Citation etaient toujours
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Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème etaient toujours.
80 citations
Etais-je, à cet instant, un survivant ? Un revenant ? Où étaient la mort, la vie ? Que restait-il de moi ? Je ne pensais pas ces questions de l'extérieur, comme des sujets de dissertation. Je les vivais. Elles étaient là, par terre, autour de moi et en moi, concrètes comme un éclat de bois ou un trou dans le parquet, vagues comme un mal non identifié, elles me saturaient et je ne savais qu'en faire. Je ne le sais toujours pas…
Après un passage au Dépôt, les hommes étaient envoyés au camp de Drancy, les femmes aux Tourelles. Il se peut que cette inconnue ait échappé, comme mon père, au sort commun qui leur était réservé. Je crois qu'elle demeurera toujours anonyme, elle et les autres ombres arrêtées cette nuit-là. Les policiers des Questions juives ont détruit leurs fichiers, tous les procès-verbaux d'interpellation pendant les rafles ou lors des arrestations individuelles dans les rues. Si je n'étais pas là pour l'écrire, il n'y aurait plus aucune trace de la présence de cette inconnue et de celle de mon père dans un panier à salade en février 1942, sur les Champs-Élysées. Rien que des personnes - mortes ou vivantes - que l'on range dans la catégorie des "individus non identifiés".
Mais « l'enfer c'est les Autres » a toujours été mal compris. On a cru que je voulais dire par là que nos rapports avec les autres étaient toujours empoisonnés, que c'étaient toujours des rapports infernaux. Or c'est autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut-être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont au fond ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes pour notre propre connaissance de nous-mêmes.
La vie, pensais-je, a forcément toujours raison au bout du compte ; si elle bafoue mes beaux rêves, c'est que ceux-ci étaient absurdes et injustifiés.
Une pluie mêlée de flocons de neige tombait sur la terre étrangère. La piste de béton, les bâtiments et les gardes de l'aérodrome étaient trempés. La neige fondue baignait la plaine et les collines à l'entour, faisant luire l'asphalte noir de la chaussée. En toute autre saison cette pluie monotone eût semblé à quiconque une triste coïncidence. Mais le général n'était guère surpris. Il venait en Albanie afin d'assurer le rapatriement des restes de ses compatriotes tombés à tous les coins du pays pendant la dernière guerre mondiale. Les négociations avaient été entamées dès le printemps et les contrats définitifs signés seulement à la fin du mois d'août, quand, justement, les premières journées grises font leur apparition. On était maintenant en automne. C'était la saison des pluies, le général le savait. Avant son départ, il s'était renseigné sur le climat du pays. Cette période de l'année y était humide et pluvieuse. Mais le livre qu'il avait lu sur l'Albanie lui aurait-il appris que l'automne y était sec et ensoleillé, cette pluie ne lui aurait pas, pour autant, paru insolite. Au contraire. Il avait en effet toujours pensé que sa mission ne pouvait être menée à bien que par mauvais temps.
Elle attendrait la semaine prochaine pour les tresser.J'avais les cheveux trop épais : ils se remettaient toujours en boule serrée après qu'elle y avait passé le peigne. Essayer de les peigner maintenant déchainerait la furie des monstres qui étaient déjà dans ma tête.
Voilà un homme admirable, courageux, qui a toujours eu des couilles au cul… même quand ce n'étaient pas les siennes.
Au drugstore, ces hommes se plantaient toute la journée devant les présentoirs des magazines, ils regardaient des pages et des pages de femmes qu'ils ne rencontreraient jamais, qu'ils ne toucheraient jamais, dont ils ne connaîtraient jamais ni le nom ni la voix : des femmes aplaties, unidimensionnelles, qui tripotaient leurs mamelons, en regardant dans le vide. Dans le néant qui se trouvait devant elles. Étalées, ces femmes n'étaient que des angles et des lignes, de la lumière sur de l'ombre et, quand je les regardais, je me souvenais toujours d'avoir lu au lycée, dans notre livre de sociologie, un texte sur une tribu primitive perdue, dont les membres ne voulaient pas laisser l'homme blanc les photographier, parce qu'ils pensaient que les caméras leur volaient leur âme.
Elle voyait le cerveau d'un gosse comme un ordinateur. Même quand on mettait des choses à la poubelle, qu'on croyait les supprimer, des mails, des fichiers, des photos, ils étaient toujours là, cachés. Il suffisait de demander à quelqu'un qui s'y connaissait un peu de les retrouver des mois, des années plus tard.
Nos discussions étaient sans fin, nos conversations toujours renaissantes. Nous passions une partie des nuits à chercher, à travailler ensemble.
Quand j'étais enfant, à l'école du dimanche, j'étais secrètement déçu et vaguement gêné par le fait que les Juifs de l'Antiquité étaient toujours opprimés, perdaient toujours les batailles contre les autres nations, plus puissantes et plus grandes; et lorsque la situation internationale était relativement ordinaire, ils étaient transformés en victimes et châtiés par leur dieu sombre et impossible à apaiser.
Il n'y avait rien, au Vietnam : pas d'électricité, pas d'eau potable, ni de savon, de dentifrice, de chaussures pour les gens, pas de frigidaire, pas d'ustensiles de cuisine, rien. Ils vivaient dans le dénuement et la crasse. Ils ne s'en rendaient pas compte : ils n'avaient rien pour comparer. Ça avait toujours été ainsi. Les journaux les encourageaient : ils étaient les meilleurs, tout prospérait, le pays perçait, leur progrès effrayait. C'était fabuleux ! C'était la gloire !
Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, - Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez - Quand la capacité de son esprit se hausse - A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
L'essentiel en toute chose est toujours accompli par des êtres très obscurs, non distincts et sans valeur chacun. S'ils n'étaient pas, s'ils n'étaient pas tels, rien ne se ferait. Si rien ne se faisait, c'est eux qui perdraient le moins. Essentiels et sans importance.
Jusque là, je n'étais jamais entré dans une librairie. J'avais peur des librairies comme j'avais peur des livres. A mes yeux, les librairies étaient des temples austères, les libraires des moines érudits et effrayants, il était évident que les libraires avaient lu absolument tous les livres qu'ils vendaient et il m'arrivait de scruter discrètement leur front, que je jugeais toujours bombé, en imaginant combien d'histoires dansaient là-dessous.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Les informations étaient partout. Quelqu'un savait toujours quelque chose. Il suffisait de trouver cette personne.
Elle avait toujours mesuré le pouvoir d'un geste simple, la force du détail. Elle savait, par exemple, que se souvenir de la date anniversaire d'un enfant ou de sa couleur préférée pouvait être la clé de son coeur, puis de son esprit. Si ses élèves retenaient ce qu'elle leur enseignait, c'était surtout parce qu'ils voulaient lui faire plaisir et non pas parce qu'ils y étaient obligés.
Gus adorait quand ils étaient assis au coin du feu et que la mémé lui racontait des histoires anciennes venues de son passé à elle, qu’il n’avait pas connu et qui la rendait plus souvent triste que joyeuse. Gus ne s’y trompait pas à l’époque. Et ses silences. Des silences qui le calmaient comme rien n’avait jamais pu le faire aussi bien depuis. Il lui disait alors qu’elle était une fée pleine de rides et elle répondait en souriant qu’elle n’en était pas une, que les fées étaient toujours belles et jamais vieilles, que c’était à ça qu’on les reconnaissait.
Si les souteneurs et les voleurs étaient toujours et partout condamnés, les honnêtes gens se croiraient tous et sans cesse innocents, cher monsieur. Et selon moi ... c'est surtout cela qu'il faut éviter.
Mais pour nous, les heures, les jours et les mois n'étaient qu'un flux opaque qui transformait, toujours trop lentement, le futur en passé.
Le vendredi 12 décembre 1941, par une paisible matinée caraïbe où le soleil, à cette époque de l'année, caresse la peau plutôt que de la mordre, la république indépendante, libre et démocratique d'Haïti déclara les hostilités au IIIe Reich et au Royaume d'Italie. L'annonce prit de court les citoyens, qui, tournés vers les festivités de Noël, avaient déjà oublié que, quatre jours plus tôt, incapable d'avaler l'anaconda de Pearl Harbor, leur bout d'île avait fait une virile entrée en guerre contre l'Empire nippon. L'information avait déboulé à la vitesse d'un cyclone force 5 sur la planète ; des centaines de millions de sceptiques avaient eu du mal à en croire, qui leurs yeux, qui leurs oreilles, selon qu'ils l'avaient lue dans les gazettes ou captée sur leur poste tsf. Les têtes couronnées du Japon et leurs fidèles sujets n'en étaient toujours pas revenus.
Même si l’immense majorité des gens était raisonnable, il y en avait toujours qui, se croyant plus forts que les autres, étaient prêts à affronter les éléments déchaînés, persuadés de s’en sortir indemnes.
Ces Indiens ne mentaient jamais. Ils parlaient peu, et toujours pour des raisons précises. L'art de la conversation leur était inconnu. Leurs assemblées n'étaient pas à proprement parler des conversations, mais un échange d'idées très précises qu'ils lançaient, laconiques, à l'auditoire qui, à son tour, les recevait sans commentaires. Parfois, entre une question et une réponse, des heures passaient.
Sur le quai de la gare, où elle a tenu à l'accompagner, tous les témoins ont vu combien il leur en coûtait de se séparer. Jusqu'au moment du départ ils sont demeurés enlacés, les bras croisés à hauteur de la taille, n'en finissant pas de se regarder, de s'embrasser, n'échangeant pas un mot, tétanisés à l'idée que bientôt un train régional allait les arracher brusquement l'un à l'autre, parvenir à scinder cette créature à deux têtes qu'ils forment sur le quai. Les quelques passagers qui attendent avec eux ont beau faire semblant de s'intéresser au trafic, de tendre l'oreille vers les haut-parleurs nasillards qui recommandent de faire attention au passage d'un train voie C ou que le train prévu à telle heure arrivera voie B, avec un retard de dix minutes environ, de se passionner pour les pigeons perchés sur le bord de la marquise, ou de dégager leur poignet pour vérifier que leur montre marque bien la même heure que l'horloge suspendue entre deux câbles deux lampadaires, on sent bien qu'ils se privent avec peine de la contemplation du beau couple, qu'ils ne demanderaient pas mieux que de s'installer sous leur nez et de compter à la trotteuse de la même montre la durée de leur baiser, ou du moins simplement les contempler, comme s'ils étaient derrière une glace sans tain, se gavant en toute impunité de cet éblouissement partagé de deux cœurs insatiables. Comme ça ne se fait pas [...], alors ils font comme les moineaux, toujours la tête en mouvement, pour capter des éclats de bonheur.
Le lambeau (2018) de Philippe Lançon
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Dora Bruder (1997) de Patrick Modiano
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Enregistrement phonographique de Jean-Paul Sartre en 1965 en préambule à Huis clos - L'enfer c'est les autres de Jean-Paul Sartre
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Le loup des steppes (1927) de Hermann Hesse
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Le Général de l'armée morte (1963) de Ismaïl Kadaré
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L'hibiscus pourpre (2003) de Chimamanda Ngozi Adichie
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A propos du Maréchal Lyautey. de Georges Clemenceau
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À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
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Maman a tort de Michel Bussi
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Souvenirs d'enfance et de jeunesse (1883), VI, 1er pas hors St-Sulpice de Ernest Renan
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Les disparus (2007) de Daniel Mendelsohn
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Les os des filles (2019) de Line Papin
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Les Femmes savantes (1672), II, 7, Chrysale de Molière
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Regards sur le monde actuel (1931) de Paul Valéry
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Dark secrets (2014) de Michael Hjorth
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L'Ile des oubliés (2012) de Victoria Hislop
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Grossir le Ciel (2014) de Franck Bouysse
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La Chute (1956) de Albert Camus
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Si c'est un homme (1947) de Primo Levi
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Avant que les ombres s'effacent (2017) de Louis-Philippe Dalembert
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La fille de l'océan (2019) de Alexis Aubenque
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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