Citations sur corneille

Et [son esprit] nourrissait ainsi d'éternelles douleurs

Mais pour servir César rien n'est illégitime

Si vos amis de Rome en ont pris quelque soin, C'était sans mon aveu, je n'en ai pas besoin

Mais de ce grand sénat les saintes ordonnances Eussent peu fait pour vous, seigneur, sans vos finances

Cette marchandise est de trop bon aloi

Quelque effort que l'on fasse à rompre vos beaux noeuds

Comme Phorbas avait mal obéi....

Nous nous levons alors, et tous en même temps Poussons jusques au ciel mille cris éclatants

La conjuration s'en allait dissipée

Te mesurer à moi, qui t'a rendu si vain, Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main ?

L'ambition déplaît quand elle est assouvie ; D'une contraire ardeur son ardeur est suivie

Son trop d'amour pour la cause publique

Mon coeur vous en dédit, un secret mouvement Qui le penche vers vous malgré moi vous dément

Il me faut des effets et non pas des promesses

[Il] Agit contre son rang pour mieux faire sa cour

Une chose, il est vrai, fait souvent balancer, Attiédit en plusieurs l'ardeur de s'avancer, Et dès les premiers pas les retire en arrière

Ah ! gardez-vous de l'une et l'autre main ; Cette coupe est suspecte, elle vient de la reine

Car hors de l'Arménie enfin je ne suis rien

Plus on sert des ingrats, plus on s'en fait haïr

De qui même le front, déjà pâle et glacé, Porte empreint le trépas dont il est menacé

Je veux, je ne veux pas, je m'emporte et je n'ose

Il n'est pas bien aisé de m'obtenir de moi

Voyez la bonne pièce avec ses révérences

Je n'ai point fait la pièce qui vous pique ; je l'ai reçue de Paris avec une lettre qui m'a appris le nom de l'auteur ; il l'adresse à un de nos amis qui vous en pourra donner plus de lumière

S'il m'aime, il doit aimer cette digne arrogance Qui brave ma fortune et remplit ma naissance