Citations sur corneille

Tout beau, gausseur, Ne t'imagine point de contraindre une soeur

L'absence aux vrais amants est encor plus funeste

Et si la moindre tache en demeure à mon nom

Mais Grimoald puni vous coûterait des larmes ; à cet objet sanglant l'effort de la pitié Reprendrait tous les droits d'une vieille amitié

C'est l'attente du ciel, il nous la faut remplir

Sachez-le de lui-même, il entre et vous regarde

Par les peines d'un autre aucun ne s'intimide

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire

Si vous pouviez comprendre et le peu qu'est la vie, Et de quelles douceurs cette mort est suivie !

Seigneur, que vous dirais-je, après que nos offenses, Au lieu de châtiment, trouvent des récompenses ?

L'amour que j'ai pour vous a commis cette offense, Lui seul à mon devoir fait cette violence

Ce qu'a fait le sénat montre ce qu'il faut faire

Soutenir jusqu'au bout la dignité de reine

... pour me l'amener tu t'en vas en personne.... N'envoyer qu'un valet sentirait son mépris

Ne me reprochez plus que par mes cruautés Je tâche à conserver mes tristes dignités ; Je dépose à vos pieds l'éclat de leur faux lustre

Ainsi je les tiendrai tous les deux en contrainte, L'un par mon alliance et l'autre par la crainte

L'âpre déplaisir

Mais, à bien regarder ceux [les maux] où le ciel me plonge, Les vôtres auprès d'eux vous sembleront un songe

Les comédiens n'emploient à ces personnages muets que leurs moucheurs de chandelles et leurs valets, qui ne savent quelle posture tenir

Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur

Vous savez le surplus, Et je vous en ferais des récits superflus

Vos vertus n'ont point eu toute leur étendue

Cette offre peut-elle être un refus coloré ?

J'ajoute à ces tableaux la peinture effroyable De leur concorde impie, affreuse, inexorable

Il a vu ses faisceaux Marcher arrogamment et braver nos drapeaux