Citation pour ou contre
Découvrez une citation pour ou contre - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase pour ou contre issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème pour ou contre.
80 citations
Je m'adresse à vous, Lions, pour vous offrir l'occasion d'agir, en encourageant et en soutenant le travail de la Fondation américaine pour les aveugles. Aidez-moi à avancer vers ce jour où la cécité évitable sera éradiquée, où chaque enfant sourd ou aveugle bénéficiera d'une éducation digne et où aucun aveugle, homme ou femme, ne sera laissé sans assistance. J'en fais appel à vous, Lions, qui voyez, qui entendez, avec toute votre force, votre courage et votre bienveillance. Devenez les Chevaliers des aveugles dans la croisade contre les ténèbres.
Il m'a fallu des années pour comprendre que son discours n'était pas incohérent ou contradictoire mais que c'était moi, avec une sorte d'arrogance de transfuge, qui essayais de lui imposer une autre cohérence, plus compatible avec mes valeurs – celles que j'avais précisément acquises en me construisant contre mes parents, contre ma famille – , qu'il n'existe d'incohérences que pour celui qui est incapable de reconstruire les logiques qui produisent les discours et les pratiques.
Les noirceurs secrètes, tous les petits moyens que l'ignorance et l'envie savent si bien mettre en usage contre ce qui leur nuit ou leur déplaît, sont employés pour perdre ce dangereux novateur (Rameau).
À l’heure où l’on voit que le Delta est en train d’augmenter dans notre pays et qu’on voit des vagues épidémiques démarrées chez nos voisins, c’est un risque qu’on ne peut pas prendre et qu’ils ne peuvent pas prendre pour eux-mêmes et pour les autres. Ils n’ont pas envie que le pays soit un jour reconfiné, ils n’ont pas envie qu’on vive dans la tension permanente. Donc, le vaccin est 100% efficace contre le confinement.
Pour s'abriter contre les coups du sort, rien de tel que le coeur d'une mère ou d'une femme dévouée.
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
Vous avez cité incidemment votre Shakespeare. La tirade de l'acte III, être ou ne pas être. « Est-il plus noble pour une âme de souffrir les flèches et les coups de l'indigne fortune ou de prendre les armes contre une mer de troubles, et de leur faire front et d'y mettre fin? Mourir, dormir, rien de plus. » C'est la question.
Les mystères de ceux que l'on croise un instant dans la rue, dans le métro, dans une station-service ou dans le désert nous sont inaccessibles ; nos vies se croisent, se toisent, s'effleurent, la plupart du temps s'ignorent, nous mourons les uns pour les autres une seconde après la rencontre et chacun fait tous les jours l'expérience de ces milliers de deuils instantanés sans jamais verser une larme.
C'est bon les villes inconnues ! C'est le moment et l'endroit où on peut supposer que les gens qu'on rencontre sont tous gentils. C'est le moment du rêve. On peut profiter que c'est le rêve pour aller perdre quelque temps au jardin public.
La rue est un endroit de passage dans lequel beaucoup de choses s’expriment. Il n’y a pas que le désir, il y a aussi la violence, la gentillesse, la convivialité… On pourrait prendre tous les mots du dictionnaire. Moi j’ai envie de parler du désir. Après, chacun reçoit mes dessins comme il le veut. Pour certains c’est rafraîchissant, pour d’autres c’est léger ou agaçant. La rue permet de se donner à voir. A mes débuts, sortir dans la rue a été une façon d’aller à la rencontre d’un public de quidams et de professionnels.
Par contre, le mouvement fut suffisant pour relâcher le décolleté de la robe, et Adam aperçut, entre la naissance des seins, deux fils argentés, les deux côtés d'une chaîne. Elle se terminait sûrement plus bas, contre les bonnets du soutien-gorge, par une petite croix de nacre, ou par une médaille de la Sainte Vierge sertie d'aigues-marines. L'idée de cacher quelque chose d'un peu sacré, l'image d'un Dieu, contre la partie la plus éminemment biologique d'un corps de femme, était baroque.
La vie de chaque homme est un roman — pas nécessairement un roman pour telle série, blême ou noire. Un grand critique a écrit : chacun porte un roman en lui. Seulement, il n'en porte pas forcément d'autre. Il n'y a qu'un romancier qui en porte d'autres. Mais chacun est capable en effet de décrire sa jeunesse, sa rencontre avec sa femme, leur premier mois de cohabitation et d'en faire un vrai roman. Après, quand il ne s'agit plus de lui-même, mais d'autres personnages, ça devient différent.
Des milliers de livres ont été écrits pour indiquer comment lutter contre le mal, pour définir ce que sont le bien et le mal. Mais le triste en tout cela est le fait suivant, et il est incontestable : là où se lève l'aube du bien, qui est éternel mais ne vaincra jamais le mal, qui est lui aussi éternel mais ne vaincra jamais le bien, là où se lève l'aube du bien, des enfants et des vieillards périssent, le sang coule. Non seulement les hommes mais même Dieu n'a pas le pouvoir de réduire le mal sur terre.
C'est vrai qu'on m'a mariée à Samad Iqbal le soir même du jour où je l'ai rencontré pour la première fois. C'est vrai que je ne le connaissais ni d'Eve ni d'Adam. Mais il ne me déplaisait pas. On s'est rencontrés dans la salle du petit déjeuner d'un hôtel de Delhi, un jour où il faisait une chaleur épouvantable, et il m'a éventée avec le Times. J'ai trouvé qu'il avait un visage sympathique, une voix douce et un joli p'tit derrière pour un homme de son âge. Bon. Maintenant, chaque fois que je découvre quelques chose sur son compte, je l'apprécie un peu moins. Donc, tu vois, tout compte fait, on était nettement mieux avant...
D'où venaient tous ces gens ? D'où sortait toute leur haine ? Elle pouvait concevoir une animosité dirigée contre des individus en particulier, des personnes qui avaient fait du tort à quelqu'un. Mais haïr des gens sans discernement parce qu'ils venaient d'un autre pays, ou pour la couleur de leur peau ? Non, elle n'arrivait pas à le comprendre.
Dans mes premiers mémoires, attaquant de front l'ordre établi, je disais, par exemple : La propriété, c'est le vol ! Il s'agissait de protester, de mettre pour ainsi dire en relief le néant de nos institutions. Je n'avais point alors à m'occuper d'autre chose. Aussi, dans le mémoire où je démontrais, par A plus B, cette étourdissante proposition, avais-je soin de protester contre toute conclusion communiste.
Dans le Système des Contradictions économiques, après avoir rappelé et confirmé ma première définition, j'en ajoute une toute contraire, mais fondée sur des considérations d'un autre ordre, qui ne pouvaient ni détruire la première argumentation, ni être détruites par elle : La propriété, c'est la liberté !Pour moi, la littérature est une sorte de trésor sans limites, une brocante où chacun peut fouiller et trouver ce qu'il veut. Il y a tant de formes différentes, tant de genres littéraires, des romans, des récits, des correspondances, des journaux, des sensibilités et des écritures différentes... Il y en a trop, certes, mais il y en a pour tout le monde. C'est une connexion mystérieuse, magique, la sensibilité d'un auteur qui rencontre celle d'un lecteur.
Je n'ai rien contre les étrangers. Le problème, c'est que, d'une part, ils parlent pas français pour la plupart... Et selon le pays où on va, ils parlent pas le même étranger.
On n'a jamais su si Adolphe Hitler était pour ou contre l'euthanasie.
Aujourd’hui les Américains n’achètent plus d’armes pour se défendre contre les Indiens: on se dote désormais d’une arme parce que c’est une manière de défendre sa liberté. Et cela naît notamment d’une absence de confiance en la police et en l’État. Les Américains n’ont plus confiance qu’en ce qu’ils font eux-mêmes, en leur propre capacité à riposter au cas où ils se feraient attaquer.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Tant que, dans chaque nation, une classe restreinte d'hommes possédera les grands moyens de production et d'échange, tant qu'elle possédera ainsi et gouvernera les autres hommes, tant que cette classe pourra imposer aux sociétés qu'elle domine sa propre loi, qui est la concurrence illimitée, la lutte incessante pour la vie, le combat quotidien pour la fortune et pour le pouvoir ; tant que cette classe privilégiée, pour se préserver contre tous les sursauts possibles de la masse, s'appuiera ou sur les grandes dynasties militaires ou sur certaines armées de métier des républiques oligarchiques ; tant que le césarisme pourra profiter de cette rivalité profonde des classes pour les duper et les dominer l'une par l'autre, écrasant au moyen du peuple aigri les libertés parlementaires de la bourgeoisie, écrasant ensuite, au moyen de la bourgeoisie gorgée d'affaires, le réveil républicain du peuple ; tant que cela sera, toujours cette guerre politique, économique et sociale des classes entre elles, des individus entre eux, dans chaque nation, suscitera les guerres armées entre les peuples. C'est de la division profonde des classes et des intérêts dans chaque pays que sortent les conflits entre les nations.
Entre le Oui et le Non, entre le Pour et le Contre, il y a ainsi d'immenses espaces souterrains où le plus menacé des hommes pourrait vivre en paix.
Souvent, dans ces hautes terres où la solitude a rouillé l'herbe, on rencontre un ruisseau, naissance de ces torrents qui, plus bas, hennissent de roc en roc, cabrent des ventres blancs et secouent de longues crinières humides. Ici, sans bruits, comme une étincelante couleuvre, il coule, sans mouvement dirait-on, dans un lit de petits joncs nerveux. De ses abords, où se sont épaissies les bardanes, les mauves et les menthes, se lève soudain un mouton qui dormait. On découvre alors, près d'un rocher gris, une cabane de bois gris, un âne gris, un homme gris, qui depuis longtemps déjà vous regardait, mais n'a pas fait un pas vers vous. Et il ne vous parlera guère, ou par oui et par non, ou peut-être, si vous lui demandez aide, par le don silencieux d'une tranche de pain et d'un verre de lait. Il connaît tellement les chemins de par ici qu'il ne peut vous être d'aucune aide pour vous guider. il sait qu'il ne peut parler que de choses qui vous sont totalement inconnues. Il n'essaie pas.
Voilà les hommes qui sollicitent nos suffrages et, de guerre lasse, les obtiennent. Ils nous représentent. Vous voyez maintenant qu'ils nous représentent mal, et même qu'ils ne nous représentent pas du tout. Quand on les voit s'effondrer en pantalonnades ou se gonfler en plastronnades, il faut bien se dire que, pendant ce temps, nous faisons tout autre chose ; nous construisons des usines, nous inventons des vaccins, nous écrivons des livres, labourons les champs, ou nous nous promenons main dans la main, sur les collines de thym et d'asphodèles. C'est à peine, si, en lisant le journal du soir, nous disons : « Qu'est-ce qu'ils ont encore fait, ces imbéciles ? » Jusqu'au jour, évidemment, où nous en aurons assez. Mais ce sera pour changer un cheval borgne contre un aveugle.
Discours de 1925 à la convention internationale du Lions Clubs International de Helen Keller
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En finir avec Eddy Bellegueule (2014) de Édouard Louis
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Sans référence de Jean le Rond d'Alembert
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Olivier Véran après avoir échangé avec des jeunes au centre de vaccination de l'AccorHotel Arena, à Paris, le 8 juillet 2021 de Olivier Véran
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Pensées, maximes, réflexions, observations (1855) de Goswin Joseph Augustin, baron de Stassart
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Cent millions d'années et un jour (2019) de Jean-Baptiste Andrea
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Mes pas vont ailleurs (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Mille soleils (2018) de Nicolas Delesalle
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Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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« Miss.Tic: «Il manque un marché dynamique du street art en France» », Miss.Tic, propos recueillis par "Jay Delachance" (blog sur Miss.Tic), Blog Miss.Tic, novembre 2008 de Miss. Tic
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Vie et Destin (1980) de Vassili Grossman
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Sourires de loup (2000) de Zadie Smith
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L'Enfant allemand (2011) de Camilla Läckberg
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Confessions d'un révolutionnaire de Pierre Joseph Proudhon
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Portrait de Norman Rush, le romancier des utopies, Télérama, le 03/09/2015 de Norman Rush
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Coluche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons de Coluche
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Une boîte de petits "moi" de Damien Caillaud
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Entretien FigaroVox, par Louise Darbon, le 6 août 2019 de André Kaspi
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Discours prononcé à la chambre des députés de l'Assemblée nationale le 7 mars 1895, de Jean Jaurès
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L'Oeuvre au noir (1968) de Marguerite Yourcenar
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
Références de Jean Giono - Biographie de Jean Giono
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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