Citations sur corneille

Et n'appréhendez point Rome ni sa vengeance

Ils servent à l'envi la passion d'un homme Qui n'agit que pour soi, feignant d'agir pour Rome

L'un voit aux mains d'autrui ce qu'il croit mériter, L'autre, un désespéré qui peut trop attenter

Ce que demande Horace au poëte qu'il instruit, quand il veut qu'il possède tellement ses sujets qu'il en demeure le maître et les asservisse à soi-même, sans se laisser emporter par eux

Le poison à mon corps unit mes vêtements ; Et ma peau, qu'avec eux votre secours m'arrache, Pour suivre votre main de mes os se détache

N'eût-il que d'un moment reculé sa défaite

Tombé-je dans l'erreur, ou si j'en vais sortir ?

Mais je vois son esprit fortement irrité

Comme si je vivais, achevez l'hyménée

N'attendez point de moi de regrets ni de larmes ; Un grand coeur à ses maux applique d'autres charmes

Non que pour moi, sans vous, ce trône ait aucun charme

Elle [Sabine] ne sert pas davantage à l'action que l'infante à celle du Cid, et ne fait que se laisser toucher, comme elle, à la diversité des événements

Mais enfin que vous a-t-il dit ? Enfin vous l'emportez, et la faveur du roi Vous élève en un rang qui n'était dû qu'à moi

Votre intérêt m'arrête autant comme le mien

Tous pour Aristie enflammés de vengeance

La justice n'est point une vertu d'État ; Le choix des actions ou mauvaises ou bonnes Ne fait qu'anéantir la force des couronnes

...allez, sans contester, Vous aurez tout loisir de vous faire écouter

Le malheureux Araspe avec sa faible escorte L'avait déjà conduit

Faites-lui perdre temps tandis qu'en assurance La galère s'éloigne avec son espérance

Le devoir désunit l'amitié la plus forte

L'âme du jeune Crasse et celle de Pompée, Le sang des Scipions protecteur de nos dieux Parlent par votre bouche et brillent dans vos yeux

Dégénérons, mon coeur, d'un si vertueux père

Madame, encore un coup, pensez-y mûrement

Camille, qui ne tient que le second rang dans les trois premiers actes et y laisse le premier à Sabine, prend le premier en ces deux derniers

Mais de cette faiblesse un grand coeur est honteux