Citations sur corneille

Et que de mon bonheur vous avez abusé Jusqu'à plus attenter que je n'aurais osé

Carthage étant détruite, Antiochus défait, Rien de nos volontés ne peut troubler l'effet

Quoi ! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné !

Quoique tu sois grand cénobite, Quoique tu sois parfait hermite, Jamais, tant que tu vis, ne te tiens assuré

Allez, seigneur, allez Venger sur ces méchants tant de droits violés

De mon propre néant jamais ne m'oublier

On te croirait toujours abattu sans effort

Mon plus cuisant chagrin est de ne vous voir pas

Où l'on puisse en douceur couler quelque moment

À se rendre moi-même en vain je les convie

Tu te tais maintenant, et gardes le silence

Les accommodements ne font rien en ce point

Ici l'ordre est gardé de la mathématique ; Tant d'arbres en leur plant n'ont point de ligne oblique

Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient, Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient

Tous regardent l'empire ainsi qu'un bien commun

Ne vous plaignez plus, Si j'ose m'enrichir, seigneur, de vos refus

C'est un plaisir bien doux que de se voir vengée

Il est des noeuds secrets, il est des sympathies, Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre

Isabelle Durant notre entretien demeure en sentinelle

Il est le favori de l'empereur Décie

Éclate, mon amour, tu n'as plus rien à craindre ; Mon père est satisfait, cesse de te contraindre ; Un même coup a mis ma gloire en sûreté, Mon âme au désespoir, ma flamme en liberté

Les accommodements ne font rien en ce point

L'injuste horreur qu'elle [Rome] eut toujours des rois

Faites-vous un rempart des fils contre la mère

J'ai su par son rapport, et je n'en doutais pas, Comme de vos deux fils vous portez le trépas