Citations sur 254

Preneiz ....Et de la pourre [bourre] de l'estrille, Et du ruyl de la faucille

C'est aux guerres qu'on doit monstrer sa valeur et hazarder liberalement sa vie, et ceux qui la vont precipitans aux querelles, font croire qu'ils ne l'estiment pas de grand prix

Et donnoit à poingnées aussi bien les siens deniers, comme il faisoit ceulz que il avoit gaingnés

Ma fievre croist tousjours, la vostre diminue... La vostre est à plaisir, la mienne est continue...

Plus on attend, plus s'enracine le mal ; toutesfois il est encores guerissable, moyennant qu'on le cure par les causes plustost que par les accidens

C'est une grande avance que d'avoir l'esprit en repos

Plus on attend, plus s'enracine le mal

Il ne faut point trencher en deux une amitié ; Un est nombre parfait, imparfait le deuxiesme

Seigneurs, madame la royne ma mere m'a mandé et prié tout comme elle peut, que je m'en voise en France

Lors je plorai et rendis graces à Dieu, et li dis ainsi : Sire, aouré soies tu de ceste soufraite que tu me faiz

Les chars crues ils mettent entre leur selles et leur paniaus, quant le sanc en est bien hors, si la manjuent toute crue

Je trouvai [j'appris] par les chevaliers de Bourgoingne, quant il revindrent de prison, que il....

Sire de Joinville, je vous aime moult ; mès soiés certein que, se vous ne vous voulez soufrir [vous désister] de ceste demande, je ne vous aimeré jamez

Sire, vos freres et les riches hommes qui ci sont, ont regardé à vostre estat, et ont veu que vous n'avez pooir de demourer en cest païs

Ce que il ne peuent manger jetent en un sac de cuir, et, quant il ont fain, si oeuvrent le sac, et manguent touz jours le plus viex devant

Amour est sans milieu ; c'est une chose extreme Qui ne veut (je le sçay) de tiers ny de moitié

Or avint que une contenue [fièvre continue] me prist, parquoy j'alai au lit et toute ma mesnie aussi

J'attends avec impatience mes lettres de vendredi : il me faut encore cette confirmation de votre chère et précieuse santé

C'estoit comme on dit : après la mort le medecin

Nous preismes quarante livres pour nos despens, et le remenant commendasmes à garder au commandeur du palais du Temple

J'aime de tout mon coeur, je veux aussi qu'on m'aime

Le commandeur li respondi que il n'avoit denier du mien, et que il ne me congnoissoit

Preneiz dou sayn de la marmote, De la merde de la linote, Au mardi main [matin], Et de la fuelle dou plantain

Or estoit ainsi que il avoit une logete à mon chevès, par où l'on entroit ou moustier

Et pour ce que la besoingne est grosse, je vous donne respit de moy respondre ce que bon vous semblera, jusques à d'ici en huit jours