Citation il y a un temps
Découvrez une citation il y a un temps - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase il y a un temps issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 240 citations et proverbes sur le thème il y a un temps.
240 citations
Je n'ai jamais su si j'aimais
Le saurai-je un jour ou jamais
Ta main n'était pas la plus chaude
Il y a si longtemps que je rôde
Depuis je ne tiens plus qu'à toi
Depuis je ne dors que sur toi
Depuis je ne chante que pour toi.Le souvenir... Le souvenir de ceux que nous avons aimés et qui ne sont plus parmi nous, le souvenir de la beauté que nous a léguée le passé, le souvenir de tous ceux qui nous ont permis d’être ce que nous sommes... Un monde sans souvenirs serait la platitude et l’ennui mêmes ? ne serait-ce que parce qu’il n’y aurait plus rien à combattre et à incliner. Voyez quelle nostalgie éveille au cœur des foules tout ce qui évoque les coutumes ancestrales, les langages du terroir, les rites de la communauté, les habitudes de l’enfance, les traditions de la patrie, grande ou petite, de la région, de la province, de la vallée, du fleuve, de la forêt, de l’île ? tout ce qui tranche enfin sur la morne grisaille de ce que l’un des nôtres ? Jean Cocteau ? appelait si joliment « l’espéranto visuel ». Renoncer à ses traditions, c’est accepter de devenir dans le temps ce que sont dans l’espace les personnes déplacées, c’est tomber dans la condition désastreuse de réfugié de l’histoire. « Car, nous dit un écrivain qu’admirait Roger Caillois ? Antoine de Saint-Exupéry ?, les rites sont dans le temps ce que la demeure est dans l’espace (...). Et je ne connais rien au monde qui ne soit d’abord cérémonial. Car tu n’as rien à attendre d’une cathédrale sans architecte, d’une année sans fêtes (...) ni d’une patrie sans coutumes. »
Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d'un ange faisait parler. De nos jours, il y a des hommes que la rencontre d'un génie fait braire.
Il y a dans le rire des vertus secrètes d'inquiétude et de lucidité. Un homme qui ne rit ne peut rester bien longtemps un salaud.
L'air de rien, la « modernité », si l'on y réfléchit, est le mot-clé de l'idéologie de la gauche. Elle accule l'humain à ne se percevoir dans le temps présent qu'en référence à un avenir indéterminé, en effaçant le passé, simple et composé, sans lequel l'individu titube comme un ivrogne sur le fil de l'instant. La « modernité » est l'alibi générique du nihilisme contemporain. Elle a supplanté ces couples historiques — le Bien et le Mal, le Juste et l'Injuste, le Beau et le Laid — par ce binôme imbécile : le branché et le ringard.
Tout progrès est en même temps une régression. Il n'y a jamais de progrès que dans un sens déterminé. Et comme notre vie, dans son ensemble, n'a aucun sens, elle ne connaît pas davantage, dans son ensemble, de vrai progrès.
On dit : « Je le lis seulement chez ma coiffeuse ». Comme si ce temps d'attente était une petite bulle de superficialité autorisée. On est là pour être plus beau, il y a une forme d'humilité à la reconnaître, alors on a le droit aussi d'être un peu plus bête
Il est temps d'aborder cette autre part de ma vie, celle dont je ne voulais pas. Celle qui commença par un baiser de dépit et parce qu'on m'y avait obligée. Une longue route où malgré les épines, j'ai tout de même cueilli quelques roses.
C'est un fait de pure expérience qu'il n'y a pas d'espace sans temps ni de temps sans espace.
La plus belle réussite d'un dandy est l'emploi de son temps, et non son argent. Car il méprise l'or dans lequel croupissent les bourgeois. Son chef-d'oeuvre est sa liberté, l'acquisition de sa liberté.
Chaque fois qu'on fréquente un homme, il y a deux forces qui s'affrontent dans notre tête. L'ego et l'amour. Tu peux écouter l'un ou l'autre, mais pas les deux en même temps.
Je parle en tant que personne libre. Je suis une journaliste engagée. Je ne suis pas la femme de, je n’ai pas de carte dans un parti politique, je ne vais pas dans des meetings autrement que lorsque je fais mon travail, et comme je ne fais plus de terrain, cela fait longtemps que je n’y suis pas allée.
Je veux croire qu'un jour je serai heureux, qu'un jour quelqu'un m'aimera. Mais il y a déjà si longtemps que je compte sur l'avenir !
On croit que c'est un homme qu'on a devant nous, mais en fait ça n'est plus un homme, ça fait longtemps que ça n'est plus un homme. C'est comme un trou noir, et vous allez voir, ça va nous sautez à la gueule. Les gens ne savent pas ce que c'est, la folie. C'est terrible. C'est ce qu'il y a de plus terrible au monde.
C'était il y à très longtemps... - maintenant je ne sais plus rien d'elle - qui un jour était tout pour moi. - Mais tout passe.
Il y a bien encore quelques irréductibles qui pensent que le Rhin est une frontière, alors que ça n'est qu'un fleuve, mais tout cela a fait son temps.
Il y a malheureusement beaucoup de moments, et même de longues périodes de temps où nous ne sommes pas sensibles à la beauté du monde parce qu'un écran se met entre elle et nous, soit les hommes et leurs misérables fabrications, soit les laideurs de notre propre âme. Mais nous pouvons toujours savoir qu'elle existe. Et savoir que tout ce que nous touchons, voyons et entendons est la chair même et la voix même de l'Amour absolu.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Le temps passe et je « passe » dans le temps, c'est un phénomène que je vis, que je sens, qui me transporte irrésistiblement. Tout ce dont je suis sûr, c'est qu'il est plus âgé que moi, mais quand a-t-il commencé ? C'est l'idée de « création », présente dans un grand nombre de traditions religieuses, en particulier dans la Genèse, qui nous interpelle. Elle implique qu'il fut un temps pendant lequel il n'y avait « rien », que le monde n'a pas toujours existé, qu'il est apparu soudain comme sortant d'un néant primordial ou du chapeau d'un magicien. Cette idée est purement spéculative. Une invention de l'esprit humain.
Ils font ça tout le temps, les vieux. Ils mâchonnent. Ils digèrent leur vie. Ils la ruminent, se la repasse en plusieurs fois, au ralenti, pour en tirer le meilleur. Leur cerveau est un estomac de vache. Si le verbe a pris un sens négatif, c'est parce qu'on croit à tort que ruiner, c'est stagner. Mais mâchonner sa vie, c'est un travail. Ici, à la campagne, on rumine volontiers. On fait même ça à plusieurs, chacun y va de son anecdote.
Il n'y a pas si longtemps, quand un enfant gémissait, c'est à lui qu'on reprochait de ne pas être un homme, et c'est lui qui avait honte. Hier la douleur prouvait la faiblesse du blessé, aujourd'hui, elle révèle l'incompétence du technicien.
Les gens me disent en général que je donnais du temps à mes invités. Je ne les matraquais pas, je les laissais parler. Ma technique d'interview était très douce. Et puis, il y avait malgré tout ce climat, autre que le face-à-face. Cela créait quelque chose d'un peu différent.
J'ai eu le temps de me rendre compte qu'il n'y avait aucun ami que j'aimais davantage, personne qui me fasse sentir plus vivante, et que cela était dû à quelque chose d'exceptionnel en toi qui t'illuminait. Le rire.
Il y a, par les temps qui courent, tant de personnages honorables mis en examen qu'il serait inconvenant de souhaiter «bonne Santé» à quelqu'un qui risque de s'y retrouver prochainement.
Il y a longtemps que l'Amérique a perdu toute conscience. L'Oncle Sam n'a pas de conscience. Ces gens ne savent pas ce qu'est la morale. Ils ne s'efforcent pas de mettre fin à un mal parce que c'est un mal, ou parce que c'est illégal, ou parce que c'est immoral ; ils n'y mettent fin que si cela constitue une menace pour leur existence. Vous perdez donc votre temps à en appeler à la conscience morale de ce failli d'Oncle Sam.
Il y a si longtemps que je rôde (1965) de Guy Béart
Références de Guy Béart - Biographie de Guy Béart
Plus sur cette citation >> Citation de Guy Béart (n° 142456) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981
de Jean d'Ormesson
Références de Jean d'Ormesson - Biographie de Jean d'Ormesson
Plus sur cette citation >> Citation de Jean d'Ormesson (n° 173930) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Fragments de Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 12520) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre ouverte à Dieu (1980) de Robert Escarpit
Références de Robert Escarpit - Biographie de Robert Escarpit
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Escarpit (n° 53682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Âme française (2016) de Denis Tillinac
Références de Denis Tillinac - Biographie de Denis Tillinac
Plus sur cette citation >> Citation de Denis Tillinac (n° 170622) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Homme sans qualités (1933) de Robert Musil
Références de Robert Musil - Biographie de Robert Musil
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Musil (n° 116228) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Et vous avez eu beau temps ? La perfidie ordinaire des petites phrases de Philippe Delerm
Références de Philippe Delerm - Biographie de Philippe Delerm
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Delerm (n° 154216) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Appelez-moi Jeanne (2009) de Élise Fischer
Références de Élise Fischer - Biographie de Élise Fischer
Plus sur cette citation >> Citation de Élise Fischer (n° 175078) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Introduction au bouddhisme zen (1978) de Daisetz Teitaro Suzuki
Références de Daisetz Teitaro Suzuki - Biographie de Daisetz Teitaro Suzuki
Plus sur cette citation >> Citation de Daisetz Teitaro Suzuki (n° 54339) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal hédoniste I, Le Désir d'être un volcan (1996) de Michel Onfray
Références de Michel Onfray - Biographie de Michel Onfray
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Onfray (n° 127943) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Deux Saisons du Faubourg (2013) de Mylène Gilbert-Dumas
Références de Mylène Gilbert-Dumas - Biographie de Mylène Gilbert-Dumas
Plus sur cette citation >> Citation de Mylène Gilbert-Dumas (n° 130445) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Inrockuptibles par Beaugedurand, 30 mars 2012 de Audrey Pulvar
Références de Audrey Pulvar - Biographie de Audrey Pulvar
Plus sur cette citation >> Citation de Audrey Pulvar (n° 172210) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mes amis (1924) de Emmanuel Bove
Références de Emmanuel Bove - Biographie de Emmanuel Bove
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuel Bove (n° 161939) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Adversaire (2000) de Emmanuel Carrère
Références de Emmanuel Carrère - Biographie de Emmanuel Carrère
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuel Carrère (n° 164304) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Bertolt Brecht
Références de Bertolt Brecht - Biographie de Bertolt Brecht
Plus sur cette citation >> Citation de Bertolt Brecht (n° 44308) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal d'un bouffon (2002) de Jean Amadou
Références de Jean Amadou - Biographie de Jean Amadou
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Amadou (n° 40830) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Intuitions pré-chrétiennes (1951) de Simone Weil
Références de Simone Weil - Biographie de Simone Weil
Plus sur cette citation >> Citation de Simone Weil (n° 161270) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Tant de temps , Propos recueillis par Anne-Sophie Novel pour Le Monde de Hubert Reeves
Références de Hubert Reeves - Biographie de Hubert Reeves
Plus sur cette citation >> Citation de Hubert Reeves (n° 153779) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Bonheur Fantôme (2009) de Anne Percin
Références de Anne Percin - Biographie de Anne Percin
Plus sur cette citation >> Citation de Anne Percin (n° 167318) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Vilains Petits Canards (2001) de Boris Cyrulnik
Références de Boris Cyrulnik - Biographie de Boris Cyrulnik
Plus sur cette citation >> Citation de Boris Cyrulnik (n° 125732) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interrogé dans Le Monde en novembre 2009 de Henry Chapier
Références de Henry Chapier - Biographie de Henry Chapier
Plus sur cette citation >> Citation de Henry Chapier (n° 158813) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'autre qu'on adorait (2016) de Catherine Cusset
Références de Catherine Cusset - Biographie de Catherine Cusset
Plus sur cette citation >> Citation de Catherine Cusset (n° 150895) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal d'un bouffon (2002) de Jean Amadou
Références de Jean Amadou - Biographie de Jean Amadou
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Amadou (n° 40812) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
Références de Malcolm X - Biographie de Malcolm X
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm X (n° 152745) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer

- Idee - Idée - Identite - Idiot - Idiotie - Ignorance - Illusion - Image - Imaginaire - Imagination - Imbecile - Imitation - Impatience - Impossible - Impot - Impression - Improvisation - Inattendu - Indelicatesse - Independance - Indifference - Indigestion - Individu - Infini - Ingrat - Ingratitude - Injure - Injustice - Innocence - Inoubliable - Inquietude - Insomnie - Inspiration - Instant - Instinct - Insulte - Intellectuel - Intelligence - Interet - Intérêt - International - Internet - Interprete - Interrogation - Introspection - Intuition - Inutilite - Invitations - Invite - Ironie - Irresolution - Irriter - Islam - Ivresse
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur il y a un temps
Toutes les citations sur il y a un temps Citations il y a un temps Citation il y a un temps et Proverbe il y a un temps Proverbes il y a un temps : 240 citations et proverbes sur il y a un temps Citation il y a un temps - Proverbe il y a un temps - 240 citations Citation sur il Citations courtes il
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
