Citation ont une fin
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème ont une fin.
140 citations
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
La plupart des gens préfèrent le confort à la prise de risque, dit-il enfin, parce qu'ils ont peur du changement et de l'échec, alors que la plus grande des peurs devrait être celle d'une vie gâchée.
Quand on répète que l'amour est remplacé à la fin entre les époux par une solide amitié, on veut dire seulement que les sens s'apaisent ou s'épuisent; car l'amour conjugal conserve tous les autres caractères de l'amour. Il est protecteur et dévoué chez le mari, tendre et soumis chez l'épouse; il comporte un désintéressement absolu, l'union des âmes la plus intime et la plus complète. L'amitié, même parfaite, est un sentiment froid et réservé auprès de celui-là. L'amour conjugal est comme la base sur laquelle reposent tous les sentiments qui font le charme et le lien de la famille. N'en médisons pas, ne le dédaignons pas. Il n'y a, sans lui, ni bonheur ni dignité du foyer domestique.
Nous ne savons pas, en vérité, ce que sont les mondes. Mais nous pouvons guetter les signes de leur fin. Le déclenchement d'un obturateur dans la lumière d'été, la main fine d'une jeune femme fatiguée, posée sur celle de son grand-père, ou la voile carrée d'un navire qui entre dans le port d'Hippone, portant avec lui, depuis l'Italie, la nouvelle inconcevable que Rome est tombée.
Je trouve insensé qu’on parle maintenant du déconfinement. Si on suit le modèle chinois, on sera déconfiné fin mai. Commencer à parler du déconfinement aux Français maintenant est une plaisanterie du 1er avril. C’est comme ça que les gens vont commencer à sortir et ne plus prendre cette épidémie de coronavirus au sérieux.
J'ai compris que je vais mourir toute ma vie, comme tout le monde, je mourrai quand j'apprendrai la mort des autres, quand je verrai au journal ces corps torturés, ces enfants qu'on achève, et mon cœur nucléaire n'est plus qu'une boule de paille, mes oncles et mon père sont en verre, mes sœurs et ma mère en papier froissé ou en plastique, oui, des flaques d'eau dans une fine membrane de plastique, un jour ça éclatera, et il ne restera que ce que je vois et que ma mémoire imprime à cet instant-là, l'image de la fin d'un mini-monde, trois mouches mortes, un mur qui part en lambeaux et une toile d'araignée au coin d'un plafond.
La guerre n'a jamais de fin pour ceux qui se sont battus a écrit Malaparte. Il faut une autre forme de courage pour vivre en ses murs invisibles.
Et qu'est-ce qu'un Juif qui n'a pas l'air juif, qui n'a pas l'air retors, qui n'a pas les cheveux noirs, qui n'a pas le nez crochu ? Et que dire des Juifs convertis au christianisme ou des Juifs qui ont épousé une Allemande ou des Juives qui ont épousé un Allemand ? Ne jamais savoir réellement ce qu'était au juste cette qualité – ou, comme dirait un antisémite (ou un Juif qui a de l'humour), ce défaut – n'allait pourtant pas empêcher l'administration nazie de réfléchir à comment exproprier les Juifs, puis à comment les concentrer, puis à comment les déporter, puis, enfin, à comment les exterminer.
Car il n'y avait pour moi qu'une espérance de salut : qu'on me reconnaisse écrivain, et par écrivain je n'entendais pas seulement celui qui publie des livres, ce dont je n'espérais ni gloire ni tirage mirifique, non, simplement ceci, qui aux yeux de quiconque passerait pour une absurdité bien plus grande que de convoiter le succès, ceci qu'on attribuerait à un esprit au mieux rêveur au pire dérangé, ceci qui vaut en retour à celui qui annonce son ambition des regards moqueurs ou de compassion, mais enfin ceci : une place dans ce qu'il est convenu d'appeler la littérature, ce domaine réservé où l'on croise les tourneurs de phrase et les jongleurs du verbe, les bâtisseurs de mondes et d'imaginaires. Ce dont aujourd'hui, maintenant que les dés sont jetés, je me moque un peu, pas complètement mais un peu tout de même.
Il ne s'est jamais trouvé personne dans une maison de retraite qui n'a pas regardé d'un air dubitatif les autres résidents. Ce sont eux les vieux, ils forment le club dont personne ne veut faire partie. Mais nous ne sommes jamais vieux à nos yeux. Parce que, à la fin du jour, le bateau sur lequel nous naviguons est notre âme, pas notre corps.
Il y a des vies de femmes qui ne sont qu'une suite de larmes, et dont l'existence, en fin de compte, est une réussite.
Quelle règle convient-il donc de suivre dans cette grande question des jeux de l'enfance ? Le jeu forme les trois quarts de leur vie. Faut-il les y abandonner aux seules ressources de leur imagination ? Faut-il les forcer à se tirer d'affaire et les laisser s'amuser seuls, ou bien est-il bon au contraire, là comme ailleurs, de leur ouvrir la voie, de leur tendre la main, de leur apprendre à inventer ? Le problème est des plus difficiles. On ne peut nier d'une part que les enfants n'aient en eux les plus ingénieuses et les plus fécondes ressources d'amusement. Qui de nous ne s'est arrêté à contempler un enfant assis à terre et passant des heures entières à creuser dans le sable un trou sans objet, sans forme, sans fin (car il le recreuse toujours), et attaché à cet ouvrage comme Archimède à son problème. Que fait-il ? A quoi songe-t-il ? Que se passe-t-il dans sa tête ?Nul ne peut le dire; lui-même ne le pourrait pas. Ces heures, pourtant, se sont écoulées pour lui avec cette rapidité légère dont le mot jeu est synonyme, et il a joué tout seul. Mais d'un autre côté, qui n'a pas vingt fois pris en pitié les regards de détresse et l'attitude mélancolique d'enfants réunis pour s'amuser, et ne pouvant trouver d'amusement ?.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
Tu sais, continua-t-il, les couples de raison, ceux qui commencent sans attirance, sans illusions sont ceux qui durent le plus longtemps. Pour une raison simple. Une raison implacable. Parce qu'on n'est pas déçu ! Parce que çà finit par être mieux que ce à quoi on s'attendait. Qui peut dire çà d'une histoire d'amour, hein ? Qui peut dire çà d'une passion ? Que c'est mieux à la fin qu'au début ?
La plupart des choses qui ont de l'importance dans notre vie se passent en notre absence : mais il me semble que j'ai trouvé quelque part le truc pour tout savoir afin que tout soit dans ma tête, jusqu'au moindre détail, comme le brouillard semble se déverser dans l'air du matin... tout et pas seulement les quelques indications qui permettent d'avancer, comme par exemple ouvrir une vieille malle couverte de toiles d'araignées et bien close.
Contre ces colères irrépressibles et ces caprices d’enfant gâté, ma mère a épuisé toutes ses cartouches. II n’y a aucun remède à la folie de cet homme qu’on dit caractériel. Leur mariage est une guerre sans fin, un carnage dont tout le monde a oublié l’origine. Le conflit sera bientôt réglé de façon unilatérale. Ce n’est plus qu’une question de semaines. Pourtant, ils ont bien dû s’aimer un jour, ces deux-là. Au bout d’un interminable couloir, occultée par la porte d’une chambre à coucher, leur sexualité a sur moi l’effet d’un angle mort où serait tapi un monstre : omniprésente (les crises de jalousie de mon père en sont le témoignage quotidien), mais parfaitement ésotérique (je n’ai aucun souvenir de la moindre étreinte, du moindre baiser, du plus infime geste de tendresse entre mes parents).
Les mots sont des larmes qui ont été écrites. Les larmes sont des mots qui ont besoin de couler. Sans elles, aucune joie n'a d'éclat, aucune tristesse n'a de fin.
Passé la soixantaine, les élans romantiques ne sont plus de saison. Le moteur a des ratés, la carrosserie des éraflures. On compte ses abattis et ses points de retraite. On commence à pressentir que l’escale ici-bas connaîtra une fin sous une dalle ou dans une urne, au choix.
Parfois, j'ai cette drôle d'impression que la vie est un jeu vidéo. On commence la partie avec plusieurs jauges pleines. La jauge de sérénité, la jauge de force, la jauge d'énergie, la jauge de joie. Sur notre chemin, on va croiser quelques ennemis, faire face à des attaques, parfois se tromper de chemin, sauter sur des bombes, chuter dans des trous, buter contre des obstacles. A chaque fois, nos jauges vont être entamées, mais des bonus "Bonheur" vont nous aider à les recharger. Le bonus "Mariage", le bonus "Naissance d'un enfant", le bonus "Soirée en famille". Ces bonus sont précieux, ce sont eux qui déterminent la qualité de la partie, parfois même sa durée. A la fin de chaque tableau, on doit affronter un gros monstre. Parmi les plus terrifiants, il y a le monstre "Deuil", le monstre "Maladie", le monstre "Chômage", le monstre "Rupture". Ceux-là, ils sont coriaces. Il faut du temps pour en venir à bout. Même si on y parvient, ils emportent toujours avec eux une bonne partie de chaque jauge. Un jour, les bonus ne sont plus assez costauds pour restaurer la joie, l'énergie et la force.
Depuis tant d’années, mes rêves sont peuplés de meurtres et de vengeance. Jusqu’au jour où la solution se présente enfin, là, sous mes yeux, comme une évidence : prendre le chasseur à son propre piège, l’enfermer dans un livre.
Je voudrais qu'il aimât les clairs de lune, les roses pompon, les nostalgies exotiques, les langueurs printanières, les névroses fin de siècle, toutes choses que personnellement j'abomine mais qui, de nos jours, font bien dans un roman.
Il n'y a jamais de fin à Paris et le souvenir qu'en gardent tous ceux qui y ont vécu diffère d'une personne à l'autre.
Le désir est un mouvement plutôt qu'un lieu. Mais, plus encore, le souvenir de cette longue poursuite, dont la fin était indiscernable du début, dit un certain type de rapport au monde : l'expérience rejetée au profit du souvenir, le centre rejeté au profit de la marge. Un sens du beau planant tout juste hors de votre portée, que vous puissiez considérer, auquel vous puissiez réfléchir. La réflexion devient, à sa façon, une autre forme de possession.
La vie n'est pas une ligne, une trajectoire, elle est un arbre infiniment ramifié et feuillu, une chevelure immense. Ces autres vies ont à petits coups forgé la tienne, et dans ces destins que tu ne connais plus, au Pérou, au Soudan, en Russie, partout où tu es passé, une part infime de toi continue à vivre - ou meurt - sans toi. C'est cela, en fin de compte, dont tu veux essayer de donner une idée - tu viens enfin de le comprendre nettement.
Tu sais, jeune homme, remonter aux origines n’est jamais facile : il y a l’oubli — ce grand trou noir —, la nostalgie, la pudeur qui transmuent les souvenirs. Et si raconter ma propre vie suppose que je vide ma mémoire sans crainte de réveiller d’anciennes douleurs, raconter celle des autres exige le secours de l’imagination. Car enfin, comment appréhender la pensée, les sentiments, les secrets d’autrui quand on ne les a pas partagés ? Comment pénétrer, comment violer, le sanctuaire d’une vie ? Comment remplir les blancs que nos semblables ont, sciemment ou non, laissés derrière eux ? Comment cerner tout ce qui a déterminé leur action, comment justifier leurs actes — si tant est qu’il faille toujours « justifier » ?
Discours sur le bonheur (1779) de Émilie Du Châtelet
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L'insouciance (2016) de Karine Tuil
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Le Devoir (1854) de François-Jules Suisse, dit Jules Simon
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Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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A propos de la pandémie de Covid-19 dans le 23h de franceinfo, mercredi 1er avril 2020 de Jacques Attali
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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Les Sentinelles du soir (1999) de Hélie Denoix de Saint Marc
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Le Ghetto intérieur (2019) de Santiago Amigorena
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Kiosque (2019) de Jean Rouaud
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Le testament caché (2009) de Sebastian Barry
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Comme les chardons de Armand Salacrou
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Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Le Temps est assassin de Michel Bussi
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Les Enfants de minuit (1981) de Salman Rushdie
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Aleph (2011) de Paulo Coelho
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Retiens ma nuit (2015) de Denis Tillinac
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Tu comprendras quand tu seras plus grande (2017) de Virginie Grimaldi
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Le Vol d'Icare (1968) de Raymond Queneau
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Paris est une fête , 1964 de Ernest Hemingway
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L'étreinte fugitive (2009) de Daniel Mendelsohn
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Extérieur monde (2019) de Olivier Rolin
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Le Roman de Beyrouth (2005) de Alexandre Najjar
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