Citation c est a la fin
Découvrez une citation c est a la fin - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase c est a la fin issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 110 citations et proverbes sur le thème c est a la fin.
110 citations
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
Dans tout corps de doctrine présenté avec méthode, c'est par la définition qu'il faut commencer, afin que l'on saisisse bien l'objet de la discussion.
Il n'est pas naturel pour l'homme de brouiller les frontières, de remettre en question la fin de la vie, de tenter de communiquer avec l'invisible. Agir de la sorte relève plus de la démence que de la raison.
Il me paraît donc certain que non seulement les gouvernements n'ont point commencé par le pouvoir arbitraire, qui n'en est que la corruption, le terme extrême, et qui les ramène enfin à la seule loi du plus fort, dont ils furent d'abord le remède.
Tout ce qu'on peut exiger d'un écrivain, c'est-à-dire d'un homme, c'est que la fin de la page soit conséquente avec le commencement.
Parfois, j'ai cette drôle d'impression que la vie est un jeu vidéo. On commence la partie avec plusieurs jauges pleines. La jauge de sérénité, la jauge de force, la jauge d'énergie, la jauge de joie. Sur notre chemin, on va croiser quelques ennemis, faire face à des attaques, parfois se tromper de chemin, sauter sur des bombes, chuter dans des trous, buter contre des obstacles. A chaque fois, nos jauges vont être entamées, mais des bonus "Bonheur" vont nous aider à les recharger. Le bonus "Mariage", le bonus "Naissance d'un enfant", le bonus "Soirée en famille". Ces bonus sont précieux, ce sont eux qui déterminent la qualité de la partie, parfois même sa durée. A la fin de chaque tableau, on doit affronter un gros monstre. Parmi les plus terrifiants, il y a le monstre "Deuil", le monstre "Maladie", le monstre "Chômage", le monstre "Rupture". Ceux-là, ils sont coriaces. Il faut du temps pour en venir à bout. Même si on y parvient, ils emportent toujours avec eux une bonne partie de chaque jauge. Un jour, les bonus ne sont plus assez costauds pour restaurer la joie, l'énergie et la force.
L'amour chez l'homme est donc une fin, un accomplissement, et non pas, comme chez la femme, un début, une naissance.
Thomas Browne est frappé par l'impermanence de toutes choses en rapport avec un processus sans fin de transformation revenant à manger et à être mangé. Sur chaque forme nouvelle plane l'ombre de la destruction. Car l'histoire de chaque individu, celle de chaque communauté et celle de l'humanité entière ne se déploie pas selon une belle courbe perpétuellement ascendante mais suit une voie qui plonge dans l'obscurité après que le méridien a été franchi.
On quitte l'école pour la fac, la fac pour un boulot et l'ère des profs prend fin et le temps détricote ce qui a été cousu. Mais un jour, en vieillissant, on s'aperçoit qu'au fond, le canevas est intact, et on se demande quel professeur en est responsable, qui a le plus compté, qui a été décisif. Un piton émerge des limbes, un relief pointu où raccrocher son enfance, son parcours, sa vie. Pourtant, ce n'est pas un homme seul mais une équipe de saltimbanques, une vraie troupe de théâtre, à l'affiche pendant plusieurs années, qui fabrique un adolescent et, parfois, façonne un homme.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Attraper le bonheur, c'est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet. Tu précipites le filet sur lui et il s'abîme, c'est un bonheur gâché. Si c'est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l'on court sans fin, c'est une agitation inutile, le bonheur est parti. Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s'est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C'est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être. Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l'abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l'emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois il meurt. Il faut être comme l'arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule.
Il y a longtemps que l'Amérique a perdu toute conscience. L'Oncle Sam n'a pas de conscience. Ces gens ne savent pas ce qu'est la morale. Ils ne s'efforcent pas de mettre fin à un mal parce que c'est un mal, ou parce que c'est illégal, ou parce que c'est immoral ; ils n'y mettent fin que si cela constitue une menace pour leur existence. Vous perdez donc votre temps à en appeler à la conscience morale de ce failli d'Oncle Sam.
Dire et redire encore, redire autant de fois que la redite s'impose, tel est notre devoir qui use le meilleur de nos forces et ne prendra fin qu'avec elles.
Le dribble n'est pas né par hasard au Brésil. Les premiers joueurs noirs ont commencé à dribbler pour éviter les contacts avec les défenseurs blancs et éviter de se faire rosser sur la pelouse et à la fin des matchs. Il s'est développé sur les plages et les terrains vagues, avec une pelote de chaussettes ou une petite balle en caoutchouc. C'est un mouvement de hanche, similaire à celui des danseurs de Samba et des lutteurs de Capoeira, ludique, acrobatique, marque des plus grands solistes.
Aujourd'hui, je n'ai pas honte de le dire: je m'aime. Enfin pas tous les jours, parfois, j'évite encore les miroirs. Car figurez-vous que c'est culpabilisant de s'aimer, je me sens encore parfois mal à l'aise avec cette idée. Faites-en l'expérience, vous verrez que ce n'est pas si plaisant que ça. Au début on se sent profondément ridicule, voire illégitime et prétentieuse. Et puis cela finit par s'installer doucement, progressivement, comme une douce chaleur.
Après huit ans de vie commune, elle est partie enfin. - Enfin, me voilà seul ! - Je le souhaitais depuis longtemps. - Je vais donc enfin vivre seul ! - Et, déjà, je me demande avec qui.
Sois reconnaissant, mec ! Tu as une femme ! Tu la domineras et elle te servira ! Tout est réglé pour le mieux et tu laisseras enfin la girafe en paix.
Le lotus est une fleur qui se reproduit à la vitesse d'un cheval au galop, mais en douce. D'abord une fleur, puis deux, puis quatre, puis huit, puis seize, trente-deux, soixante-quatre, etc. jusqu'à recouvrir toute la surface de l'eau comme un tapis flottant. Ces fleurs se replient le soir venu pour enfermer en elles tous vos souvenirs de la journée, elles vous invitent et vous envoûtent pour vous noyer à jamais dans l'antichambre des dieux, afin de les nourrir de vos coeurs attendris.
Le fleuve de soldats, chevaux, canons, charrettes est sans fin. C'est un crotale, pense Parjeù. Chaque bataillon en constitue les anneaux, les uniformes, les écailles, la poudre des canons, le venin avec lequel il empoisonne ses victimes.
Nous ne pouvons pas prédire où nous conduira la Révolution Informatique. Tout ce que nous savons avec certitude, c'est que, quand on y sera enfin, on n'aura pas assez de RAM.
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
L'été éclatera bientôt. Et avec lui déjà le raccourcissement des jours, déjà la fin de la saison qui s'annonce, avant même d'avoir débuté. Ou si peu. J'ai toujours ce sentiment d'inachevé, d'inaccompli avec l'été. J'ai toujours ce sentiment que quelque chose n'est pas à la hauteur, quelque chose de latent et de grand, sur le point d'advenir sans doute, mais qui reste dans le fossé, sur le côté, et ne se révèle finalement pas. Je n'ai malheureusement jamais su quoi. L'hiver et l'automne me sont indifférents, car ils ne me déçoivent pas. Je les préfère.
Le but de l'instruction est la fin de l'instruction, c'est-à-dire l'invention. L'invention est le seul acte intellectuel vrai, la seule action d'intelligence. Le reste ? Copie, tricherie, reproduction, paresse, convention, bataille, sommeil. Seule éveille la découverte. L'invention seule prouve qu'on pense vraiment la chose qu'on pense, quelle que soit la chose. Je pense donc j'invente, j'invente donc je pense : seule preuve qu'un savant travaille ou qu'un écrivain écrit.
Lorsque j'étais dans les camps, il m'est arrivé d'écrire même pendant que je posais des pierres dans un chantier. Avec un bout de crayon, sur un lambeau de papier, à la fin je mémorisais le texte et je détruisais le support.
Il est de beaucoup préférable d'être associé avec le peu de gens qui ont raison qu'avec la foule qui a tort, car le droit est toujours gagnant en fin de compte.

Henry de Montherlant
Références de Henry de Montherlant - Biographie de Henry de Montherlant
Plus sur cette citation >> Citation de Henry de Montherlant (n° 162009) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Cicéron
Références de Cicéron - Biographie de Cicéron
Plus sur cette citation >> Citation de Cicéron (n° 152557) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Victoria Mas
Références de Victoria Mas - Biographie de Victoria Mas
Plus sur cette citation >> Citation de Victoria Mas (n° 164626) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Jacques Rousseau
Références de Jean-Jacques Rousseau - Biographie de Jean-Jacques Rousseau
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Jacques Rousseau (n° 98147) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Eugène Delacroix
Références de Eugène Delacroix - Biographie de Eugène Delacroix
Plus sur cette citation >> Citation de Eugène Delacroix (n° 72175) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Virginie Grimaldi
Références de Virginie Grimaldi - Biographie de Virginie Grimaldi
Plus sur cette citation >> Citation de Virginie Grimaldi (n° 166545) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel Houellebecq
Références de Michel Houellebecq - Biographie de Michel Houellebecq
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Houellebecq (n° 158166) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






W. G. Sebald
Références de W. G. Sebald - Biographie de W. G. Sebald
Plus sur cette citation >> Citation de W. G. Sebald (n° 164029) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Nicolas Delesalle
Références de Nicolas Delesalle - Biographie de Nicolas Delesalle
Plus sur cette citation >> Citation de Nicolas Delesalle (n° 162117) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Bernard Giraudeau
Références de Bernard Giraudeau - Biographie de Bernard Giraudeau
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Giraudeau (n° 159649) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Malcolm X
Références de Malcolm X - Biographie de Malcolm X
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm X (n° 152745) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Louis-René des Forêts
Références de Louis-René des Forêts - Biographie de Louis-René des Forêts
Plus sur cette citation >> Citation de Louis-René des Forêts (n° 97039) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Olivier Guez
Références de Olivier Guez - Biographie de Olivier Guez
Plus sur cette citation >> Citation de Olivier Guez (n° 153914) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Eloïse Becht, dite Ovidie
Références de Eloïse Becht, dite Ovidie - Biographie de Eloïse Becht, dite Ovidie
Plus sur cette citation >> Citation de Eloïse Becht, dite Ovidie (n° 155688) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Sacha Guitry
Références de Sacha Guitry - Biographie de Sacha Guitry
Plus sur cette citation >> Citation de Sacha Guitry (n° 21127) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Ralph König
Références de Ralph König - Biographie de Ralph König
Plus sur cette citation >> Citation de Ralph König (n° 150149) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marc Lavoine
Références de Marc Lavoine - Biographie de Marc Lavoine
Plus sur cette citation >> Citation de Marc Lavoine (n° 162828) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Mario Vargas Llosa
Références de Mario Vargas Llosa - Biographie de Mario Vargas Llosa
Plus sur cette citation >> Citation de Mario Vargas Llosa (n° 142974) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Dave Barry
Références de Dave Barry - Biographie de Dave Barry
Plus sur cette citation >> Citation de Dave Barry (n° 88109) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165199) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Emmanuelle Richard
Références de Emmanuelle Richard - Biographie de Emmanuelle Richard
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuelle Richard (n° 168824) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel Serres
Références de Michel Serres - Biographie de Michel Serres
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Serres (n° 161025) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne
Références de Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne - Biographie de Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne (n° 71585) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Anonyme
Références de Anonyme - Biographie de Anonyme
Plus sur cette citation >> Citation de Anonyme (n° 791) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Dictionnaire des citations en C +
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur c est a la fin
Toutes les citations sur c est a la fin Citations c est a la fin Citation c est a la fin et Proverbe c est a la fin Citation sur c Citations courtes c
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens