Citation il y a un temps
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Une Sélection de 240 citations et proverbes sur le thème il y a un temps.
240 citations
En quittant la cabine d'Emily (et une telle intimité ne se renouvellerait pas), je savais que je serais toujours lié à elle par quelque rivière souterraine, ou filon de charbon ou d'argent — disons d'argent, car elle a toujours beaucoup compté pour moi. En mer Rouge, je suis sans doute tombé amoureux d'elle. Même si, quand je me suis arraché à elle, le magnétisme, quel qu'il soit, avait perdu sa force. Combien de temps suis-je resté avec Emily dans ce qui m'avait paru un lit haut comme le ciel ? Quand nous nous étions revus, nous n'en avons pas reparlé. Elle ne se souvient peut-être même pas quel poids de chagrin elle m'a ôté ou a tenu, ni pendant combien de temps. Je n'avais jamais connu pareille étreinte, pareille odeur d'un bras émergeant du sommeil. Je n'avais jamais pleuré à côté de quelqu'un qui, aussi, m'excitait d'une manière mystérieuse. Pendant qu'elle baissait les yeux sur moi, il devait y avoir chez elle une certaine compréhension, ainsi que dans ses petits gestes pleins d'attention.
Le rêve prend du temps sur la misère, la souffrance et l'angoisse. C'est un voyage qui ne coûte pas cher et ne dérange personne. Et il n'y a pas de grèves dans le train des rêves...
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
J'étais résigné à penser que le bonheur était un animal solitaire, dans les bois, qu'il était bon de laisser vivre en paix. Je m'étais longtemps demandé ce qu'il cachait, mais je devais m'y résoudre. Le bonheur ne cachait rien.
Vous vous souvenez peut-être de cette parole de la prieure Blanche de la Force dans les Dialogues des carmélites de Bernanos : « Cette simplicité de l'âme, nous consacrons notre vie à l'acquérir, ou à la retrouver si nous l'avons connue, car c'est un don de l'enfance qui le plus souvent ne survit pas à l'enfance… Il faut très longtemps souffrir pour y rentrer, comme tout au bout de la nuit on retrouve une autre aurore… » Ai-je suffisamment souffert au cours de ma longue vie ? Il ne m'appartient pas de le dire, mais il est vrai qu'il m'arrive parfois de retrouver ce sentiment cosmique de mon enfance.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Quand on a vu un noyé, une fois, à peine retiré de l'eau, encore couché sur la route, on n'a pas grand-chose à ajouter. Surtout quand on a compris pourquoi il y a des gens qui se noient, certains jours. Le reste ne compte pas. Qu'il pleuve ou qu'il fasse beau temps, que ce soit un enfant ou un homme, ou une femme nue avec un collier de diamants, etc., cela indiffère. C'est l'espèce de décor d'un drame permanent. Mais quand on n'a pas compris, par exemple. Quand on se laisse distraire par les détails qui semblent justifier l'événement, lui donner une réalité, mais qui n'en sont que la mise en scène ; alors, il y a beaucoup à dire. Ils s'arrêtent, descendent de leurs automobiles, et les voilà qui entrent en jeu. Au lieu de voir, ils composent. Ils se lamentent. Ils prennent parti pour l'un, ou pour l'autre. Ils élucubrent et écrivent des poèmes.
C'est fou. Nous les filles, quand on pense à quelqu'un, on y pense tout le temps. Il occupe chaque recoin de notre esprit à chaque seconde.
Il faut se battre pour le bonheur des autres. Ce n’est pas du tout acquis. Il faut avancer. Nous sommes en pleine régression. Nous retournons au Moyen Âge, aux guerres de Religion qui sont extrêmement dangereuses et qui font que s’est installée la méfiance, le rejet en même temps que la peur de l’autre. On vit un moment très étrange. Pourquoi vouloir s’imposer par la violence et la terreur. Il y a la parole ! On devrait parler « avec » tout le monde, échanger, proposer, tendre la main.
Je travaille un peu partout, j'aime beaucoup les endroits où il y a du passage, les aéroports, les gares, car il y a une innocence du temps qui passe. On se dit “je suis en voyage”, on verra après, et c'est justement dans ces moments-là que l'inspiration vient plus facilement.
Avec le temps, il avait compris que l'essentiel de la fiction, peut-être la fiction dans sa totalité, des plus grandes histoires aux plus banales, concernait des choses disparues. Une famille, un amour, un moyen de subsistance, la paix, les idéaux. Au coeur de toutes ces histoires, il y avait un vide, un désir, des blancs qu'on pouvait pas remplir - comme si le deuil était le lot de l'humanité.
L'intelligence a été inventée il y a très longtemps par un type vachement malin. La connerie, c'est autre chose, c'est une création collective.
Il y a des temps où l'on ne peut plus soulever un brin d'herbe sans en faire sortir un serpent..
Il n'y a point de meilleur rôle auprès des grands que celui de fou. Longtemps il y a eu le fou du roi en titre; en aucun il n'y a eu en titre le sage du roi.
Qu'y a-t-il de plus beau qu'un arbre au printemps, à part peut-être un cerf chantant «Stranger in the night» au clair de lune avec des guêtres?
Un médecin célèbre déclara un jour qu'un homme vivait aussi longtemps que son estomac, allant jusqu'à ajouter qu'un homme n'était qu'un estomac. Il s'aperçut qu'une très grosse proportion de vrais broussards atteignait un âge très avancé, et il attribua cette longévité au déséquilibre de leur régime alimentaire: pendant quarante-huit semaines de l'année, ils vivaient de thé et d'eau de surface fortement alcaline, et, pendant les autres, de whisky. Chaque année, la couche qui tapissait l'estomac était ainsi dissoute par l'alcool, et l'organe entièrement rénové.
L'homme c'est le malheur. Il n'y a que les sots pour prétendre le contraire. C'est un malheur que de naître et aussi longtemps que nous vivons, nous ne faisons que prolonger ce malheur, seule la mort y met un terme.
C'est peu qu'en un ouvrage où les fautes fourmillent
Des traits d'esprit de temps en temps pétillent:
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu;
Que le début, la fin, répondent au milieu.Parfois, j'ai cette drôle d'impression que la vie est un jeu vidéo. On commence la partie avec plusieurs jauges pleines. La jauge de sérénité, la jauge de force, la jauge d'énergie, la jauge de joie. Sur notre chemin, on va croiser quelques ennemis, faire face à des attaques, parfois se tromper de chemin, sauter sur des bombes, chuter dans des trous, buter contre des obstacles. A chaque fois, nos jauges vont être entamées, mais des bonus "Bonheur" vont nous aider à les recharger. Le bonus "Mariage", le bonus "Naissance d'un enfant", le bonus "Soirée en famille". Ces bonus sont précieux, ce sont eux qui déterminent la qualité de la partie, parfois même sa durée. A la fin de chaque tableau, on doit affronter un gros monstre. Parmi les plus terrifiants, il y a le monstre "Deuil", le monstre "Maladie", le monstre "Chômage", le monstre "Rupture". Ceux-là, ils sont coriaces. Il faut du temps pour en venir à bout. Même si on y parvient, ils emportent toujours avec eux une bonne partie de chaque jauge. Un jour, les bonus ne sont plus assez costauds pour restaurer la joie, l'énergie et la force.
Un être humain est une partie du tout, que nous appelons « l'Univers », une partie limitée dans le temps et l'espace. Il s'éprouve lui-même, ses pensées et ses sentiments, comme quelque chose de séparé du reste - une sorte d'illusion d'optique de sa conscience. Ce délire est une sorte de prison pour nous, nous limitant à nos désirs personnels et à l'affection pour quelques personnes les plus proches de nous. Notre tâche doit être de nous libérer de cette prison en élargissant notre cercle de compassion pour embrasser toutes les créatures vivantes et toute la nature dans sa beauté. Personne n'est capable d'y parvenir complètement, mais l'effort pour un tel accomplissement est en soi une partie de la libération et un fondement de la sécurité intérieure.
e me souvenais de ce proverbe eku : Aux anciens, Nyamey a accordé une longue vie. Aux jeunes, il a donné une longue vue. Pour moi, cet adage résume la pensée non écrite de nos anciens. Il signifie que nos pères savaient qu'il y avait un temps pour tout. Ils nous ont légué des coutumes adaptables.
Il y a un temps pour vivre et un temps pour témoigner de vivre.
La loi ignore presque le droit. Il y a d'un côté la pénalité, de l'autre l'humanité. Les philosophes protestent ; mais il se passera du temps avant que la justice des hommes ait fait sa jonction avec la justice.
J'ai dû tout apprendre par moi-même, ce qui prend plus de temps que guidé par des maîtres. J'ai avalé livres, dictionnaires, encyclopédies avec une immense soif de connaissances. Et je ne passe pas un soir sans lire et apprendre quelque chose. Je le ferai jusqu'au bout. Il n'y a pas de malédiction à être ignare.
J'ai vu emporter un homme en terre; il y a peu de temps, disait-on, il était encore vivant.
La Table des autres (2012) de Michael Ondaatje
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Plus fort que la haine (1999) de Tim Guénard
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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Du temps qu'on existait (2011) de Marien Defalvard
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De l'âme (2016) de François Cheng
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Demain j'arrête ! (2011) de Gilles Legardinier
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Interview We Culte - Le Mag Culture, Juliette Gréco : « Il faut se battre pour le bonheur » par Victor Hache, 6 décembre 2015 de Juliette Gréco
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Masterclass de Jean-Loup Dabadie, à l'occasion du Festival Lumière, En octobre 2016. de Jean-Loup Dabadie
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Le tueur se meurt (2013) de James Sallis
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Le Succulent du chat (1999) de Philippe Geluck
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Correspondance, à Pauline Duchambge, 11 mai 1857 de Marceline Desbordes-Valmore
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Le Neveu de Rameau (1762) de Denis Diderot
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Sans référence de Woody Allen
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Du crime au bourreau (1959) de Arthur Upfield
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Le naufragé (1983) de Thomas Bernhard
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L'Art poétique (1674), Chant I de Nicolas Boileau-Despréaux
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Tu comprendras quand tu seras plus grande (2017) de Virginie Grimaldi
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New York Post, 28 novembre 1972 de Albert Einstein
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Les Aubes écarlates (2009) de Léonora Miano
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Noces de Albert Camus
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L'Homme qui rit (1869) de Victor Hugo
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Rencontre avec la journaliste Annick Cojean, en 2009, pour Le Monde de Charles Aznavour
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Mostellaria, IV, 3, 1001 de Plaute
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