Citations sur corneille

Que le plus grand État ne peut souffrir qu'un maître

Seigneur, votre suffrage a réuni les nôtres ; Votre voix a plus fait que n'auraient fait cent autres

.... le jure Que par ce faux soupçon vous lui faites injure

Souviens-toi.... Que tu me dois ton coeur, que mes faveurs t'attendent

Mais si mon frère était le témoin de ma joie....

Maudite ambition, détestable manie

Mais enfin ce héros, sujet au cours des ans, A trop longtemps vaincu pour vaincre encor longtemps

Si l'on t'a bien donné Léonce pour mon frère, Les quatre autres peut-être à tes yeux abusés Ont été, comme lui, des Césars supposés

Sous un nom si fameux qui vous rend préférable, L'héritier de Galba sera considérable

Les frises, les festons, les corniches et les chapiteaux sont d'or, et portent pour finissement des vases de porcelaine, d'où sortent de gros bouquets de fleurs

Plus elle [la mort] est volontaire, et plus elle mérite

Fiers enfants de l'honneur, nobles emportements

Je suis reine, seigneur ; et Rome a beau tonner, Elle ni votre roi n'ont rien à m'ordonner

Je sais trop que je dois au bien de votre empire Et le sang qui m'anime et l'air que je respire

Suivre en tous lieux, seigneur, l'exil de votre femme

Je dirai peu de chose de cette pièce ; c'est une galanterie extravagante qui a tant d'irrégularités qu'elle ne vaut pas la peine de la considérer, bien que la nouveauté de ce caprice en ait rendu le succès assez favorable pour ne me repentir pas d'y avoir perdu quelque temps

Et du consul Brutus l'astre prédominant Dissipa tout d'un coup ce bonheur étonnant

Et depuis quatre lustres Mon trône n'est fondé que sur des morts illustres

Grâce.... - De quoi, Madame ?... D'avoir trop soutenu la majesté des rois ? Trop rempli votre cour du bruit de mes exploits ?

....Attila me traite assez confidemment

De qui même le front, déjà pâle et glacé, Porte empreint le trépas dont il est menacé

Seigneur, voyez César, forcez-vous à lui plaire

Montrez-lui comme il faut régir une province, Remplir les bons d'amour et les méchants d'effroi

Et, pour ne tenir plus en suspens vos esprits, Si vous voulez régner, le trône est à ce prix

Mais, à parler sans fard de tant d'apothéoses, L'effet est bien douteux de ces métamorphoses