Citations sur fable

La Fable offre à l'esprit mille agréments divers

Mais dans une profane et riante peinture De n'oser de la Fable employer la figure, C'est d'un scrupule vain s'alarmer sottement

Fable est uns contes que l'om dit des choses qui ne sont pas voires [vraies] ne voiresemblables, si comme la fable de la nef qui vola parmi l'air longuement

Clemence grant et magnanimité, Cela avez ; mais vous passez, sans fable, Ung droit Cesar en liberalité

Il me laisse au milieu d'une terre étrangère, La fable de son peuple et la haine du mien

Sa mort est trop certaine et fut trop remarquable Pour craindre un grand effort d'une si vaine fable

Tu ne trouveras plus ici, Alexandre, de fables ridicules à conter pour te vanter d'être le fils de Jupiter

Il ne le tint à fable, mais s'appareilla, et monta tantost à cheval, et partit

Je ne prétends pas qu'une patience ridicule me rende la fable de la ville

L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps, l'autre l'âme ; le corps est la fable ; l'âme, la moralité

Aristote n'admet dans la fable que les animaux

Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître

Là [en Grèce], l'histoire ou la Fable ont semé leurs grands noms Sur des débris sacrés, sur les mers, sur les monts

Tu veux rendre, Asdrubal, par une pure fable, Le coupable innocent et l'innocent coupable

Et si l'enfer est fable au centre de la terre, Il est vrai dans mon sein

Par vous la piété devient la fable du monde, le jouet des impies

Nous allons servir de fable et de risée à tout le monde

Servir de fable au peuple

Un prince sera la fable de toute l'Europe et n'en saura rien

Suis-je, sans le savoir, la fable de l'armée ?

[Pharnace].... me troublant par des fables, Grossit, pour se sauver, le nombre des coupables

La science... Sert au peuple de fable, aux plus grands de risée

Non plus que si nos peines Étaient fables du peuple inutiles et vaines

On doute que les fables d'Ésope, telles que nous les avons, soient toutes de lui, du moins pour l'expression ; on en attribue une grande partie à Planude, qui a écrit sa vie, et qui vivait dans le XIVe siècle

Gardez-vous de l'homme malicieux, qui est toujours appliqué à faire le mal, de peur qu'il ne vous rende pour jamais la fable du monde