Citation une serre
Découvrez une citation une serre - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase une serre issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème une serre.
40 citations
Le jour de mon départ, nous nous sommes longuement serré la main. Ce n'est pas un de ces imbéciles qui vous broient les phalanges pour vous faire croire à leur franchise. Non il préfère un chaud contact, paume contre paume, l'enveloppante caresse de l'amitié. On ne lui échappe pas. Sa méfiance naturelle une fois évanouie, son regard dit tout. Figurez-vous que je suis très fier de lui avoir plu, d'avoir été, du moins en certaines circonstances, à sa hauteur. Il m'a fait don d'un peu de son courage et auprès de lui, j'ai retrouvé ma qualité d'homme. Naturellement, il était tard aux yeux des autres, aux yeux de Daniel surtout, mais je ne quête plus d'autre approbation que la mienne.
S'il existe une quelconque morale politique en ce bas monde, avait écrit Stencil, un jour, dans son journal, elle réside dans le fait que nous menons les affaires de ce siècle avec une vision des choses dédoublée et absolument intolérable. Droite et gauche; la serre chaude et la rue. La droite ne peut vivre et travailler qu'hermétiquement, dans la serre chaude du passé, cependant que la gauche, dehors, poursuit son programme dans les rues, en utilisant la violence populaire dirigée. Et elle ne peut vivre que dans le rêve de l'avenir.
Il m'est doux de penser à vous; mais l'absence jette une certaine amertume qui serre le coeur.
La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin.
Le printemps maladif a chassé tristement L’hiver, saison de l’art serein, l’hiver lucide, Et, dans mon être à qui le sang morne préside L’impuissance s’étire en un long bâillement. Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne Qu’un cercle de fer serre ainsi qu’un vieux tombeau Et triste, j’erre après un rêve vague et beau, Par les champs où la sève immense se pavane Puis je tombe énervé de parfums d’arbres, las, Et creusant de ma face une fosse à mon rêve, Mordant la terre chaude où poussent les lilas, J’attends, en m’abîmant que mon ennui s’élève… – Cependant l’Azur rit sur la haie et l’éveil De tant d’oiseaux en fleur gazouillant au soleil.
Ces philosophes qui croient à l'absolue logique de la vérité n'ont jamais eu à discuter serré avec une femme.
Chez lui, le vers embrasse l'idée, s'y incorpore étroitement, la resserre et la développe tout à la fois, lui prête une figure plus svelte, plus stricte, plus complète, et nous la donne en quelque sorte en élixir.
Toute sa face s'était collée à ses os, plissée comme une bourse dont on a resserré les cordons.
Il serre les dents; c'est une façon de mordre qui ne fait de tort à personne.
L'amour de certaines mères est comme une corde passée au cou de l'enfant : au moindre mouvement de celui-ci vers la vie, le noeud coulant se resserre.
Elle serre en ses bras les fils qu'elle a nourris ;
Son être maternel se fond dans sa tendresse ;
Son regard est un soin, son geste une caresse ;
Son âme en ses baisers vient sur leurs fronts chéris.Les secrets de famille sont de noires araignées qui tissent autour de nous une toile collante. Plus le temps passe, plus on est ligoté, bâillonné, serré dans une gangue. Incapable de bouger, de parler. D'exister.
Le rang oppresse moins une grande âme, et la resserre souvent dans des limites moins étroites que le sexe.
L'élastique est donc le symbole idéal pour nous aider à comprendre le cycle de l'intimité masculine, cycle fait d'un rapprochement suivi d'un éloignement, puis d'un nouveau rapprochement plus serré. Même quand un homme adore une femme, il éprouve de temps à autre le besoin de s'isoler, pour mieux revenir auprès d'elle par la suite. C'est étonnant pour la plupart des femmes. Ce retrait est instinctif chez l'homme ; il n'est aucunement délibéré, ni pensé.
La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant, qui vous serre la main pour mieux vous tirer vers le bas quand vous luttez pour vous redresser.
Je suis comme une pauvre fleur enfermée dans sa serre, obligée de vivre toujours dans une atmosphère factice.
Dès son installation à Cinq-Cygne, le bonhomme d'Hauteserre fit d'une longue ravine par laquelles les eaux de la forêt tombaient dans la douve, un chemin qui sépare deux grandes pièces de terre appartenant à la réserve du château...
Pour un homme, aimer, c'est cueillir la beauté d'une femme, la mettre sous serre, pour qu'elle s'y sente à l'abri et la chérir... jusqu'à ce que le temps la fane, alors les hommes repartent cueillir d'autres coeurs.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.L'école: une serre où l'on apprend aussi la cruauté et la bêtise des autres.
Et hors de lui le vannier éperdument vient se jeter sur le corps de Mireille, et l'infortuné dans ses embrassements frénétiques serre la morte.
Il avait pris à gauche, un long corridor. Il tourna deux fois, la première encore à gauche, la seconde à droite. Le corridor s'allongeait toujours, se bifurquait, resserré, lézardé, décrépi, de loin en loin éclairé par une mince flamme de gaz.
Qu'est-ce qui nous décide à faire une fugue? Je me souviens de la mienne le 18 janvier 1960, à une époque qui n'avait pas la noirceur de décembre 1941. Sur la route où je m'enfuyais, le long des hangars de l'aérodrome de Villacoublay, le seul point commun avec la fugue de Dora, c'était la saison : l'hiver. Hiver paisible, hiver de routine, sans commune mesure avec celui d'il y avait dix-huit ans. Mais il semble que ce qui vous pousse brusquement à la fugue, ce soit un jour de froid et de grisaille qui vous rend encore plus vive la solitude et vous fait sentir encore plus fort qu'un étau se resserre.
Par une froide journée d'hiver un troupeau de porcs-épics s'était mis en groupe serré pour se garantir mutuellement contre la gelée par leur propre chaleur. Mais tout aussitôt ils ressentirent les atteintes de leurs piquants, ce qui les fit s’écarter les uns des autres. Quand le besoin de se réchauffer les eut rapprochés de nouveau, le même inconvénient se renouvela, de sorte qu'ils étaient ballottés de çà et de là entre les deux maux jusqu'à ce qu'ils eussent fini par trouver une distance moyenne qui leur rendît la situation supportable. Ainsi, le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur vie intérieure, pousse les hommes les uns vers les autres ; mais leurs nombreuses manières d'être antipathiques et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières. En Angleterre on crie à celui qui ne se tient pas à cette distance : Keep your distance ! Par ce moyen le besoin de se réchauffer n'est, à la vérité, satisfait qu'à moitié, mais, en revanche, on ne ressent pas la blessure des piquants. Cependant celui qui possède assez de chaleur intérieure propre préfère rester en dehors de la société pour ne pas éprouver de désagréments, ni en causer.
L'absence jette une certaine amertume qui serre le coeur ...
Les Poneys sauvages (1970) de Michel Déon
Références de Michel Déon - Biographie de Michel Déon
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Déon (n° 157259) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
V. (1963) de Thomas Pynchon
Références de Thomas Pynchon - Biographie de Thomas Pynchon
Plus sur cette citation >> Citation de Thomas Pynchon (n° 161899) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettres (1646-1696), à Mme de Grignan, 21 août 1675 de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné
Références de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné - Biographie de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné
Plus sur cette citation >> Citation de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné (n° 94087) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Insaisissable, tome 2 : Ne m'échappe pas de Tahereh Mafi
Références de Tahereh Mafi - Biographie de Tahereh Mafi
Plus sur cette citation >> Citation de Tahereh Mafi (n° 158662) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Renouveau (1866) de Stéphane Mallarmé
Références de Stéphane Mallarmé - Biographie de Stéphane Mallarmé
Plus sur cette citation >> Citation de Stéphane Mallarmé (n° 168138) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Métier de vivre (1952) de Cesare Pavese
Références de Cesare Pavese - Biographie de Cesare Pavese
Plus sur cette citation >> Citation de Cesare Pavese (n° 100731) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cromwell (1827), Préface de Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 96836) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Sacha Guitry
Références de Sacha Guitry - Biographie de Sacha Guitry
Plus sur cette citation >> Citation de Sacha Guitry (n° 42669) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ogre de Jacques Ferron
Références de Jacques Ferron - Biographie de Jacques Ferron
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Ferron (n° 20379) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Ressusciter (2001) de Christian Bobin
Références de Christian Bobin - Biographie de Christian Bobin
Plus sur cette citation >> Citation de Christian Bobin (n° 134312) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La mère de famille de Evariste Boulay-Paty
Références de Evariste Boulay-Paty - Biographie de Evariste Boulay-Paty
Plus sur cette citation >> Citation de Evariste Boulay-Paty (n° 156019) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Trente-six chandelles (2014) de Marie-Sabine Roger
Références de Marie-Sabine Roger - Biographie de Marie-Sabine Roger
Plus sur cette citation >> Citation de Marie-Sabine Roger (n° 132763) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
Références de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul - Biographie de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
Plus sur cette citation >> Citation de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul (n° 117647) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus (1992) de John Gray
Références de John Gray - Biographie de John Gray
Plus sur cette citation >> Citation de John Gray (n° 153318) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas de Tahereh Mafi
Références de Tahereh Mafi - Biographie de Tahereh Mafi
Plus sur cette citation >> Citation de Tahereh Mafi (n° 158640) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Amaury (1843) de Alexandre Dumas
Références de Alexandre Dumas - Biographie de Alexandre Dumas
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandre Dumas (n° 117080) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une ténébreuse affaire (1841) de Honoré de Balzac
Références de Honoré de Balzac - Biographie de Honoré de Balzac
Plus sur cette citation >> Citation de Honoré de Balzac (n° 79601) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'étrange voyage de Monsieur Daldry (2011) de Marc Lévy
Références de Marc Lévy - Biographie de Marc Lévy
Plus sur cette citation >> Citation de Marc Lévy (n° 100555) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'envers de l'enfance (1976) de Alice Parizeau
Références de Alice Parizeau - Biographie de Alice Parizeau
Plus sur cette citation >> Citation de Alice Parizeau (n° 115394) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mireille (1859) de Frédéric Mistral
Références de Frédéric Mistral - Biographie de Frédéric Mistral
Plus sur cette citation >> Citation de Frédéric Mistral (n° 80995) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Assommoir (1878) de Emile Zola
Références de Emile Zola - Biographie de Emile Zola
Plus sur cette citation >> Citation de Emile Zola (n° 72452) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Dora Bruder (1997) de Patrick Modiano
Références de Patrick Modiano - Biographie de Patrick Modiano
Plus sur cette citation >> Citation de Patrick Modiano (n° 163723) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Parerga et Paralipomena (1851) de Arthur Schopenhauer
Références de Arthur Schopenhauer - Biographie de Arthur Schopenhauer
Plus sur cette citation >> Citation de Arthur Schopenhauer (n° 168311) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettres, 21 août 1675 de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné
Références de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné - Biographie de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné
Plus sur cette citation >> Citation de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné (n° 63823) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
- Uniforme - Union - Unique - Univers - Utilite - Utopie
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur une serre
Toutes les citations sur une serre Citation sur une Citations courtes une
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
