Citations sur corneille

Cependant à Pompée élevez des autels ; Rendez-lui les honneurs qu'on rend aux immortels

Je vais lui présenter mon estomac ouvert

Ô soupirs ! ô respect ! ô qu'il est doux de plaindre Le sort d'un ennemi quand il n'est plus à craindre !

Eh bien, ils se battront, puisque vous le voulez ; Mais Rodrigue ira-t-il si loin que vous allez ?

Et pour apprivoiser ce respect ennemi, Il faut qu'en dépit d'elle elle s'offre à demi

Que sert de s'emporter à ces vaines furies ?

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous

Quand pour vous acquérir je gagnais des batailles.... Que je semais partout la terreur et l'effroi

Sa rigueur importune examine et publie Où manque le devoir d'autrui

Nos ennemis communs attendent avec joie Qu'un des partis défait leur donne l'autre en proie, Lassé, demi-rompu, vainqueur, mais, pour tout fruit, Dénué d'un secours par lui-même détruit

Rodrigue de ma part n'a rien à redouter

Sa voix tumultueuse [du peuple] assez souvent fait bruit

Je vais près de Phocas essayer la prière

Et depuis qu'une fois elle [l'ardeur de régner] nous inquiète

Celle [ardeur] qui vous pressait de courir au baptême, Languissante déjà, cesse d'être la même

Voyez des maux sans nombre et hors de guérison

Vous portâtes soudain la guerre dans la Perse

Sans discourir, faites ce qu'il faut faire ; Un moment de séjour peut tout déconcerter

Prusias : Purge-toi d'un forfait si honteux et si bas. - Nicomède : M'en purger ! moi, seigneur ! vous ne le croyez pas

Rompre les sacrés noeuds d'une amour fraternelle

Vous sortez du baptême, et ce qui vous anime, C'est sa grâce qu'en vous n'affaiblit aucun crime

Je ne me pensais pas si fort dans sa mémoire

Voyez couler nos pleurs sans y mêler vos larmes

Soit qu'ainsi cet hymen eût plus d'autorité

Ce discours rebattu Lasserait une austère et farouche vertu