Citation mais
Sélection de 8892 citations sur le sujet mais
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Citations mais - Page 338 sur un total de 445 pages.
Le désir est volatil, imprévisible, sinon ce ne serait plus du désir, mais de la routine.
  Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi  - 
Katherine Pancol
La vérité est utile à celui qui la reçoit, peut-être, mais c'est une épreuve pour celui qui l'énonce.
  Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi  - 
Katherine Pancol
Le proverbe dit vrai : un lotus pousse dans la vase d’un étang, mais aucune boue ne peut entacher ses pétales purs comme jade.
  L'éternité n'est pas de trop  - 
François Cheng
L'obscurité ne faisait pas disparaître les formes, mais les couleurs. Est-ce ainsi que voyaient les gens dans les vieux films ?.
  Belle famille  - 
Arthur Dreyfus
Je veux que tous ceux qui m'écoutent pensent à Mars, seulement Mars, encore et encore et encore. (. .. ) Je veux être enterré sur Mars. Je ne veux pas être la première personne à y aller : ce sera trop tard. Mais je veux être le premier mort à y aller. (. .. ) Enterrez-moi sur Mars dans un endroit nommé l'Abysse Bradbury. Ils faut qu'ils donnent mon nom à en endroit et celui-ci me plaît.
  Ray Bradbury dans une interview de 2009 à 365 Days of Astronomy.  - 
Ray Bradbury
Les êtres que j’ai aimés ont toujours été meilleurs et plus grands que moi. La pauvreté telle que je l’ai vécue ne m’a donc pas enseigné le ressentiment, mais une certaine fidélité, au contraire, et la ténacité muette. S’il m’est arrivé de l’oublier, moi seul ou mes défauts en sommes responsables, et non le monde où je suis né.
  Préface de L'Envers et L'Endroit  - 
Albert Camus
Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu’était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l’extrême misère arabe ne peut s’y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu’on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.
  Préface de L'Envers et L'Endroit  - 
Albert Camus
Je me sentais des forces infinies : il fallait seulement leur trouver un point d’application. Ce n’était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces : en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L’obstacle était plutôt dans les préjugés ou la bêtise. J’avais là toutes les occasions de développer une « castillanerie » qui m’a tait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j’ai essayé en vain de corriger, jusqu’au moment où j’ai compris qu’il y avait aussi une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter, son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus forts que son caractère. Mais, après m’être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n’a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l’envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
  Préface de L'Envers et L'Endroit  - 
Albert Camus
Dans l'épreuve quotidienne qui est la nôtre, la révolte joue le même rôle que le cogito dans l'ordre de la pensée : elle est la première évidence. Mais cette évidence tire l'individu de sa solitude. Elle est un lien commun qui fonde sur tous les hommes la première valeur. Je me révolte, donc nous sommes.
  L'homme révolté  - 
Albert Camus
C'est l'optimisme des repus ici qui serait le scandale. L'Europe doit réapprendre la modestie. Car celui qui espère en la condition humaine est peut-être un fou. Mais celui qui désespère des événements est certainement un lâche.
  Œuvres complètes: 1949-1956  - 
Albert Camus
L'important n'est pas de guérir mais de vivre avec ses maux.
  Correspondance à Madame D'Epinay  - 
Abbé Galiani
Hélas, les Dieux ne donneront jamais rien de plus de leur éternel trésor. Car nos grands Dieux ont fini par se lasser, par s'irriter de tous nos pêchés sans fin, de notre vain effort pour expier par la souffrance, par la prière, ou par le prêtre, le gaspillage des jours de la jeunesse, et jamais, jamais ils ne prêtent la moindre attention, soit au bien, soit au mal, mais dans leur indifférence, ils font tomber la pluie sur le juste et l'injuste.
  Panthéa   - 
Oscar Wilde 
Un inconnu est abattu dans la rue, on bouge à peine pour lui venir en aide. Mais si, une demi-heure avant, on avait passé juste dix minutes avec lui et appris un peu sur lui et sa famille, on aurait peut-être sauté devant son agresseur et essayé de l'arrêter. Vraiment, la connaissance est une bonne chose. Ne pas savoir ou refuser de savoir est mauvais, ou du moins amoral. On ne peut pas agir si on ne sait pas.
  La foire des ténèbres   - 
Bradbury
Comme les ruisseaux et les plantes, les âmes avaient besoin de la pluie, mais d’une autre sorte : l’espoir, la foi, la raison de vivre. Sinon, même si le corps continuait à vivre, l’âme dépérissait ; et les gens pouvaient dire que là, dans ce corps, il y avait eu un homme.
  La cinquième montagne  - 
Paulo Coelho
Les humanitaires s’abattent sur les pays en voie de développement avec leurs bons sentiments, mais ils ignorent tout des coutumes des habitants.
  Parfum d'ébène   - 
Denis Labayle
Je suis un écrivain. Ce n'est pas moi mais la plume qui pense, se souvient ou découvre.
  Carnets III, mars 1951-décembre 1959  - 
Albert Camus
S'il y a un plat universel, ce n'est pas le hamburger mais bien la pizza, parce qu'elle se limite à une base commune - la pâte - sur laquelle chacun peut disposer, agencer et exprimer sa différence.
  Fraternités - Une nouvelle utopie  - 
Attali
Tout le monde est réaliste. Personne ne l'est. Finalement ce n'est pas l'esthétique qui importe, mais l'attitude intérieure.
  Carnets III, mars 1951-décembre 1959  - 
Camus
On se supporte grâce au corps - à la beauté. Mais le corps vieillit. Quand la beauté se dégrade, alors les psychologies seules restent en présence - et elles s'affrontent, sans intermédiaire.
  Carnets III, mars 1951-décembre 1959  - 
Albert Camus
Style. Prudence devant les formules. Elles sont parfois comme le tonnerre : elles frappent mais n'éclairent pas.
  Carnets III, mars 1951-décembre 1959  - 
Albert Camus
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