Citations sur corneille

Si vous pouvez trouver dans ma compassion....

Ce grand feu des Romains en paraît ralenti

M'aimez-vous ? - Oserais-je en prendre encor l'audace ?

En vit-on jamais un [sort] dont les rudes traverses Prissent en moins de rien tant de faces diverses ?

La Syrie à vos lois est-elle assujettie Pour souffrir qu'une femme [Théodore] y soit juge et partie ? Jugez de Théodore

Et [il] n'oppose à mes voeux que son propre mérite

Il possédait ton âme, il vivait sous tes lois

On te croirait toujours abattu sans effort

Je juge comme vous sur la foi de mes yeux, Et laisse le dedans à pénétrer aux dieux

Mon âme jouira de ton inquiétude, Je rirai de ta peine

Dis-lui qu'à tout le peuple on va l'abandonner ; Tranche le mot enfin, que je la prostitue

Voulez-vous demeurer dedans la rêverie ?

Ressouviens-t'en, ingrat ; remets-toi dans la plaine Que ces taureaux affreux brûlaient de leur haleine

Mais vous pensez en vain chercher une défaite ; Demandez-lui, monsieur, quelle vie on m'a faite

Pareil à ces éclairs qui, dans le fort des ombres, Poussent un jour qui fuit et rend les nuits plus sombres

Un regard désarmé de toutes ses rigueurs Et tel qu'il est enfin quand il gagne les coeurs

J'en suis le seul auteur [de la conspiration], elle n'est que complice

Il fait tous ses efforts pour gagner mes parents, Et, s'il les peut fléchir, quant à moi, je me rends ; Non, à dire le vrai, que son objet me tente ; Mais, mon père content, je dois être contente

Et pour m'assassiner je lui prête mon bras

Je vous dirais, seigneur (car ce n'est plus à moi à nommer autrement et mon juge et mon roi)

[Il] Enfle l'avidité de mes ressentiments

Il est bon quelquefois de sentir des traverses Et d'en éprouver la rigueur, Elles rappellent l'homme au milieu de son coeur, Et peignent à ses yeux ses misères diverses

La guerre en tel éclat a mis votre valeur

Vous lui continuez ce service fidèle

Ainsi donc au besoin ton courage s'abat