Citations sur corneille

Non, non, il voit le jour, Et te conserve encore un immuable amour

Ils ont poussé d'abord de gros torrents de feux

Qui sait faire sa cour se fait aux moeurs des princes

Garantissez ma soeur des fureurs de Phocas

Quoi que vous estimiez de ma civilité, Je ne me pique point d'insensibilité

Je n'ai jamais connu d'homme qui lui ressemble, Ni qui mêle en discours tant de diversités

Seigneur, moi qui connais le fond de son courage Et qui n'ai jamais vu de fard en son langage

Adieu, donnez la main [mariez-vous], mais gardez-moi le coeur

Nous n'avons point d'amis qui ne cèdent au nombre

C'est fait de votre vie et je vous le promets

Il faudrait, Xénoclès, une âme plus sublime

Annibal, qu'elle vient de lui sacrifier, L'engage en sa querelle et m'en fait défier

Il y va de ma gloire, il faut que je me venge

Je voudrais le connaître, Mais connaître dans l'âme

L'offre n'est pas mauvaise, et vaut bien y penser

Dans leur juste haine animés et constants

Le flux les apporta, le flux les remporte

Ils couraient au pillage et rencontrent la guerre

Je suis ce que j'étais et je puis davantage ; Et des mêmes présents qu'il verse dans mes mains, J'achète contre lui les esprits des Romains

Mon épargne depuis en sa faveur ouverte, Doit avoir adouci l'aigreur de cette perte

Sa voix tumultueuse [du peuple] assez souvent fait bruit

Et sous le nom d'un fils toute faute est légère

Et songez toutes deux que vous êtes Romaines.... Un si glorieux titre est un digne trésor

Il fait un tel effort Que, la ville aux abois, on lui parle d'accord

S'attaquer à mon choix c'est s'en prendre à moi-même, Et faire un attentat sur le pouvoir suprême