Citations sur corneille

Ce qu'il faut entendre un peu plus généralement que les termes ne semblent porter, et l'étendre à la réconciliation de toute sorte de mauvaise intelligence

Ces flammes dans nos coeurs sans votre ordre étaient nées

Vous avez habitude avec ce cavalier

N'eût-il que d'un moment reculé sa défaite, Rome eût été du moins un peu plus tard sujette

N'épargnez point mon sang, goûtez sans résistance La douceur de ma perte et de votre vengeance

Comme elle voit ma perte aisément réparable

... la chute du ciel ne pourrait l'ébranler [ma fidélité]

On peut tirer du fruit de tout ce qui fait peine

Il défit trois préteurs, il gagna dix batailles

Tel est de mon amour l'aveuglement funeste

La nature est trop forte, et ses aimables traits, Imprimés dans le sang, ne s'effacent jamais

Et, sur les bords du Tibre, une pique à la main, Lui demander raison [à Sylla] pour le peuple romain

Il est assez nouveau qu'un homme de son âge Ait des charmes si forts pour un jeune courage, Et que d'un front ridé les replis jaunissants Trouvent l'heureux secret de captiver les sens

Et toi, crédule amant, que charme l'apparence, Et dont l'esprit léger s'attache avidement Aux attraits captieux de mon déguisement

Qu'est-ce-ci, mes enfants ? écoutez-vous vos flammes ?

On perd tout quand on perd un ami si fidèle

[Guerriers morts].... dont les troncs pourris exhalent dans les vents De quoi faire la guerre au reste des vivants

Et sous ombre d'agir pour ses folles amours, Il a su pratiquer de si rusés détours....

Pauline sans raison dans la douleur plongée

Vous que de tout mon coeur j'ai toujours adorée

Vous méprisez trop Rome, et vous devriez faire Plus d'estime d'un roi qui vous tient lieu de père

....La puissance absolue, Attendez-la de moi comme je l'ai reçue, Inviolable, entière

Dites, dites, seigneur, qu'il est bien malaisé De céder ce qu'adore un coeur bien embrasé

L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir

Assez et trop longtemps votre discours la flatte