi le dard d'un insecte jaloux
Inquiétait le col des belles sous les branches,
Et c'étaient des éclairs soudains de nuques blanches,
Et ce régal comblait nos jeunes yeux de fous.Nos yeux reçoivent la lumière d'étoiles mortes. Une biographie de mon ami Ernie tiendrait aisément dans le deuxième quart du XXe siècle ; mais la véritable histoire d'Ernie Lévy commence très tôt, vers l'an mille de notre ère, dans la vieille cité anglicane de York. Plus précisément le 11 mars 1185.
Les mourants ont les yeux secs; l'orage de la vie se termine par un vent froid. Ils ne savent pas combien leurs accents entrecoupés pénètrent profondément dans les blessures de nos coeurs.
Il venait de découvrir que certaines joies - sans doute les plus essentielles - ne peuvent être partagées, ni même racontées; elles nous constituent au même titre que nos yeux ou notre colonne vertébrale; elles font de nous ce que nous sommes.
Ne nous lassons pas de jeter sur notre route des semences de bienveillance et de sympathie. Sans doute il en périra beaucoup, mais, s'il en est une seule qui lève, elle embaumera notre route et réjouira nos yeux.
Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût différents créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre. Et nos esprits qui reçoivent les instructions de ces organes, diversement impressionnés, comprennent, analysent et jugent comme si chacun de nous appartenait à une autre race.
Alors nos yeux se saludèrent et l'amour se leva, me dit ma mère qui se met à chanter
Dialogue sur les deux plus grands systèmes du monde (1624) de Galilée
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Le Bonheur de Barbezieux (1938) de Jacques Chardonne
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Les Demoiselles de Rochefort (1967) de Jacques Demy
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Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
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26 dossiers qui défient la raison
De Pierre Bellemare et Grégory Frank de Pierre Bellemare
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C'était au temps des mammouths laineux (2012) de Serge Bouchard
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Résignation de Henry Wadsworth Longfellow
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Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert (1801) de François-René de Chateaubriand
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Une histoire sans nom de Jules Amédée Barbey d'Aurevilly
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Les Fleurs du Mal (1857) de Charles Baudelaire
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Dracula (1897) de Abraham Stoker, dit Bram Stoker
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Les Foulards rouges (2001) de Frédéric H. Fajardie
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Monsieur Malaussène (1995) de Daniel Pennac
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Le Devoir (1854) de François-Jules Suisse, dit Jules Simon
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Epîtres (1669-1695), VII, A M. Racine de Nicolas Boileau-Despréaux
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Le dernier hiver (2012) de Louise Auger
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Fêtes galantes (1869) de Paul Verlaine
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Le Dernier des Justes (1959) de André Schwarz-Bart
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Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
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La Part de l'autre (2001) de Eric-Emmanuel Schmitt
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Airelles de Sophie Swetchine
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Préface de Pierre et Jean, La Guillette, Etretat, septembre 1887 de Guy de Maupassant
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Pas pleurer (2014) de Lydie Salvayre
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