Citation si un peu plus
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème si un peu plus.
120 citations
Jamais je n'ai cessé, même aux jours de succès près de l'institutrice, de ressentir au fond de moi cette seconde rupture du lien ombilical, cet exil intérieur qui ne rapprochait plus l'écolier de sa mère que pour les arracher, chaque fois un peu plus, au murmure du sang, aux frémissements réprobateurs d'une langue bannie, secrètement, d'un même accord, aussitôt brisé que conclu… Ainsi avais-je perdu tout à la fois ma mère et son langage, les seuls trésors inaliénables – et pourtant aliénés !
Essayer de faire l'amour avec quelqu'un qui a aussi peu d'expérience que l'on en a soi-même me semble à peu près aussi insensé que de s'aventurer en eau profonde avec quelqu'un qui ne sait pas nager non plus.
Nous étions si pressés de devenir des hommes, pour n'être plus surveillés et pour être enfin un peu pris au sérieux, que nous ne demandions qu'à voir notre coeur se dessécher et nos illusions se flétrir.
Je ne veux plus me brouiller avec toi. Tant pis pour moi si je suis parfois un peu triste. Tu as raison sur tant de choses, je te ferais sans doute plus de mal que de bien. Sans doute, non, mais peut-être. Alors j'ai pris de grandes résolutions et tu peux me revoir. Je suis ton ami. Bien sûr, mes résolutions, le moindre printemps les ferait fléchir mais tant pis s'il n'est point de printemps.
Nous passions de la civilisation de la forêt à la civilisation de la savane : c'est du moins ce qu'on aurait dit si nous avions disposé d'un peu plus de terre dans un peu plus temps, si nous ne nous étions pas trouvés dans ce couin d'île à ramer partout sans bouger les eaux.
Si nous étions un peu plus sévères pour nos amis, ils ne nous paraîtraient pas aussi méprisables quand ils deviennent nos ennemis.
Les étapes importantes sont d'abord la chanson drôle, ensuite l'opérette et le cinéma. Jusqu'en 1951 je n'ai fait que des choses drôles. Et après je me suis dirigé vers des personnages qui avaient un peu plus d'humanité. Cela a été la seconde étape. Aussi bien dans les chansons que dans mes rôles ; je faisais les deux des personnages d'émotion et drôles.
En quoi l'imagination était-elle différente du souvenir ? En quoi lui était-elle liée ? Était-ce parce que j'avais tant de problèmes avec mes souvenirs que j'avais si peu d'imagination, et un accès devenu si faible à la fiction ? Ou bien étais-je entré dans une fiction si intense qu'il me devenait impossible d'entrer dans l'imagination des autres? Je ne pouvais plus lire que très lentement, jamais pour me détendre ni me divertir.
On enterre les gens dans une tombe à leur taille pendant trois ans, au Vietnam. Puis, ce délai passé, la chair évaporée, on transvase dans un coffret plus chétif ce qu'il reste du corps : les os. Les cimetières sont donc faits de petits coffrets d'os. Ce sont eux qui demeurent, singuliers. Le premier cercueil est temporaire, public, il ne sert qu'à désosser et reçoit, tous les trois ans, différents morts. C'est un lieu de repos passager. Ensuite, dans l'unique boîte, il n'y aura plus que les os propres, comme si la chair importait peu, modifiable telle qu'elle est le long d'une vie, tantôt fraîche, tendre, lisse, tantôt ridée, malade, tavelée, tantôt douce, serrée, tantôt rêche, distendue, tantôt cisaillée tantôt… À la fin, il n'y a plus que les os qui s'entrechoquent.
A l’abattage, les ouvriers étaient le plus souvent couverts de sang et celui-ci, sous l’effet du froid, se figeait sur eux. Pour peu que l’un d’eux s’adossât à un pilier, il y restait collé ; s’il touchait la lame de son couteau, il y laissait des lambeaux de peau. Les hommes s’enveloppaient les pieds dans des journaux et de vieux sacs, qui s’imbibaient de sang et se solidifiaient en glace ; puis une nouvelle couche s’ajoutait à la précédente, si bien qu’à la fin de la journée ils marchaient sur des blocs de la taille d’une patte d’éléphant.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Vous êtes donc jeune aussi, Monseigneur, un peu plus de dix-huit ans, tout de même, vingt-cinq, sans doute, trente, peut-être, guère au-delà. Passé cet âge, on se met à peser chacun de ses actes, on brime son cœur, on tue son âme, on se trahit à chaque instant, car nul ne peut mener sa vie autrement en ces temps qui sont les nôtres.
Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit - Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit - Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres, - Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres - Vous n'avez que les trois qui forment le mot: sot!
Et tous les autres dont les visages plus lointains sont là dans l'ombre. Le temps est venu où les répertoires sont pleins d'adresses dont on ne poussera plus jamais la porte, de numéros de téléphone qu'on ne composera plus jamais - mais les rayer serait une profanation. Ces inscriptions sont comme les fantômes qui marquent dans les bibliothèques la place des livres absents. Cela fait des années que ça a commencé, ce lent effacement du monde, et la disparition des proches qui au début me semblait une effraction scandaleuse du néant dans la vie a pris désormais, tout en restant aussi choquante, la forme de l'inéluctable et presque de l'habituel. Il me semble que je dois en parler, même si je me suis promis d'exclure autant que possible l'intime de ce récit, ou de ne l'évoquer que lorsque c'est le monde extérieur qui le suscite, car cette attrition du territoire de l'amitié est une des raisons du mouvement qui m'emporte loin sur les routes du vaste monde : je m'éloigne d'un monde peu à peu, opiniâtrement déserté. Mes amis morts, dont l'absence me pèse, me font de plus en plus léger, une plume prête à s'envoler, un "bateau frêle comme un papillon de mai.". Ce livre est un livre sur le monde et sur l'éloignement du monde
C'est qu'à force que tes proches se taillent à la morgue, tu finis par être plus mort qu'eux. Vu qu'à chaque fois qu'on perd quelqu'un de cher on meurt aussi un peu.
Le milieu scolaire demeure l'endroit privilégié où l'enfant construit sa personnalité propre et son identité sociale. C'est le plus souvent à l'école que l'enfant se cherche en faisant l'expérience de ses relations avec les autres : est-il le dernier à être choisi au sein de l'équipe de ballon-chasseur ? a-t-il du succès lors de l'élection du représentant de classe ? est-ce que les autres rient quand il leur fait une grimace ? se moque-t-on de lui à la récréation ? Voilà autant de questions essentielles dont les réponses enseigneront peu à peu à l'enfant qui il est. Est-il populaire, aimable, admiré ? Modérément marginal, différent ou handicapé ? Un peu trop gros, un peu trop laid, boutonneux ou niaiseux ? Rien de tout cela n'est simple ni facile pour personne. L'écolier affronte l'apprentissage de la vie en société. Cela aussi, on le sait très bien.
Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
La première chose à faire si l'on veut détruire quelque opinion, elle est de s'en faire maître un peu plus que ceux mêmes qui la soutiennent le mieux.
Il voulait peut-être aussi renouer le contact. En prenant de l'âge, on devient un peu bizarre sur ce plan. Ce qui remonte très loin dans le temps se rapproche de vous et prend plus d'importance.
Jusqu'à douze ans — oui, douze ans sonnés ! — il venait dans le lit de sa mère, une demi-heure, avant d'aller se coucher. Elle le tenait contre elle, en chemise de nuit, chaud comme un oison ; ils causaient, quelquefois ils lisaient le même livre ; c'est ainsi qu'ils lurent ensemble le début de Quo Vadis : l'amour des Romains prit naissance sous le drap, ce qui était parfaitement adapté. Tant qu'il y eut la gouvernante anglaise, à neuf heures précises elle frappait : Alby, it's time. Mme de Bricoule maudissait la gouvernante, dans son langage peu châtié, dès qu'elle avait tourné le dos. Un jour, à douze ans, sans savoir même ce qu'il faisait, il toucha sa mère où il ne faut pas. Elle lui dit le lendemain : « Maintenant tu ne viendras plus dans mon lit. Tu es trop grand. » Il l'accueillit sans y prendre garde, comme il avait fait son geste sans y prendre garde. Mais, elle, ce petit homme chaud lui manquait durement.
Vous les voyez, Monsieur ? Tous les onze, de gauche à droite : Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André. Invariables et droits. Les commissaires. Le grand comité de la grande Terreur. Quatre mètres virgule trente sur trois, un peu moins de trois. Le tableau de ventôse. Le tableau si improbable, qui avait tout pour ne pas être, qui aurait si bien pu, dû ne pas être, que planté devant on se prend à frémir qu'il n'eût pas été, on mesure la chance extraordinaire de l'Histoire et celle de Corentin. On frémit comme si on était soi-même dans la poche de la chance. Le tableau – peint de la main de la Providence, ainsi qu'on aurait dit cent ans plus tôt, ainsi que Robespierre le disait encore chez la mère Duplay comme s'il eût été dans Port-Royal.
Le coeur humain est comme le caoutchouc : un faible effort l'allonge, un grand ne le rompt pas. Si un peu plus que rien peut le troubler, il ne faut guère moins que tout pour le briser.
C'est parce que je doute que je cherche, que je me bats, que je me force à avancer toujours un peu plus loin, que j'essaie de faire un pas de plus alors que mes pieds sont de plus en plus lourds et ma fatigue de plus en plus pesante. Mais je chercherai et agirai ainsi tant qu'il me restera un souffle de vie et le courage de m'en servir pour aller de l'avant et, peut-être, comprendre enfin...
Après cela, que l’on en pense, que l’on en juge, que l’on en dise et que l’on en fasse tout ce que l’on voudra dans le monde, je ne m’en embarrasse guère ; que les hommes s’accommodent et qu’ils gouvernent comme ils veulent, qu’ils soient sages ou qu’ils soient fous, qu’ils soient bons ou qu’ils soient méchants, qu’ils disent ou qu’ils fassent même de moi ce qu’ils voudront après ma mort ; je m’en soucie fort peu : je ne prends déjà presque plus de part à ce qui se fait dans le monde ; les morts avec lesquels je suis sur le point d’aller ne s’embarrassent plus de rien, ils ne se mêlent plus de rien, et ne se soucient plus de rien. Je finirai donc ceci par le rien, aussi ne suis-je guère plus qu’un rien, et bientôt je ne serai rien.
La vie est un orage, soit! Nous sommes orage et convulsion nous-mêmes. Laissons-nous aller à cette loi, qui emporte tout dans l'abîme, et il n'y a plus de société, plus d'humanité, plus rien: nous finissons comme les sauvages, par l'eau de feu ; si nous croyons à la civilisation, c'est-à-dire à Dieu et à l'homme, luttons contre l'orage extérieur et contre l'orage intérieur; exerçons-nous à la force, réservons le peu que nous en acquérons chaque jour pour un noble emploi.

Yacine Kateb
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Abdoulaye Diarra, dit Oxmo Puccino
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