Citations sur rÉgnier

Les lumières.... Qui, me navrant le coeur, me promettaient la paix

Et moi : maudit soit-il, m'amour, qui le fera !

....un panégyrique [du roi Henri IV], Où, mollement disert, sous un sujet si grand Dès le premier essai mon courage se rend

....Ce mal qui m'afflige au mourir

Ils rangent leurs discours au point de l'intérêt

En dansant tout ainsi qu'un barbe encastelé

Quand on se brûle au feu que soi-même on attise, Ce n'est pas accident, mais c'est une sottise

Homère et le chantre latin

[Il] court le faquin, la bague, escrime des fleurets

Sa langue, en bégayant, d'une façon mignarde, Me disait....

Pouvez-vous endurer que ces rauques cigales Égalent leurs chansons à vos oeuvres royales ?

Leur esprit prend l'essor où leur langue les guide

Je vais, comme un lutin, deçà delà courant

Ainsi cette raison [de l'homme] est une étrange bête

Mais si tost que le fils le pere dechassa....

Dont le rabat est sale et la chausse rompue, Ses grègues aux genoux, au coude son pourpoint

Je l'avoue, il est vrai, j'étais sans défiance

Leur visage reluit de céruse et de peautre

La terre Qui fut, avant le temps que survinrent ces maux, Un hôpital commun à tous les animaux, Quand le mari de Rhée, au siècle d'innocence, Gouvernait doucement le monde en son enfance

La tête la première Me jeter du Pont-Neuf à bas dans la rivière

Et le plus saint d'entre eux, sauf le droit du cordeau, Vivait au cabaret pour mourir au bordeau

Pour nous faire, sans rire, avaler ce morceau

Ou bien lorsque Cérès de froment se couronne

En remâchant un propos avalé

Qu'ils [tes écrits] fassent sourciller les doctes de merveille