Citations sur corneille

Je changeai d'un seul mot la tempête en bonace

Vous savez le surplus, Et je vous en ferais des récits superflus

N'ayez aucune peur, je ne veux rien d'autrui

Rien ne semblait plus sûr qu'un si proche hyménée, Et, parmi ces apprêts, la nuit d'auparavant Vous sûtes faire gille et fendîtes le vent

Léonce est effacé par le fils de Maurice

Et ceux qu'aura ma mort saisis de mon emploi, S'instruiront contre vous, comme vous contre moi

Pourvu que leur vouloir se range sous le nôtre

Ma bonté ne peut plus arrêter mon devoir

Digne d'être avoué de l'ancienne Rome

À peine tu parais les armes à la main, Que tu ternis les noms du Grec et du Romain

Tout cassé que je suis, je cours toute la ville

Ceux dont en l'âme on craint les justes défiances

Et ne savez-vous plus qu'il n'est princes ni rois Qu'elle [Rome] daigne égaler à ses moindres bourgeois ?

Peut-être on vous a tu jusqu'où va son courroux

Que sert de s'emporter à ces vaines furies ?

Et si je puis tomber en cette frénésie De préférer Attale au vainqueur de l'Asie

Mais si fumante encor d'un généreux courroux....

L'auditeur aime à s'abandonner à l'action présente, et à n'être point obligé, pour l'intelligence de ce qu'il voit, de réfléchir sur ce qu'il a déjà vu

Et, ne pouvant quitter ni posséder Chimène, Le trépas que je cherche est ma plus douce peine

Ne me regarde plus d'un visage étonné

Oui, seigneur, dans son mal Rome est trop obstinée, Son peuple, qui s'y plaît, en fuit la guérison

J'approchais de quinze ans alors qu'empoisonnée, Pour avoir contredit mon indigne hyménée

Le flux les apporta, le flux les remporte

Pour plaire, il [le poëte] a besoin quelquefois de rehausser l'éclat des belles actions, et d'exténuer l'horreur des funestes

L'excès de ce bonheur me met en défiance