Citations sur corneille

On les tient [les chrétiens] pour sorciers dont l'enfer est le maître, Et, sur cette croyance, on punit du trépas Des mystères secrets que nous n'entendons pas

Un généreux conseil est un puissant secours

S'il est prêt à partir, il peut en ce moment Enlever avec lui son otage aisément

Je m'accuse déjà de trop de négligence, Courons à la vengeance

C'est un feu qui s'éteint faute de nourriture

Que m'offrirait de pis la fortune ennemie ?

Ou par vous, ou par lui, ménagez bien le père

Se plaint-il d'Aglatide, et la jeune indiscrète Répondrait-elle mal aux honneurs qu'il lui fait ?

Lui donner de la sorte un conseil charitable

Mon coeur, plus incapable encor de vanité, Ne ferait point de choix que dans l'égalité

Vous redoublez ma honte et ma confusion

Je vous connaissais mal

Ces deux rares vertus lui étaient si naturelles [à Auguste], qu'il semble qu'en cette histoire [Cinna] que j'ai mise sur notre théâtre, elles se soient tour à tour entre-produites dans son âme

Emprunter le secours d'aucun pouvoir humain, D'un reproche éternel diffamerait ma main

Je sais que sa brigade, à peine descendue, Rétablit à nos yeux la bataille perdue

J'ai sur elle, après tout, une puissance entière ; Mais j'aime à la cacher sous le nom de prière

Et nous verrons ainsi qui fait mieux un brave homme, Des leçons d'Annibal ou de celles de Rome

Et le perçant à jour de deux coups d'estocade

S'armant à regret de générosité

Et l'inclination jamais n'a démenti Ce sang qui t'avait fait du contraire parti

Cette gloire.... Doit étouffer en nous tous autres sentiments

Vous prendrez donc le soin de m'acquitter vers lui

Ce n'est pas exiger grande reconnaissance Des soins que mes bontés ont pris de votre enfance

Son plus grand regret, C'est de voir que César sait tout votre secret : En vain il le dénie et le veut méconnaître

Ce n'est point mon humeur de refuser qui m'aime ; Et, comme c'est m'aimer que me faire présent, Je suis toujours alors d'un esprit complaisant