Citation il y a un temps
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240 citations
Il est temps d'aborder cette autre part de ma vie, celle dont je ne voulais pas. Celle qui commença par un baiser de dépit et parce qu'on m'y avait obligée. Une longue route où malgré les épines, j'ai tout de même cueilli quelques roses.
C'est peu qu'en un ouvrage où les fautes fourmillent
Des traits d'esprit de temps en temps pétillent:
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu;
Que le début, la fin, répondent au milieu.Ce serait bien de rappeler de temps en temps qu'il y a quand même beaucoup d'acteurs au chômage qui ne gagnent pas un rond.
Chercher quelqu'un qu'on aime beaucoup, sans être pressé, il n'y a rien de plus réconfortant. Cette personne se trouve dans votre tête, elle est déjà avec vous, et plus le temps passe, plus vous devenez amoureux.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
Le temps d’apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l’unisson
Ce qu’il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu’il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu’il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n’y a pas d’amour heureux.Le souvenir... Le souvenir de ceux que nous avons aimés et qui ne sont plus parmi nous, le souvenir de la beauté que nous a léguée le passé, le souvenir de tous ceux qui nous ont permis d’être ce que nous sommes... Un monde sans souvenirs serait la platitude et l’ennui mêmes ? ne serait-ce que parce qu’il n’y aurait plus rien à combattre et à incliner. Voyez quelle nostalgie éveille au cœur des foules tout ce qui évoque les coutumes ancestrales, les langages du terroir, les rites de la communauté, les habitudes de l’enfance, les traditions de la patrie, grande ou petite, de la région, de la province, de la vallée, du fleuve, de la forêt, de l’île ? tout ce qui tranche enfin sur la morne grisaille de ce que l’un des nôtres ? Jean Cocteau ? appelait si joliment « l’espéranto visuel ». Renoncer à ses traditions, c’est accepter de devenir dans le temps ce que sont dans l’espace les personnes déplacées, c’est tomber dans la condition désastreuse de réfugié de l’histoire. « Car, nous dit un écrivain qu’admirait Roger Caillois ? Antoine de Saint-Exupéry ?, les rites sont dans le temps ce que la demeure est dans l’espace (...). Et je ne connais rien au monde qui ne soit d’abord cérémonial. Car tu n’as rien à attendre d’une cathédrale sans architecte, d’une année sans fêtes (...) ni d’une patrie sans coutumes. »
Il semble qu'il y ait eu un temps où les livres nous révélaient l'homme; tout au moins ils nous familiarisaient avec lui et nous portaient à sa hauteur - s'ils ne le dépassaient pas.
Un médecin célèbre déclara un jour qu'un homme vivait aussi longtemps que son estomac, allant jusqu'à ajouter qu'un homme n'était qu'un estomac. Il s'aperçut qu'une très grosse proportion de vrais broussards atteignait un âge très avancé, et il attribua cette longévité au déséquilibre de leur régime alimentaire: pendant quarante-huit semaines de l'année, ils vivaient de thé et d'eau de surface fortement alcaline, et, pendant les autres, de whisky. Chaque année, la couche qui tapissait l'estomac était ainsi dissoute par l'alcool, et l'organe entièrement rénové.
En amour, il y a un temps pour plonger, mais il faut attendre que la piscine se remplisse si l'on ne veut pas plonger dans un bain de pieds.
C'était il y à très longtemps... - maintenant je ne sais plus rien d'elle - qui un jour était tout pour moi. - Mais tout passe.
Il y a des risques à posséder quoi que ce soit : une voiture, une paire de chaussures, un paquet de cigarettes. Il n'y en a pas assez pour tout le monde, pas assez de chaussures, pas assez de voitures, pas assez de cigarettes. Trop de gens, pas assez de choses. Et ce qu'il y a doit circuler pour que tout un chacun ait l'occasion de connaître le bonheur le temps d'une journée. C'est la théorie. Tiens-t'en à la théorie et à ce qu'elle a de réconfortant. Il ne s'agit pas de méchanceté humaine, mais d'un grand système de circulation des biens, avec lequel la pitié et la terreur n'ont rien à voir.
On trouve dans le monde beaucoup d'injustices, mais il en est une dont on parle jamais, qui est celle du climat. De cette injustice-là, j'ai été longtemps, sans le savoir, un des profiteurs. J'entends d'ici les accusations de nos féroces philanthropes, s'ils me lisaient. Je veux faire passer les ouvriers pour riches et les bourgeois pour pauvres, afin de conserver plus longtemps l'heureuse servitude des uns et la puissance des autres. Non, ce n'est pas cela. Au contraire, lorsque la pauvreté se conjugue avec cette vie sans ciel ni espoir qu'en arrivant à l'âge d'homme j'ai découverte dans les horribles faubourgs de nos villes, alors l'injustice dernière, et la plus révoltante, est consommée: il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.
Il existe un grand secret, pourtant très ordinaire, qui concerne tous les hommes. Chacun le connaît, mais rares sont ceux qui prennent la peine d'y réfléchir. La plupart des gens l'acceptent tel quel, sans s'interroger. Ce secret, c'est le temps. On se sert de calendriers et de montres pour le mesurer, mais cela ne veut pas dire grand-chose : on sait bien qu'une heure peut durer une éternité ou un instant. Cela dépend de ce qu'on vit à ce moment-là.
Il y a malheureusement beaucoup de moments, et même de longues périodes de temps où nous ne sommes pas sensibles à la beauté du monde parce qu'un écran se met entre elle et nous, soit les hommes et leurs misérables fabrications, soit les laideurs de notre propre âme. Mais nous pouvons toujours savoir qu'elle existe. Et savoir que tout ce que nous touchons, voyons et entendons est la chair même et la voix même de l'Amour absolu.
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
II n'y avait rien d'autre sur la terre, rien, ni personne. Ils étaient nés du désert, aucun autre chemin ne pouvait les conduire. Ils ne disaient rien. Ils ne voulaient rien. Le vent passait sur eux, à travers eux, comme s'il n'y avait personne sur les dunes. Ils marchaient depuis la première aube, sans s'arrêter, la fatigue et la soif les enveloppaient comme une gangue. La sécheresse avait durci leurs lèvres et leur langue. La faim les rongeait. Ils n'auraient pas pu parler. Ils étaient devenus, depuis si longtemps, muets comme le désert, pleins de lumière quand le soleil brûle au centre du ciel vide.
Aussi longtemps qu'un peuple n'est pas en mesure de donner naissance à l'art et à la poésie, s'il se trouve dans une situation où il a des poètes isolés mais où ce n'est plus la masse qui crée et qui invente, il n'y a pas de justification à l'existence.
Il y a, par les temps qui courent, tant de personnages honorables mis en examen qu'il serait inconvenant de souhaiter «bonne Santé» à quelqu'un qui risque de s'y retrouver prochainement.
La France est un pays où l’on est trop souvent généreux qu’en parole. Dès qu’on essaie de l’incliner aux faits, elle se révèle tout autre. […] il y a beau temps que je sais à quoi m’en tenir là-dessus et que le racisme français est plus profond qu’on ne croit. À preuve mon tout dernier roman.
C'est là une des contradictions de la littérature, qu'il y a un temps pour vivre, et un temps pour écrire, et que, dans le temps où l'on écrit, on n'a guère celui de vivre.
Ne regardez pas longtemps un tableau, ne lisez pas un livre avec trop d'attention, n'écoutez pas un morceau de musique avec la plus grande intensité, vous vous abîmerez tout et, dès lors, ce qu'il y a de plus beau et de plus utile au monde.
Je veux croire qu'un jour je serai heureux, qu'un jour quelqu'un m'aimera. Mais il y a déjà si longtemps que je compte sur l'avenir !
Il manquait à ce pays un manuel d'instruction civique. En tout cas, quelque document un peu plus explicite qu'une table d'orientation. L'hiver, parfois, la neige et le froid s'ingéniaient à ralentir les mouvements. Même la mécanique laborieuse du temps s'enrayait, les horloges prenaient du retard sur les montres. Plus aucun portable, ordinateur, relais de communication ne fonctionnait. La seule radio continuant d'émettre était la tronçonneuse. Dès qu'on l'entendait rugir, on repérait l'endroit à la hâte, vérifiant de fait qu'untel était encore valide. Puis on percevait le bruit d'un autre engin, cette fois dans le sens inverse. Et ainsi de suite. Une façon imparable de se compter de temps à autre, car d'habitude, dans ce pays, l'on ne départageait point les vivants des morts. Il n'y avait qu'aux enterrements où l'on tenait de réfléchir en éloignant ceux qui s'en vont de ceux qui restent.
En des temps immémoriaux, les hommes s'étaient satisfaits de la chose vécue .Ils avaient alors cette supériorité- là. Faire l'amour était aussi simple que tuer un animal pour le manger . C’était un monde de simplicité qui ne s’embarrassait pas . C'était un autre monde . Il n'y avait rien d'autre à retenir que la chose vécue , la chose rêvée n'était pas douloureuse et les souvenirs n'étaient rien de plus que des sensations qui disparaissaient par la seule force de l'instinct de survie .
Appelez-moi Jeanne (2009) de Élise Fischer
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L'Art poétique (1674), Chant I de Nicolas Boileau-Despréaux
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interview de Sophie Marceau par Gaël Golhen à Première lors de sa sortieen février 2013 de Sophie Marceau
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L'homme de la Saskatchewan (2011) de Jacques Poulin
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Le Tiers-instruit (1991) de Michel Serres
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Il n'y a pas d'amour heureux (1943) de Louis Aragon
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Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981
de Jean d'Ormesson
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Les Fleurs de Tarbes ou La terreur dans les Lettres (1936-1941) de Jean Paulhan
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Du crime au bourreau (1959) de Arthur Upfield
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Dans 7 à Paris, 1990. de Fanny Ardant
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Sans référence de Bertolt Brecht
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Disgrâce (1999) de J. M. Coetzee
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Momo (1972) de Michael Ende
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Intuitions pré-chrétiennes (1951) de Simone Weil
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Discours sur le bonheur (1779) de Émilie Du Châtelet
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Désert (1980) de J. M. G. Le Clézio
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Conférences psychanalytiques à l'usage des malades (1981) de Walter Georg Groddeck
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Journal d'un bouffon (2002) de Jean Amadou
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Lettre à Daphné Trevor, Paris, le 27 octobre 1947. de René Maran
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Solitudes (2000) de Morgan Sportès
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Maîtres anciens (1985) de Thomas Bernhard
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Mes amis (1924) de Emmanuel Bove
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La Vallée seule (2013) de André Bucher
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Vagabond (2019) de Franck Bouysse
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