Citations sur rons.

Les bras longs et tortus du lierre grimpant

Cestuy-là [le soleil] de ses yeux Enlustre, enflamme, enlumine les cieux, Et cestuy-ci nostre France decore

Entre ceux qui plus ne meurent, Incorporez avec Dieu

En sa dextre elle ent [mit] la hache Par qui les rois sont irritez

Si dès mon enfance, Le premier en France J'ai pindarizé....

Et si Paris qui veid en la vallée La Cyprienne, et d'elle fut espris T'eust veu quatriesme, il t'eust donné le prix

Par luy la foy se fausse, et mille maux divers Par luy se sont campez en ce grand univers. Qui de toute bonté les terres desolerent

Ma maistresse est toute angelette..., Toute mon gracieux orgueil, Toute ma petite brunette, Toute ma douce mignonette

...admirant la belle Calliope, Je devins amoureux de sa neuvaine trope

Jamais des masles coeurs les louanges ne meurent

S'ainsin estoit, toute peine fatale Me seroit douce, et ne me chaudroit pas

Pour edenter le souci qui me mord

Et à ceux qui pourront vivement empescher De ramper l'heresie à force de prescher

Il ressemble à l'oiseau, lequel plus se remue, Captif dans les gluaux, tant plus fort se renglue

Puis [l'ange messager] sa perruque divine Coifa d'une capeline, Prenant sa verge en son poing

Je ne puis ny toucher, gouster, n'ouyr, ny voir

Puis la mort vient, qui nous envole ; Alors un chacun se repent Que mieux il n'a joué son role

Assemblez sur mon corps la France et l'italie Et toutes les cités qui sentirent les coups De ma dextre invaincue, et m'enterrez desscus

Le soing caché se cognoit à la face

Je n'ose envenimer ma langue à .l a satyre

....Et tousjours la glace eternelle Des fleuves ne bride le cours

Tant de fois s'appointer, tant de fois se fascher, Tant de fois rompre ensemble, et puis se renouer

Baiser vivifiant, nourricier de mon ame

Adieu, vieille forest, le jouet de zephyre, Où premier j'accorday les langues de ma lyre

Bien que les champs de ton estre [pays].... Du pays qui me vid naistre, Ne se bornent pas bien loin