Citations sur corneille

Ce monarque étonné à ses frayeurs déjà s'était abandonné

Mais puisque pour ôter l'Espagne à nos tyrans, Nous prenons, vous et moi, des chemins différents

Soit que vous contraigniez pour vos dieux impuissants Mon corps à l'infamie ou ma main à l'encens

La violence est juste où la douceur est vaine

J'ai sur elle, après tout, une puissance entière ; Mais j'aime à la cacher sous le nom de prière

Polyclète, Des volontés d'Auguste ordinaire interprète

Mais, dites-moi, madame, a-t-il eu sa réponse ?

Tout le secret ne gît qu'en un peu de grimace

Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris

Je deviendrais suspect à parler davantage

Je meure, ton humeur me semble si jolie, Que tu me vas résoudre à faire une folie

Fausse remarque, comme le prouvent les exemples suivants : Ton ardeur criminelle à la vengeance aspire, Ta bouche la demande, et ton coeur la respire !

N'eût-il que d'un moment reculé sa défaite, Rome eût été du moins un peu plus tard sujette

Que peut-on m'ordonner que mon bras n'accomplisse ?

Cependant qu'insensible à ce qu'elle a d'appas

Ce mage, qui d'un mot renverse la nature, N'a choisi pour palais que cette grotte obscure

Les sables et les bancs cachés dessous les eaux Rendent l'accès mal sûr à de plus grands vaisseaux

Dites-moi seulement s'il a sauvé mon frère, S'il m'a tenu promesse

Prenons notre avantage avant qu'on nous poursuive

Antoine et Manlius déchirés par morceaux

Mes secours en Judée achevèrent l'ouvrage, Qu'avait des légions ébauché le suffrage

Je l'envisage entier [notre malheur], mais je n'en frémis point

Faites-lui du silence, et l'écoutez parler

Et cet ingrat que j'aime, Après m'avoir fourbé, me fait fourber moi-même

Tour à tour la victoire auprès d'eux en furie A poussé le courroux jusqu'à la barbarie