Citation sur la rue
Découvrez une citation sur la rue - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sur la rue issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème sur la rue.
60 citations
Les « jeunes » ? Ces faces de béton et ces yeux de haine qui vous brûlaient vos vêtements sur la peau s'il leur arrivait de vous voir traîner dans la grand-rue le samedi. Des jeunes ? Il semblait que la jeunesse ne les eût jamais rencontrés. Des jeunes ? Non, plutôt des hommes couverts de l'ancienne poussière des tombes, sans beauté ni savoir. La laideur et la pourriture de vieilles abominations.
Le jour où tu verras la vie comme elle mérite d'être vue, tu sauras alors qu'il n'y a que la naissance et la mort et, entre les deux, le temps. Ainsi, en un tournemain, connaîtras-tu la valeur des choses auxquelles, aujourd'hui, tu n'attaches guère d'importance : l'harmonie des sentiments et l'équilibre intérieur; cela ressemble à une honnête boutique du coin de la rue, avec son enseigne, une de ces boutiques que l'on tient de quelque arrière-grand-père. Roulant comme sur des rails invisibles, ce commerce confère une sorte de solidité à la vie. Qui dit solidité dit aussi immobilité, et c'est donc de ces entreprises sans espoir. Mais ces dernières sont pleines de sagesse si l'on admet que l'espoir est un sentiment fait pour les gens qui ne supportent pas le présent.
Il est insipide, ce vieux; il l'appelle sa fille, il a soin d'elle comme d'un enfant, il est toujours sur son dos. Je suis sûre qu'a cette heure un de ses domestiques rôde dans la rue pour voir qui sort, et surtout qui entre.
La vraie voie passe sur une corde tendue, non dans l'espace, mais à ras du sol. Elle semble plutôt destinée à faire trébucher qu'à être parcourue.
Mais on ne peut pas marcher dans la rue avec les yeux fermés, concentré sur des dragons. Et si on ouvre les yeux, on voit toutes ces choses moches - les mégots, les chewing-gums écrasés par terre, les saletés qui tourbillonnent partout.
Il y a quelque chose que j’aimerais dire à tous les bienheureux, tous ceux qui ont la chance d’avoir un père vaillant, un père qui peut prononcer leur nom, se lever, marcher avec eux, j’aimerais leur dire : « Fermez ce livre, ce plaisir solitaire du livre, vous avez toute la vie pour être seuls face à un livre, et sortez, descendez dans la rue, videz les artères des immeubles, répandez-vous sur les chemins en une hémorragie de fils et de filles, suivez le bruit de votre cœur qui bat et courez le retrouver.»
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Mais il y a de nouveau des dizaines de milliers de gens qui descendent dans la rue. Qui se tiennent par la main. Ils ont des rubans blancs sur leurs vestes. Un symbole de renaissance. De lumière. Et je suis avec eux.
Aussi le tourisme est-il supranational, comme l'Église catholique, et représente-t-il la plus complète communion que l'on connaisse sur terre: car, que ses fidèles soient américains, allemands, italiens, ou de n'importe quelle origine, la tour Eiffel, les Pyramides et le Campanile provoquent chez eux une seule et même émotion, leur Bible est rédigée en langage clair et ne souffre pas d'interprétation personnelle; ils partagent les mêmes paysages, supportent les mêmes contrariétés, vivent selon le même et transparent horaire. Ils appartiennent à la rue.
Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront, il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise.
La bille roule entre mes doigts au fond de ma poche. C'est, celle que je préfère, je la garde toujours celle-là. Le plus marrant c'est que c'est la plus moche de toutes : rien à voir avec les agates ou les grosses plombées que j'admire dans la devanture de la boutique du père Ruben au coin de la rue Ramey, c'est une bille en terre et le vernis est parti par morceaux, cela fait des aspérités sur la surface, des dessins, on dirait le planisphère de la classe en réduction.
Quelques étoiles commençaient à percer, brillantes comme si on les avait astiquées. Les illuminations de Noël formaient des coulées de lave scintillante dans la rue mais toute cette agitation lui parut dérisoire dans le regard immémorial des Pyrénées. Même le crime le plus atroce devenait petit, ridicule, face à l'éternité colossale des montagnes. Guère plus qu'un insecte écrasé sur une vitre.
Le 23 août 1910, de la fenêtre d'un appartement de la rue de Normandie, je vis dans l'ouest un tout petit nuage doré par le soleil qui filait rapidement dans le ciel vers Trouville; c'était le premier aéroplane passant sur l'estuaire.
Aujourd’hui, je gagne trois fois ce que je gagnais à l’Observateur, en travaillant quatre fois moins. Je ne possède rien mais je ne calcule plus. Je suis heureux de ne plus avoir de soucis matériels dans l’immédiat. J’ai eu une période de gloriole quand j’étais chez Michel Drucker le dimanche, mais la période où j’étais le plus connu, c’était quand je faisais « Droit de réponse » avec Michel Polac. Bien sûr que j’aime bien quand les gens me reconnaissent dans la rue. Quoique, maintenant, ça me fait un peu chier. Je sens que je penserai que j’aimais cela, quand ça m’emmerdera qu’on ne me le demande plus.
— Et l'astéroïde 612, dans tout ça ?
— C'est l'endroit où habite le Petit Prince. Lorsque l'auteur, Saint-Exupéry, est triste, il lui suffit de regarder le ciel pour se souvenir de cet ami qui est retourné vivre sur son étoile. Vous voyez, c'est à la fois triste et gai ... Cette idée qu'il existe une étoile qui correspond à chaque personne disparue.Soudain le ciel entonne un air de pluie, gouttes assourdissantes sur les toitures en tôle ; des gosses emplissent au caniveau une cuvette d'eau et la déversent en riant sur leurs têtes. La douche se trouve dans la rue.
Quand l'autobus nous a de nouveau emportés à travers la rue qui n'en finissait plus de promesses, j'ai reporté mon regard sur les yeux de ce voisin ou de cette voisine qui est à l'origine de ces banales réflexions. Et j'ai bien vu qu'il ou elle continuait à désirer, à en mourir, des choses qu'on fabrique avec l'âme. La carrière de bienfaiteur de l'humanité n'est pas encombrée. Un mauvais esprit, qui m'est naturel, me souffle que c'est simple justice.
Voix d'une femme, qui sort d'un lampadère, la nuit, rue de Rivoli. - Veux-tu, chéri, cueillir des pigments biliaires au champ n° 3 dans la campagne de la chansonnette ? Le champ n° 3 ? j'y suis allé sur les mains.
Ce ne sont pas les évènements qui troublent les hommes, mais les évaluations prononcées sur les choses: ainsi la mort n'est rien de terrible (car même à Socrate elle serait apparue terrible), mais l'évaluation prononcée sur la mort: qu'elle est terrible - voilà ce qui est terrible.Quand donc nous sommes entravés, ou troublés, ou affligés, n'en imputons jamais la faute à l'autre, mais à nous-même, c'est-à-dire à nos propres évaluations.
Dans la rue, des couples de gens du peuple passaient, endimanchés, s'en allant sur les routes et dans les bois comme au printemps.
Aussi quand tu partis, Yvonne, j'allai à Oaxaca. Pas de plus triste mot. Te dirai-je, Yvonne, le terrible voyage à travers le désert, dans le chemin de fer à voie étroite, sur le chevalet de torture d'une banquette de troisième classe, l'enfant dont nous avons sauvé la vie, sa mère et moi, en lui frottant le ventre de la tequila de ma bouteille, ou comment, m'en allant dans ma chambre en l'hôtel où nous fûmes heureux, le bruit d'égorgement en bas dans la cuisine me chassa dans l'éblouissement de la rue, et plus tard, cette nuit-là, le vautour accroupi dans la cuvette du lavabo ?
Le spectacle de ces femmes tirant sur les câbles et se piétinant ne l’embarrassait nullement. Ici, comme dans la rue Krakusa, la question était de savoir : qu'est-ce qui pouvait bien mettre les SS dans l'embarras ? Qu'est-ce qui pouvait bien embarrasser Amon Goeth ?
La mer nous a pris. Elle est verte, grise, noire, crêtée de blanc, elle nous ramasse sur son dos d'un coup de rein comme une bête habituée à ses parasites et nous jaillissons à sa cadence. C'est elle qui choisit son allure. Si elle rue, on se cramponne et ça repart.
J'ai laissé le mal connu pour le bien à connaître, et je me suis repenti ; le hareng saute de la poêle et tombe sur les charbons. D'ailleurs où ira le boeuf qu'on ne le mette à la charrue ?
Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage (2008) de Maya Angelou
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Vivre (1985) de Milena Jesenská
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La Dame aux Camélias (1848) de Alexandre Dumas fils
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Journal intime (1948) de Franz Kafka
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Toi contre moi (2012) de Jenny Downham
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On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en s'en allant (2015) de Marie Griessinger
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
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V. (1963) de Thomas Pynchon
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Petits poèmes en prose ou Le Spleen de Paris (1862), Enivrez-vous de Charles Baudelaire
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Un sac de billes (1973) de Joseph Joffo
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Glacé (2011) de Bernard Minier
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Boulevard Durand (1960) de Armand Salacrou
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Entretien, Le Soir le 19/09/2015 par Maxime Biermé
de Pierre Bénichou
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Gravé dans le sable de Michel Bussi
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C'est où Poezi ? (2017) de Chantal Dupuy-Dunier
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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Les Pénalités de l'Enfer (1922) de Robert Desnos
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Manuel de Epictète
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Mon frère Yves (1883) de Louis Marie Julien Viaud, dit Pierre Loti
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Au-dessous du volcan (1947) de Malcolm Lowry
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La Liste de Schindler (1982) de Thomas Keneally
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Le Carnet Viking: 70 jours en mer de Barents (2018) de Anita Conti
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Les Nouvelles exemplaires (1613), Le petit-fils de Sancho de Miguel de Cervantès
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