Citations sur corneille

Allons, déesse, allons ; et sûrs de l'entreprise, Reportons à Médée une âme plus soumise

Zéthès et Calaïs, ces héros emplumés, Qu'aux routes des oiseaux leur naissance a formés

Un autre hymen vous met dans le même embarras

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire

Le maître qui prit soin d'instruire ma jeunesse Ne m'a jamais appris à faire une bassesse

Ma fille, il est toujours assez tôt de mourir

L'inimitié qui règne entre nos deux partis

Vous me serez garant des hasards de la guerre

Ceux de la marine et les Illyriens Se sont avec chaleur joints aux prétoriens

Le ciel agit sans nous en ces événements, Et ne les règle point dessus nos sentiments

Mais, seigneur, étant seul, je parle avec franchise ; Bannissant les témoins, vous me l'avez permise

Mais je crains qu'après tout son âme irrésolue Ne relâche un peu trop sa puissance absolue

Tu tournes tes regards du côté d'Angélique ; Est-elle donc l'objet de tes légèretés ?

Et je m'imputais même à trop de vanité De trouver entre nous quelque inégalité

Hors de l'ordre commun il [le sort] nous fait des fortunes

Son esprit ébranlé par les objets présents

Et vous devez aux dieux compte de tout le sang Dont vous l'avez vengé pour monter à son rang

Je vois mes cheveux gris, je sais que les années Laissent peu de mérite aux âmes les mieux nées.... Que les plus beaux esprits, que les plus embrasés Sont de méchants ragoûts, quand les corps sont usés

Il s'arme en ce besoin de générosité

Le temps de chaque chose ordonne et fait le prix

La topographie moderne de ces contrées-là [Éthiopie] n'est pas fort connue, et celle du temps de Céphée encore moins

Inquiète, rêveuse, insensible aux douceurs Que par un plein succès l'amour verse en nos coeurs

Et songez toutes deux que vous êtes Romaines.... Un si glorieux titre est un digne trésor

Que je vous suis tenu de ce qu'il n'en sait rien !

[Elles] De leur père endormi vont épuiser les veines