Citations sur corneille

Je sais que c'est sa soeur à qui va cet hommage

Donnons ordre au présent ; et, quant à l'avenir, Suivant l'occasion nous y saurons fournir

[Il] .... donne lieu d'entrer en quelque défiance Des secrètes raisons de tant d'impatience

Et bien ! à vos dépens vous verrez que Sévère Ne se vante jamais que de ce qu'il peut faire

Il croit que le climat, en dépit de la guerre, Pourra prêter l'épaule au monde chancelant

Prends un siége, Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t'impose

Pompée : Elle paraît ma femme et n'en a que le nom. - Aristie : Et ce nom seul est tout pour celles de ma sorte

Si bien que le sénat prenant un juste ombrage

Quand Maurice peut tout du creux de son cercueil

Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune ; Moi-même, en les cueillant, je fis pâlir la lune

Il se juge en autrui, se tâte, s'étudie

Il serait moins coupable à m'avoir moins aimée

Vous pouvez déjà voir comme elle m'appréhende, Combien en me perdant elle espère gagner

Aussi bien en un seul voici des maux sans nombre

Le secret est à vous et je serais ingrat, Si sans votre congé j'osais en faire éclat

Apprenez-moi de grâce Comment vous résolvez que le festin se passe

Maurice, à quelque espoir se laissant lors flatter, S'en ouvrit à Félix qui vint le visiter

Juge un peu quel désordre aux yeux de ma charmeuse

J'ai cru qu'Antiochus les tenait éloignés, Pour jouir des États qu'il avait regagnés

Rompre les sacrés noeuds d'une amour fraternelle

J'ai su par son rapport, et je n'en doutais pas, Comme de vos deux fils vous portez le trépas

L'impétuosité d'un premier mouvement

L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir

Ah ! qu'avec peu d'effet on entend la raison, Quand le coeur est atteint d'un si charmant poison !

Voilà mon homme pris, et ma vieille attrapée