Citations sur corneille

Puisqu'en un même jour l'ardeur d'un même zèle Achève le destin de son amant et d'elle

Le reste [des conspirateurs avec Cinna] ne vaut pas l'honneur d'être nommé

Je t'ai donné la vie et tu me rends ma gloire ; Et, d'autant que l'honneur m'est plus cher que le jour, D'autant plus maintenant je te dois de retour

Moi qui depuis dix ans ai gagné sept batailles, N'ai-je acquis tant de nom que pour prendre la loi De qui n'a commandé que sous Procope ou moi ?

Si près de voir mon feu récompensé, ô Dieu ! l'étrange peine !

Combats pour m'affranchir d'une condition Qui me livre à l'objet de mon aversion

Afin d'être témoin comme, après nos débats, Je chéris sa mémoire et venge son trépas

Ce grand feu des Romains en paraît ralenti

La tonsure et l'habit sont bien quelque dehors, Mais ne présume pas que les gênes du corps Fassent l'âme religieuse

Te mesurer à moi, qui t'a rendu si vain, Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main ?

Mettez, grand roi, votre esprit en repos ; La tête de Méduse a puni tous ces traîtres

Ton sang, en quelques lieux que sa fougue t'emporte, Laisse empreinte à longs traits la gloire de ton nom ; Et c'est une semence illustre, vive et forte Qui de nouveaux martyrs germe une ample moisson

Je perdrai mes États, et garderai mon rang

Et de deux maux qu'on craint également Celui qui nous arrive est toujours le plus grand

Puis-je oublier les soins d'agrandir votre empire ?

Jusqu'à ce qu'on nous craigne et que le temps arrive De remettre en ses mains la puissance effective

Trop favorables dieux, vous m'avez écoutée

Quand je dis qu'il n'est pas besoin de rendre compte de ce que font les acteurs pendant qu'ils n'occupent point la scène

Vous voyez que je tremble à vous le déclarer

Une parfaite ardeur a trop de truchements Par qui se faire entendre aux esprits des amants : Un coup d'oeil, un soupir....

Quoi !.... tu m'aurais fait changer ? J'aurais pour cette honte un coeur assez léger ?

L'empire.... dont les Huns, les Goths, les Vandales, les Francs Bouleversent la masse et déchirent les flancs

....Attila me traite assez confidemment

Parlez à mon esprit de mon triste devoir

Un tas d'hommes perdus de dettes et de crimes