Citations sur jean racine

Ennemi des Romains et de la tyrannie, Je n'ai point de leur joug subi l'ignominie

Toujours les scélérats ont recours au parjure

Et la Crète fumant du sang du Minotaure

Le sénat chaque jour et le peuple, irrités De s'ouïr par ma voix dicter vos volontés

Pour rendre à d'autres dieux un honneur adultère

Si de tant de malheurs quelque pitié te touche

Le fer ne produit point de si puissants efforts

Je suis, dit-on, un orphelin Entre les bras de Dieu jeté dès ma naissance

Presse, pleure, gémis, peins-lui Phèdre mourante

[Pour le labyrinthe] Un fil n'eût point assez rassuré votre amante

Aux larmes, au travail le peuple est condamné

Il vous aurait déplu s'il pouvait vous déplaire

Quel tourment de se taire en voyant ce qu'on aime, De l'entendre gémir, de l'affliger soi-même !

La porte du sérail à ma voix s'est ouverte

Madame, assurez-vous de mon obéissance

Quoi ! ce départ n'est donc qu'un cruel stratagème ?

Ses yeux baignés de pleurs demandaient à vous voir

Va profaner des dieux la majesté sacrée

Vous savez pour Joad mes égards, mes mesures

Et le jeune Agrippa, de son sang descendu, Se vit exclu d'un rang vainement prétendu

Flamme adultère

Hé ! par provision, mon père, couchez-vous

Ou que d'un beau trépas la mémoire durable....

Toujours humble, toujours le imide Néron N'ose-t-il être Auguste et César que de nom ?

Déserteur de leur loi [des Hébreux], j'approuvai l'entreprise, Et par là de Baal méritai la prêtrise ; Par là je me rendis terrible à mon rival, Je ceignis la tiare et marchai son égal