Citations sur corneille

L'un écrasé subitement Sous le débris d'un bâtiment A fini ses jours et ses vices

Un mot ne fait pas voir jusques au fond d'une âme

Les désastres d'Othon ainsi que moi vous frappent

Mais je vous vois, Maxime, et l'on vous faisait mort

Peignez mes actions plus noires que la nuit

Sa vertu n'a aucun mélange de faiblesse

Ne considère point si l'auteur d'un tel livre Fut plus ou moins savant ; Mais s'il dit vérité, s'il t'apprend à bien vivre, Feuillette-le souvent

Quel espoir mal conçu te rapproche de moi ? Aurais-je de l'amour pour qui n'a point de foi ?

.... j'osai l'employer sans votre autorité

Elle vient toute en pleurs vous demander justice

Ô miracle d'amour !

Comme avec lui mon père a quelque démêlé

.... leurs habits charmés, malgré nos vains efforts, Sont des brasiers secrets attachés à leurs corps ; Qui veut les dépouiller, lui-même les déchire

La vertu la plus ferme évite les hasards

Mais, quoi qu'à ces mutins elle puisse imposer, Demain ils la verront mourir ou t'épouser

À moi ? mes vanités jusque-là ne se montent

Septime se présente, et, lui tendant la main, Le salue empereur en langage romain

L'importance d'ailleurs de ce dernier service [le meurtre de Pompée] Ne permet pas d'en craindre [de César] une entière injustice

Quoi ! s'il aimait ailleurs, serais-je dispensée à suivre à son exemple une ardeur insensée ?

Va chez ces délicats qui n'ont soin que d'unir Le choix des voluptés aux moyens d'y fournir ; Si tu crois y trouver des roses sans épines, Tu n'y trouveras point ce que tu t'imagines

Aux mânes de Pompée il faut une autre offrande, La victime est trop basse et l'injure est trop grande

Vous qui pouvez la mettre au faîte des grandeurs

Si vous m'y autorisez.... à ne vous rien cacher, son amour m'autorise

Si vous le voulez perdre, agréez ma retraite

Comme si notre Rome eût fait toutes vos craintes