Citations sur corneille

À lui rendre service elle m'ouvre une voie

Si jamais jusque-là votre guerre m'engage

Abandonner mon camp en est un [crime] capital

Qu'il donne ordre au dedans, qu'il donne ordre au dehors ; à cet heureux progrès l'un et l'autre confère, Et l'âme a plus de force ayant l'aide du corps

Il [un des personnages] ne semble commencer à l'aimer [une femme] que quand il lui a donné sujet de le haïr ; cela fait une inégalité de moeurs qui est vicieuse

Nos esprits étaient donc également distraits

J'ai cru, pour m'en défaire et m'ôter de souci, Que le meilleur était de l'amener ici

Mon esprit en conçoit une mâle assurance

Puis tout triste et pensif il s'obstine au silence

Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang, Avant qu'aucun résiste, ou reprenne son rang

Rome a trop cru de moi

Pour sauver une vie, après tout, périssable, En rendrais-je le reste infâme et détestable ?

Pour réparer des offenses si sensibles, vous croyez faire assez de m'exhorter à vous répondre sans outrages, pour nous repentir après tous deux de nos folies, et de me mander impérieusement que, malgré nos gaillardises passées, je sois encore votre ami, afin que vous soyez encore le mien

Je ne toucherai à présent qu'à ce qui regarde cette dernière [la comédie], qu'Aristote définit simplement, une imitation de personnes basses et fourbes ; je ne puis m'empêcher de dire que cette définition ne me satisfait point

Elle [Albe] m'estime autant que Rome vous a fait

Je ne veux point d'un trône où je sois leur captive

Protéger hautement les vertus malheureuses, C'est le moindre devoir des âmes généreuses

Moi-même en cet adieu j'ai les larmes aux yeux

Savez-vous les raisons dont il peut se défendre ?

Contre un si grand rival j'agis à force ouverte

Au moindre jour ouvert de tout jeter sur moi

Que tu pénètres mal le fond de mon courage !

Va la voir de ma part, et tâche à l'étonner ; Dis-lui qu'à tout le peuple on va l'abandonner

Sa main seule départ ses libéralités

Ce qu'elle me disait est, de vrai, fort étrange