Citation savoir d ou l
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Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème savoir d ou l.
50 citations
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Critiquer Hugo ! Quand je regarde un coucher de soleil, qu'est-ce que cela me fait de savoir qu'il ne se couche pas, que la terre tourne autour de lui ? Quand je lis Hugo, qu'est-ce que ça me fait de savoir qu'il écrit comme ceci ou comme cela ?
Tout homme doit savoir s'il veut la richesse matérielle et posséder encore plus de choses, ou s'il entend être libre de les utiliser. Il y a là deux manières de concevoir et son emploi du temps et ses barèmes de production.
Les rues sont remplies de fumées d’expérience personnelle qui cherchent à remplacer l’air, je ne suis la mère, la sœur, l’amie, la bonne de personne, je suis ce que je suis, que devrais-je savoir du regard des autres femmes sur moi, qu’est-ce que c’est, que cache-t-il réellement, n’est-il pas aussi simple et beau qu’on ne le croit, quoi qu’il en soit, rien ne me ferait croire que les femmes sont à la fois elles-mêmes, dans leur humanité, leur complexité, leurs pulsions, et les loups qui dévorent leur chair, ou qu’elles sont les causes profondes et premières de leur systémique ensevelissement, en même temps, l’idée que le patriarcat serait responsable de tous leurs malheurs me semble pour le moins puérile, la nature humaine est bien plus compliquée que cela...
L’évidence est parfois juste devant nous, il suffit juste de sortir d’une forme de cécité et de savoir poser notre regard là où il faut.
Pendant des années je me suis réveillé jour après jour sans savoir si j'étais une bête ou un ver de terre, un métal en sommeil, et la journée entière passait en incertitude et désarroi, comme si j'avais été empêtré dans un rêve obscur, plein d'ombres sauvages, duquel seule me délivrait l'inconscience nocturne. Mais à présent que je suis un vieillard, je sais que la certitude aveugle d'être homme et seulement homme nous apparente davantage à la bête que l'incertitude constante et presque insupportable quant à notre propre condition.
La vitesse, quelle bêtise que la vitesse ! Elle crée des aberrations comme le Paris Dakar ou les Jeux Olympiques. Savoir qu'un autre que moi a accompli un temps plus court que le mien peut m'aider à progresser. Qu'il soit considéré comme "meilleur" ou qu'il ait pulvérisé un record, en revanche, ne m'apporte rien. J'accepterais de traverser le désert à toute vitesse pour sauver un enfant, pas pour être le plus rapide.
C'est difficile à comprendre quand on est petit, mais écoute bien. Quelqu'un que l'on aime, que l'on aime vraiment, il faut parfois oser le laisser partir loin. Ou savoir l'attendre longtemps. C'est une vraie preuve d'amour, la seule, peut être.
Il y a une joie élémentaire de l'univers, que l'on assombrit chaque fois que l'on prétend être quelqu'un, ou savoir quelque chose.
Je voudrais bien savoir, se dit-il, ce qui se passe réellement dans un livre, tant qu'il est fermé. Il n'y a là, bien sûr, que des lettres imprimées sur du papier, et pourtant — il doit bien se passer quelque chose puisque, quand je l'ouvre, une histoire entière est là d'un seul coup. Il y a des personnages que je ne connais pas encore, et il y a toutes les aventures, tous les exploits et tous les combats possibles — parfois surviennent des tempêtes, ou bien on se retrouve dans des villes et des pays étrangers. Tout cela est d'une façon ou d'une autre à l'intérieur du livre. Il faut le lire pour le faire vivre, c'est évident. Mais c'est déjà dans le livre, à l'avance. Je voudrais bien savoir comment.
Nelson Mandela a été un symbole très important. Je suis de cette génération qui a grandi sans savoir à quoi il ressemblait. En 1986, j'avais écrit pour Mandela une chanson, « Asimbonanga », qui signifie en zoulou « nous ne l'avons pas vu ». A l'époque, nous savions qu'il était emprisonné sur Robben Island, mais comme nous n'étions pas autorisés à avoir un portrait de lui, c'était pour nous un symbole sans visage, une étoile qui brillait dans notre ciel.
Je vais te dire un grand secret, il est plus facile de mourir que de vivre, c'est pourquoi je vivrai pour toi, mon amour, car tous les vrais amoureux citent Aragon sans le savoir, ou en le sachant.
Ecoles: établissements où l'on apprend à des enfants ce qu'il leur est indispensable de savoir pour devenir des professeurs.
Oui, si je ne tente rien, ça ne m’intéresse pas. Ça perd son sens, si l’on se répète ou utilise des techniques qu’on maîtrise déjà. Toujours écrire à la pointe de qu’on ne sait pas encore écrire. J’adore cette phrase de Duras qui dit : « On écrit pour savoir quel livre on écrirait si l’on écrivait ». Et elle ajoute : « On ne le sait jamais avant ». On peut toujours annoncer, comme ici, « je vais faire ceci, cela », ça ne reste que des lignes et des espoirs. Le vrai livre se fait toujours dans le dos de l’écrivain, avec beaucoup de patience, de travail, de rage et de chair.
Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
A vivre ma vie comme je la vis, de me demander ce qu'il en adviendra est bien pour moi, en vérité, la chose du monde la plus insupportable ! Et quant à savoir ce qu'est au juste la nature de mon existence, ça, c'est une impossibilité de condition : aucun moyen d'en rien saisir... Mais quand même, si, sur ce chemin-là, il se trouve quelque côté plus clair où l'esprit aperçoive de quoi le distraire, si peu que ce puisse être... eh bien, j'ai beau ne pas savoir pourquoi, je finis par me persuader que c'est encore là la meilleure direction...
J’aime mon métier, tout simplement. S’il fallait que je le fasse seulement quand je m’écris des rôles, je ne bosserais pas beaucoup. Alors je travaille. J’ai le luxe financier depuis au moins Cuisine et Dépendances (1993) de pouvoir être exigeant dans mes choix. Je lis un scénar. Il me plaît, il me fait rire, il m’intéresse ; j’y vais. Je ne cherche pas à savoir si ça change ou pas, si je me «mets en danger» ou quoi que ce soit…
Jusqu'à douze ans — oui, douze ans sonnés ! — il venait dans le lit de sa mère, une demi-heure, avant d'aller se coucher. Elle le tenait contre elle, en chemise de nuit, chaud comme un oison ; ils causaient, quelquefois ils lisaient le même livre ; c'est ainsi qu'ils lurent ensemble le début de Quo Vadis : l'amour des Romains prit naissance sous le drap, ce qui était parfaitement adapté. Tant qu'il y eut la gouvernante anglaise, à neuf heures précises elle frappait : Alby, it's time. Mme de Bricoule maudissait la gouvernante, dans son langage peu châtié, dès qu'elle avait tourné le dos. Un jour, à douze ans, sans savoir même ce qu'il faisait, il toucha sa mère où il ne faut pas. Elle lui dit le lendemain : « Maintenant tu ne viendras plus dans mon lit. Tu es trop grand. » Il l'accueillit sans y prendre garde, comme il avait fait son geste sans y prendre garde. Mais, elle, ce petit homme chaud lui manquait durement.
Quand on connaît son mal moral, il faut savoir soigner son âme comme on soigne son bras ou sa jambe.
Depuis vendredi 13 mars, je suis à la campagne, dans la maison où je passe tous mes week-ends depuis des années. Pour éviter que mes enfants côtoient ma mère, il a fallu trouver une solution. Nous nous sommes séparés, sans savoir dans combien de temps nous nous reverrions. Ma mère est restée à Paris et nous sommes partis. D’habitude, nous remballons le dimanche soir. Les enfants pleurent, ils ne veulent pas que le week-end se finisse. Nous les portons, endormis, dans la cage d’escalier de notre immeuble. Mais ce dimanche, nous ne sommes pas rentrés. La France est confinée et nous restons ici.
Pour réduire cette question à l'énoncé le plus simple, il s'agit de savoir si la force d'un corps qui a une certaine vitesse devient double ou quadruple, quand sa vitesse devient double.
Alors, qu'il demande, sacré bavard de mes deux, vous voulez savoir quèque chose ou rien?
Le Parti finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration. La logique de sa position l'exigeait. Ce n'était pas seulement la validité de l'expérience, mais l'existence d'une réalité extérieure qui était tacitement niée par sa philosophie. L'hérésie des hérésies était le sens commun. Et le terrible n'était pas que le Parti tuait ceux qui pensaient autrement, mais qu'il se pourrait qu'il eût raison. Après tout, comment pouvons-nous savoir que deux et deux font quatre ? Ou que la gravitation exerce une force ? Ou que le passé est immuable ? Si le passé et le monde extérieur n'existent que dans l'esprit et si l'esprit est susceptible de recevoir des directives. Alors quoi ? (…) La liberté, c'est la liberté de dire que deux et deux font quatre. Lorsque cela est accordé, le reste suit.
L'ignorance d'un homme n'est pas seulement utile, mais belle aussi, tandis que son prétendu savoir se révèle souvent pire qu'utile en sus d'être laid. A quel homme vaut-il mieux avoir affaire, à celui qui ne sait rien sur un sujet et, ce qui est extrêmement rare, sait qu'il ne sait rien, ou bien celui qui sait vraiment quelque chose dans ce domaine, mais croit tout savoir ?
Tout dépend de la façon dont on définit le féminisme, mais si l'on part de la définition la plus simple, à savoir que le féminisme est un humanisme, cela paraît fou que ce mot puisse provoquer de telles réactions. Il s'agit tout de même de la seule révolution à n'avoir fait aucun mort.
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Journal, 17 novembre 1901 de Jules Renard
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Une société sans école de Ivan Illich
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Une somme humaine (2022) de Makenzy Orcel
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Interview pour So Soir (2018) de Gaspard Ulliel
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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Extrait d'une conférence en juillet 2004 de Albert Jacquard
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Maman a tort de Michel Bussi
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Le huitième jour de la semaine de Christian Bobin
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L'Histoire sans fin (1979) de Michael Ende
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Interview de Johnny Clegg au « Nouvel Observateur », avril 2013. de Johnny Clegg
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Biographie de la faim (2004) de Amélie Nothomb
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Toutes réflexions faites de Sacha Guitry
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Interview d’Alain Damasio
par François Muratet, Mars 2007 de Alain Raymond, dit Alain Damasio
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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La Femme des sables (1962) de Kobo Abe
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Interview Trois Couleurs, Propos recueillis par Renan Cros, Octobre 2017 de Jean-Pierre Bacri
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Cité par Las Cases dans le Mémorial de Sainte-Hélène. de Napoléon Bonaparte
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Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
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Eloges, Bernoulli de Jean le Rond d'Alembert
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Zazie dans le métro (1959) de Raymond Queneau
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1984 (1949) de George Orwell
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De la marche (1862) de Henry David Thoreau
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Entretien BibliObs, par Elisabeth Philippe, le 25 octobre 2017 de Lola Lafon
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