Citations sur rons.

Le grave historien, l'orateur, le poëte....

Je fy sonner pour chiens : la trompe les assemble

Tantost je verserois de l'eau tiede en la cuve, Et tantost de la froide, et d'un vase bouillant L'eau chaude dans la froide ensemble remeslant....

Il estoit destiné par sentence des cieux, Que je devois servir, mais [bien plus] adorer vos yeux

....Tous deux de garbe et de courage grans

.... Ou sous le frais d'un antre, ou dessous la froideur D'un chesne dont les bras s'opposent à l'ardeur

[La renommée] de sa bouche parleresse...

Elle [la biche] battoit des flancs, sa langue estoit tirée, Comme estant jà du loup la proye desirée

.... Dès la terre gelée Des scythes englacés, jusques à la hallée Des Mores bazanez

Où tu es, la maladie Ne defleure la santé

Et la vigne tortisse Mon sepulchre embellisse, Faisant de toutes pars Un ombre espars

Son asne talonnoit le bon vieillard Silene

Recouple-moy tes chiens, je te puis assurer Que tu voiras bien tost ce miracle averer

Non, Muret, non, ce n'est pas du jour d'huy Que l'archerot qui cause nostre ennuy Cause l'erreur qui retrompe les hommes

....Et monstroit à son port quel sang le concevoit, Tant la garbe de prince au visage il avoit

Les loups suivant la trace hurlent Ton ombre par les bois

Je suis bruslé, le Gast, d'une double chaleur, L'une hasle mon front, l'autre enflamme mon coeur : Le hasle de mon front se refraichit sans peine

Quelquefois il te plaist pour l'esprit desfacher, Du luth au ventre creux les languettes toucher

L'impudente esperance De ton sot appareil [révolte des huguenots] Perira par l'outrance D'un grand roy sans pareil

....Le son diabolique des canons et harquebuses, qui font trembler la terre, froisser l'air d'alentour

Dedans mon sein mon pauvre coeur se pame, Entre-surpris de joye et de tristesse

Frayant sans nul repos une orniere eternelle, Qui tousjours se retrace et se refraye en elle

[Les atomes] Heurtés ensemble ont composé le monde, S'entr'accrochans de liens tous divers

Hé qu'est il rien que ce garçon [l'Amour] ne brule ?

L'ardeur du courroux que l'on sent Au premier age adolescent, Me fit trop nicement t'escrire