Citations sur corneille

Trône, à t'abandonner je ne puis consentir

N'espère point de joie, ô mon coeur, que frivole, N'en espère aucune ici-bas, Qu'en ce grand Dieu de qui le bras Soutient l'humble et le pauvre et partout le console

Dût le peuple en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon sang odieux arroser leurs tombeaux

Ma valeur n'a point lieu de te désavouer

Ô frère, plus aimé que la clarté du jour !

J'en pris pour l'avenir dès lors quelques alarmes

Dis-moi quel bon démon a mis en ton pouvoir De rendre à ce héros ce funèbre devoir ?

Nommez-moi par mon nom, puisque vous le savez

Je ne m'étendrai pas davantage sur ce poëme ; tout irrégulier qu'il est, il faut qu'il ait quelque mérite, puisqu'il a surmonté l'injure des temps et qu'il paraît encore sur nos théâtres, bien qu'il y ait plus de vingt-cinq années qu'il est au monde, et qu'une si longue révolution en ait enseveli beaucoup sous la poussière qui semblaient avoir plus de droit que lui de prétendre à une si heureuse durée

Et par son alliance il se crut assuré D'être plus redoutable et plus considéré

Ma rougeur trahirait les secrets de mon coeur

De grâce, acceptez mon service

Sa perte m'affaiblit, et son trépas m'afflige

Un choix abject

Je t'en crois sans jurer, avec tes incartades

Seigneur, cette surprise est pour moi merveilleuse

Quand un homme une fois a droit de nous haïr

Nous n'avons point d'amis qui ne cèdent au nombre

Quelle énigme est ceci, madame ?

Épouse-la, parjure, et fais-en une infâme

[Il] Met l'épée à la main, tourne en fuite le reste

Et laisse-moi de grâce, attendant Émilie, Donner un libre cours à ma mélancolie

Vous me rendez le sceptre.... je vous conjure.... De n'ensanglanter pas ce que vous me rendez ; Faites grâce, seigneur, ou souffrez que j'en fasse [aux assassins de Pompée]

Mon abord en ces lieux Me fit voir Polyeucte, et je plus à ses yeux

Je sais mieux conformer les remèdes au mal