Citations sur jean racine

Goûtez tout le plaisir d'une grandeur nouvelle

De cette fleur si tendre et si tôt moissonnée

Vous pouvez sur Pyrrhus ce que j'ai pu sur lui [Hector]

Quel devins-je au récit du crime de ma mère !

Rendez grâce au seul noeud qui retient ma colère

Polynice, seigneur, demande une entrevue

J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies

Ma jeunesse, nourrie à la cour de Néron, S'égarait, cher Paulin, par l'exemple abusée

La gloire des méchants en un moment s'éteint ; L'affreux tombeau pour jamais les dévore

Je conçois vos douleurs

Vos intérêts ici sont conformes aux nôtres

Ma main de cette coupe épanche les prémices

Non, non, c'est à Dieu seul qu'il faut nous attacher

Sans reculer plus loin l'effet de ma parole

Cet enfant de David, votre espoir, votre attente

Seigneur, je viens pour elle implorer votre appui

Un désordre éternel règne dans son esprit, Un chagrin inquiet l'arrache de son lit

Un songe (me devrais-je inquiéter d'un songe ?) Entretient dans mon coeur un ennui qui le ronge ; Je l'évite partout, partout il me poursuit

Accablant vos enfants d'un empire odieux

Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux

C'est peu de vouloir, sous un couteau mortel, Me montrer votre coeur fumant sur un autel

.... Ciel ! si quelque infidèle, Écoutant nos discours, nous allait déceler !

C'est une belle chose de voir le compère cardeur et le menuisier gaillard avec la robe rouge comme un président, donner des arrêts et aller les premiers a l'offrande ; vous ne voyez pas cela à Paris

Vous, dès que cette reine ivre d'un fol orgueil.... Ne pourra plus retourner en arrière

Certes plus je médite, et moins je me figure Que vous m'osiez compter pour votre créature