Citations sur corneille

Adieu ; je me retire en confident discret

Le parricide a fait la moitié de nos rois

Libéral, intrépide, affable et sans orgueil

Dedans mon ennemi je trouve mon amant

Je voudrais, pour la perfection, que ces personnages servissent encore à quelqu'autre chose dans la pièce, et qu'ils y fussent introduits par quelqu'autre occasion que celle d'écouter ce récit

- N'outragez plus les morts

Et ces grands coeurs enflés du bruit de leurs combats

Ne me regarde plus d'un visage étonné

Pour le coeur, si je puis vous le dire entre nous, Je ne m'aperçois pas qu'il soit encore à vous

Mon repos m'abandonne et ma flamme revit

Ceux de la marine et les Illyriens Se sont avec chaleur joints aux prétoriens

Et j'ai vu leur honneur croître de la moitié, Quand ils ont des deux camps refusé la pitié.... Si leur haute vertu ne l'eût répudiée, Ma main...

Et le trône et le roi se seraient ennoblis à soutenir la main qui les a rétablis

J'ai honte de montrer tant de mélancolie

.... Voir tout ce que j'aime entre les bras d'autrui

Il fallait labourer les tristes champs de Mars Et des dents d'un serpent ensemencer la terre

Jusques où n'ont été leurs saintes abstinences ? Jusques où n'ont-ils su pousser Le zèle de voir avancer Les fruits de tant de pénitences ?

Vous faut-il étonner de ce que je l'ignore ?

Quoi qu'on fasse de grand et de considérable

L'effort où mon devoir m'engage Ne peut plus me réduire à vous donner demain Ce qui vous était sûr, je veux dire ma main

Je crois qu'avant deux jours je sécherais d'ennui

Ce n'est plus la valeur, ce n'est plus la naissance Qui donne quelque droit à la toute-puissance

La valeur de leur chef ne trouvait point d'obstacles

Et dans ce même trône où vous m'avez voulu, Sur moi comme sur tous je dois être absolu

Ces montagnes de morts.... Sont les titres affreux dont le droit de l'épée, Justifiant César, a condamné Pompée