Citation C est un fait
Découvrez une citation C est un fait - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase C est un fait issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 270 citations et proverbes sur le thème C est un fait.
270 citations
L'Afghanistan est sec comme les poignets des vieillards qui surveillent les rues. Comme un corps d'homme bien fait, aussi. Sa beauté n'a d'égal que sa pudeur et sa violence.
Quand je pense qu'on ose dire que la tartiflette est un plat traditionnel... Mais ça fait seulement quinze ans qu'elle existe! C'est une pure invention, du bluff pour faire du fric en attirant les touristes...
Mais le bien public est fait du bonheur de chacun.
Et personne n'a jamais vu un 14 Juillet raté. Sauf le premier, naturellement, en 1789, où tout le monde s'est égorgé entre soi avec beaucoup de conviction. On a, du même mouvement, rasé la prison d'Etat, cette fameuse Bastille. Au fait, pourquoi ne pas célébrer aussi la fin des prisons pourries avec ce renouveau ?
Toute philosophie est indissociable du monde émotif duquel elle émerge. Son intérêt vient du fait qu'elle témoigne d'une expérience humaine, d'une rencontre d'un monde intérieur avec le monde extérieur.
C'est vrai qu'on m'a mariée à Samad Iqbal le soir même du jour où je l'ai rencontré pour la première fois. C'est vrai que je ne le connaissais ni d'Eve ni d'Adam. Mais il ne me déplaisait pas. On s'est rencontrés dans la salle du petit déjeuner d'un hôtel de Delhi, un jour où il faisait une chaleur épouvantable, et il m'a éventée avec le Times. J'ai trouvé qu'il avait un visage sympathique, une voix douce et un joli p'tit derrière pour un homme de son âge. Bon. Maintenant, chaque fois que je découvre quelques chose sur son compte, je l'apprécie un peu moins. Donc, tu vois, tout compte fait, on était nettement mieux avant...
Avec un peu de patience, j'aurais fait un assez bon idiot du village. C'est un métier que plus personne n'exerce : trop difficile sans doute. Il est plus aisé de devenir médecin, ingénieur ou même écrivain. Plus aisé et gratifiant aux yeux du monde.
La moyenne de français est pour moi de 7,93 et non 7,5
Par ailleurs pourquoi un C en gym alors que Sylvie a été pratiquement absente du fait de ses verrues???Dans ce cas de confrontation avec la philosophie, je me sens ainsi tout à fait dans la peau de Foucault par rapport à la musique : je pense, je lis mais je ne me sens pas du tout capable de formuler — ou si je formule quelque chose, je le fais par la musique et non plus par les mots, si je puis dire. Ce n'est donc pas tellement de ma part un complexe d'infériorité. Disons seulement que je me sens sur un territoire où ma formulation pourrait, j'imagine, prêter à sourire, et je préfère éviter cela.
Une conversation ingénieuse avec un homme, c'est une mission. Avec une femme, c'est une harmonie, un concert. Il y a le rapport de l'octave à la basse. Vous sortez satisfait de l'une, vous sortez de l'autre enchanté.
Ce qui est extraordinaire chez Bayrou, ce qui le rend irremplaçable, poursuivit Tanneur avec enthousiasme, c'est qu'il est parfaitement stupide, son projet politique s'est toujours limité à son propre désir d'accéder par n'importe quel moyen à la « magistrature suprême », comme on dit ; il n'a jamais eu, ni feint d'avoir la moindre idée personnelle ; à ce point, c'est tout de même rare. Ça en fait l'homme politique idéal pour incarner la notion d'humanisme, d'autant qu'il se prend pour Henri IV, et pour un grand pacificateur du dialogue interreligieux ; il jouit d'ailleurs d'une excellente cote auprès de l'électorat catholique, que sa bêtise rassure. C'est exactement ce dont a besoin Ben Abbes, qui souhaite avant tout incarner un nouvel humanisme, présenter l'islam comme la forme achevée d'un humanisme nouveau, réunificateur, et qui est d'ailleurs parfaitement sincère lorsqu'il proclame son respect pour les trois religions du Livre.
Je présente ce livre au public avec la ferme conviction que tôt ou tard il rencontrera ceux pour qui seuls il est fait ; au surplus, je me repose tranquillement sur cette pensée, qu'il aura lui aussi la destinée réservée à toute vérité, à quelque ordre de savoir qu'elle se rapporte, et fût-ce au plus important : pour elle un triomphe d'un instant sépare seul le long espace de temps où elle fut taxée de paradoxe, de celui où elle sera rabaissée au rang des banalités.
Bien qu'il en soit, hélas ! la première victime, l'homme n'a pas le droit de se plaindre des défauts, ni même des vices de la femme. Celle-ci n'a qu'un but au monde : le captiver, et pour y parvenir elle se modèle sur ses désirs. Or, que lui demande-t-il ? Des charmes et du plaisir. Elle se fait donc coquette, frivole, menteuse pour le séduire. Au lieu de se rendre à de pareils attraits, s'il ne se montrait sensible qu'aux qualités de l'esprit et du coeur, elle s'évertuerait à les acquérir et deviendrait simple, sérieuse, vertueuse même ; car elle est capable de tout pour lui plaire.
Le crime parfait n'est pas celui qui reste mystérieux, mais celui qui est résolu avec un faux coupable.
Chirac contre Jospin, c'est le Bigdil contre le 19/20! Lagaf' contre Julien Lepers! Un déconneur qui serre la main à tout le monde, contre un rigide qui fait son intéressant parce que c'est lui qui a les réponses sur ses fiches.
Le vrai patron est quelqu'un qui se mêle passionnément de votre travail, qui le fait avec vous, par vous.
Je ne fais pas de plans, je n'en ai jamais fait. Les quelques fois où j'essayai, ils tombèrent très vite à l'eau, ce qui est normal. J'embarque mes héros au début de mes livres, je les mets en rapport et les laisse un long moment se débrouiller sans moi. Je veux dire que les propos ou les gestes qu'ils s'inspirent les uns les autres précisent leur personnalité, au départ confuse, et qu'il suffit d'attendre pour que leurs caractères s'imposent. Même si au départ ils sont pratiquement libres, j'en aurais vu beaucoup s'écarter radicalement de leur rôle original. [...] Ils ne tournèrent casaque qu'une fois le bateau parti, et pour mon plus grand plaisir : je n'ai jamais été autoritaire d'abord, et ensuite, tous ces renversements me plaisaient. C'est très agréable d'écrire un livre dans ces conditions, avec autant de curiosité, peut-être plus que le lecteur.
Celui à qui on demande conseil fait bien de découvrir d'abord l'opinion de celui qui l'interroge. Personne n'est si facilement convaincu par une intelligence plus grande, et bien peu demanderaient conseil si c'était avec l'intention de suivre un conseil étranger.
Il me fixa encore un moment avec un regard furieux, puis disparut dans un bureau. Voilà, me disais-je, tu t'es fait un ennemi ce n'est pas si difficile.
Papa est toujours sur sa planète. J'essaye de le faire rire en imitant le singe heureux de retrouver la jungle. Il dit "non" avec sa tête. Bon. Sur sa planète, on ne rit pas. Alors je m'approche de lui et je lui prends sa main dans laquelle je dépose un baiser d'amour. Rien à voir avec la langue de Franklin. On fait ça le dimanche quand on regarde des DVD à la télé. Entre deux films, papa et moi on dépose des baisers d'amour au creux des mains. Je me suis assis sur mes talons, la tête sur les jambes, et j'attends qu'il me caresse la tête. Je suis prêt à rester des heures. Je veux juste qu'il abandonne un instant sa planète pour la mienne. Et sa main, un peu hésitante, se pose sur mes cheveux, ses yeux gris laissent sortir la tempête, de grosses gouttes qui me tombent dessus et coulent sur mes joues, comme si on pleurait tous les deux, un goût de mer chaude, sans le sable et les transats bleu et blanc.
Tu changes de ville, de chambre, de visage, de ville, d'amour, mais même quand tu te dépouilles de tout, il reste toujours quelque chose de permanent, qui réside en toi depuis que tu es doué de mémoire et depuis bien avant que tu aies atteint l'âge de raison, le noyau ou la moelle de ce que tu es, de ce qui jamais ne s'est éteint, non pas une conviction ni un désir, mais un sentiment, parfois amorti comme la braise du feu de la veille cachée sous les cendres, mais presque toujours très vif, qui palpite dans tes actions et qui colore les choses d'un éloignement durable dans le temps; tu as le sentiment d'être déraciné, étranger, de ne jamais être tout à fait nulle part, de ne pas partager les certitudes d'appartenance qui pour d'autres semblent si naturelles ou faciles, ni l'assurance avec laquelle beaucoup d'entre eux s'accommodent ou possèdent, ou bien tiennent pour acquises la solidité du sol où ils marchent, la fermeté de leurs idées, la durée future de leur vie.
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
Un pleur est une force animée d'Esprit;
Un soupir, dans les mains des Anges c'est un glaive;
L'amer gémissement du martyr qu'on torture,
Le Tout-Puissant en fait la flèche de son arc.Je ne sais toujours pas si c'est un métier, si c'est pas la farce d'un métier. Il faut être farceur pour être acteur, faut pas être solennel, faut pas se dire qu'on est créateur, c'est pas vrai. On est créateur à deux, au moins avec l'auteur et aussi avec le metteur en scène, ça fait trois et aussi avec le partenaire, ça fait quatre.
De fait, on ne reconnaissait plus le grenier. Si l'on considère que l'ordre n'est qu'une variation algorithmique subjective du désordre, alors on peut dire du grenier ordonné selon grand-père que c'était la même chose qu'avant mais dans le désordre, c'est-à-dire qu'au chaos il avait substitué un autre chaos, avec cette différence pour nous que celui-là ne nous était pas familier.
Le roi d'Afghanistan ne nous a pas mariés (2007) de Ingrid Thobois
Références de Ingrid Thobois - Biographie de Ingrid Thobois
Plus sur cette citation >> Citation de Ingrid Thobois (n° 142386) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien dans GaultMillau, avril - mai 2001. de Marc Veyrat
Références de Marc Veyrat - Biographie de Marc Veyrat
Plus sur cette citation >> Citation de Marc Veyrat (n° 100260) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Peste (1947) de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 144399) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
On n'a jamais vu un 14 Juillet raté
Par Claire GALLOIS — 15 juillet 2000 - Libération de Claire Gallois
Références de Claire Gallois - Biographie de Claire Gallois
Plus sur cette citation >> Citation de Claire Gallois (n° 154001) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Espace prend la forme de mon regard de Hubert Reeves
Références de Hubert Reeves - Biographie de Hubert Reeves
Plus sur cette citation >> Citation de Hubert Reeves (n° 24401) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sourires de loup (2000) de Zadie Smith
Références de Zadie Smith - Biographie de Zadie Smith
Plus sur cette citation >> Citation de Zadie Smith (n° 164576) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Ressusciter (2001) de Christian Bobin
Références de Christian Bobin - Biographie de Christian Bobin
Plus sur cette citation >> Citation de Christian Bobin (n° 123516) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mots d'excuse - Les parents écrivent aux enseignants (2010), Les contestations de notes de Patrice Romain
Références de Patrice Romain - Biographie de Patrice Romain
Plus sur cette citation >> Citation de Patrice Romain (n° 92776) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien de Pierre Boulez avec François Nicolas - École normale supérieure, 4 mars 2005 de Pierre Boulez
Références de Pierre Boulez - Biographie de Pierre Boulez
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Boulez (n° 152788) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Carnets tome 1 de Joseph Joubert
Références de Joseph Joubert - Biographie de Joseph Joubert
Plus sur cette citation >> Citation de Joseph Joubert (n° 21765) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Soumission (2015) de Michel Houellebecq
Références de Michel Houellebecq - Biographie de Michel Houellebecq
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Houellebecq (n° 163577) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Préface de la première édition de Le Monde comme volonté et comme représentation de Arthur Schopenhauer
Références de Arthur Schopenhauer - Biographie de Arthur Schopenhauer
Plus sur cette citation >> Citation de Arthur Schopenhauer (n° 160692) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
Références de Louise Ackermann - Biographie de Louise Ackermann
Plus sur cette citation >> Citation de Louise Ackermann (n° 171773) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mathématique du crime (2008) de Guillermo Martínez
Références de Guillermo Martínez - Biographie de Guillermo Martínez
Plus sur cette citation >> Citation de Guillermo Martínez (n° 169774) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Vu à la radio (2001) de Laurent Ruquier
Références de Laurent Ruquier - Biographie de Laurent Ruquier
Plus sur cette citation >> Citation de Laurent Ruquier (n° 39750) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Louis Farigoule, dit Jules Romains
Références de Louis Farigoule, dit Jules Romains - Biographie de Louis Farigoule, dit Jules Romains
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Farigoule, dit Jules Romains (n° 10586) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Derrière l'épaule (1998) de Françoise Sagan
Références de Françoise Sagan - Biographie de Françoise Sagan
Plus sur cette citation >> Citation de Françoise Sagan (n° 161948) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Images de pensée de Walter Benjamin
Références de Walter Benjamin - Biographie de Walter Benjamin
Plus sur cette citation >> Citation de Walter Benjamin (n° 156625) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
Références de Jonathan Littell - Biographie de Jonathan Littell
Plus sur cette citation >> Citation de Jonathan Littell (n° 144129) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Au pays des kangourous (2012) de Gilles Paris
Références de Gilles Paris - Biographie de Gilles Paris
Plus sur cette citation >> Citation de Gilles Paris (n° 164114) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
Références de Antonio Muñoz Molina - Biographie de Antonio Muñoz Molina
Plus sur cette citation >> Citation de Antonio Muñoz Molina (n° 164595) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Jacques Chirac, 19 juin 1991, Orléans, dans Le Monde, paru 21 juin 1991 : discours tenu par Jacques Chirac alors président du Rassemblement pour la République (RPR, droite) et maire de Paris au cours d'un dîner-débat du RPR, de Jacques Chirac
Références de Jacques Chirac - Biographie de Jacques Chirac
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Chirac (n° 137490) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes et fragments, Le moine gris de William Blake
Références de William Blake - Biographie de William Blake
Plus sur cette citation >> Citation de William Blake (n° 92893) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien de la série "A voix nue" entre Laure Adler et le comédien Michel Piccoli , 2006 de Michel Piccoli
Références de Michel Piccoli - Biographie de Michel Piccoli
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Piccoli (n° 168950) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les champs d'honneur (1990) de Jean Rouaud
Références de Jean Rouaud - Biographie de Jean Rouaud
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Rouaud (n° 163129) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur C est un fait
Toutes les citations sur C est un fait Citations C est un fait Citation C est un fait et Proverbe C est un fait Proverbes C est un fait : 270 citations et proverbes sur C est un fait Citation C est un fait - Proverbe C est un fait - 270 citations Citations, proverbes sur C est un fait Citation sur c Citations courtes c
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
