Citations sur bÉrang.

Il [mon aïeul] but ainsi son héritage ; Que son âme soit en repos !

Quand ses lauriers [du Pinde] .... Vont balayer la fange des cachots

Le clinquant ne vous convient plus, J'ai cinquante écus de rente

Cette fille Qui frétille N'a pourtant qu'un cotillon

Chez l'étranger la mort l'atteint ; Qu'il dut trouver sa coupe amère !

Que dans l'or mangent les grands ; Il ne faut à deux amants Qu'un seul verre, qu'une assiette

S'il faut mon sang pour la victoire, Agnès, tout mon sang coulera

Ton char traîné par deux coursiers rapides

De peur que je n'en gronde, Verse au moins jusqu'au bord

Oui, sur Probus, prince équitable, Il [le vin] nous souffle un chorus flatteur

Dans ces instants où le coeur pense, Heureux qui peut rentrer en soi !

Mais à sa table un financier Me verse-t-il rasade

Sur un trône l'ennui se carre, Fier d'être encensé par des sots

Aux pauvres, ses bons amis, En raffistolant ses chaussures, Il disait....

Écoute, mouchard, mon ami, Je suis ton capitaine

Tu vas, dis-tu, vieux et pauvre alchimiste, Tirer de l'or des métaux indigents

Vole en Pologne ; Arrachons un peuple au trépas ; Que nos poltrons en aient vergogne

Non, d'aucune chevalerie Je n'ai le brevet sur vélin

Il [l'homme] prend nos amours pour modèles ; Mais nos guenons nous sont fidèles

Dans nos discords j'ai fait plus d'un naufrage, Sans fuir jamais la France et son beau ciel

Pour qui s'épuise à travailler, La mort est un doux oreiller

La nature était mon Armide ; Dans ses jardins j'errais surpris ; Mais un chimiste moins timide Règne en vainqueur sur leurs débris

C'est l'air natal qui séchera tes larmes

Je le dis sans blesser personne, Notre âge n'est pas l'âge d'or

Quoi ! vivrez-vous donc toujours, Vieux petits culs nus d'amours ?