Citations sur corneille

Quand dans le sein d'Araspe un poignard enfoncé Le jette aux pieds du prince

Voilà, mes chers amis, ce qui me met en peine

Non, non, ce cher objet à qui j'ai pu déplaire, Ne peut pour mon supplice avoir trop de colère

Le roi que le Romain poussera vivement

Ton bras est invaincu, mais non pas invincible

Nous l'estimons tous deux un des braves guerriers à qui jamais la guerre ait donné des lauriers

Le reste.... Se couche contre terre, et, sans faire aucun bruit, Passe une bonne part d'une si belle nuit

Voilà ce que m'a prêté l'histoire ; le reste est de mon invention

.... Et de tous les mortels ce secret révélé Me rend le plus content ou le plus désolé

Aucun étonnement n'a leur gloire flétrie

Qui te donne, tyran, une attente si vaine ?

Ces flammes dans nos coeurs sans votre ordre étaient nées

Je ne dénierai point, puisque vous les savez, De justes sentiments dans mon âme élevés

Et l'offre de mon bras suivit celle du coeur

Reçois le consulat pour la prochaine année

Rome est dans notre camp, et notre camp dans Rome

Si vous me fâchiez, j'ajouterais peut être ...

Moi, marié ! ce sont pièces qu'on vous a faites ; Quiconque vous l'a dit s'est voulu divertir

Prince, il est temps de fuir quand on se défend mal

Et tout ce qui pourra, sous quelque autre couleur, Autoriser ta haine et flatter ta douleur

Les mystères de cour sont souvent si cachés, Que les plus clairvoyants y sont bien empêchés

Pour un méchant soupir que tu m'as dérobé

Quand de sa folle erreur vous l'auriez diverti, En vain de ce péril vous le croiriez sorti

Ah, reine, en votre coeur il garde trop de part

Zéthès et Calaïs, ces héros emplumés