Citation Il y a ce que l on sait
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110 citations
Il (l'abbé Abeille) pensait, et avec très grande raison, que la scène peut être une école de vertu, et qu'à ce titre jamais un citoyen honnête ne doit avoir de scrupule d'y consacrer ses talents.
Comment peut-on vivre dans ce monde si on ne fait pas confiance aux gens ? Elle avait ajouté avec le sourire paisible qui la caractérisait : Il y a beaucoup plus de gens gentils que de méchants.
[Les Musulmanes] ne veulent pas de liberté ! Je vais vous dire : récemment, j'ai discuté avec quelqu'un, une personne dont je tairai le nom parce que c'est vraiment gênant… Et cette personne me disait : « Nous voulons libérer les femmes du vous-savez-quoi. » D'abord, j'ai répondu : « Oui, ça paraît logique. C'est sympa. » Et puis, j'ai vu des entretiens de femmes. Elles disaient : « Mais nous ne voulons pas la retirer, on la porte depuis des millénaires. Pourquoi quelqu'un nous y forcerait-il ? » Elles le veulent ! Mince alors ! Pourquoi va-t-on s'embourber dans ce débat ? En fait, c'est même pratique : elles n'ont même plus à mettre de maquillage. Regardez comme elles sont belles… Est-ce que ce ne serait pas plus simple ? Je vous le dis : si j'étais une femme, hop ! « Et voilà chéri, je suis prête ! » Sérieusement… La raison pour laquelle je ne peux pas dire le nom de la personne, c'est parce que c'est un républicain. Mais les démocrates n'en pensent pas moins ! Ils veulent de la démocratie. Mais on ne peut plus avoir de démocratie...
Il n'y a de fusion complète avec personne, ce sont des histoires qu'on raconte dans les romans - chacun sait que l'intimité la plus grande est traversée à tout instant par ces éclairs silencieux de froide lucidité, d'isolement...
Plus il se rapprochait des nuages éternels, plus il percevait le mugissement furieux qui s'y déchaînait : une puissance menaçante y faisait rage, prête à réduire en lambeaux quiconque oserait s'aventurer dans son territoire.
J'accepte le prix Nobel avec émotion, à la manière dont un enfant reçoit une récompense ; son contentement ne serait pas si grand s'il ne pensait pas avoir mérité celle-ci. Est-ce marquer beaucoup d'orgueil ? Je le pense tout simplement. Et que le jury qui me l'accorde, tout comme celui qui naguère me nommait docteur à Oxford, tient compte non seulement et non tant de mon œuvre littéraire que de l'esprit qui l'amine.
Nos enfants, qui passent la journée suspendus au téléphone à parler des heures avec quelqu’un qu’ils ont quitté un moment plus tôt, n’arrivent pas à croire que pour nous, dans notre enfance, mais aussi dans notre première jeunesse, le téléphone était encore un engin inhabituel, du moins dans les familles modestes, et qu’appeler d’une ville à l’autre l’« interurbain », comme on disait il y a peu de temps encore, était une entreprise passablement compliquée, qui exigeait souvent de faire la queue des heures durant dans des bureaux bondés, parce qu’alors le téléphone n’était pas encore automatique.
Je suis, en fait, un hérétique qui a renié son hérésie, et qui, aux yeux de tous, a sauvé son âme. Mais il y a quelqu'un qui sait très bien, au fond de lui-même, que tout ce qu'il a sauvé, c'est sa peau.
J'avais toujours cru que le mariage, tout comme l'opéra et les épinards, n'était pas ma tasse de thé. J'ai changé d'avis à propos de l'opéra quand j'avais neuf ans. Mon père m'a emmenée à la première de Madame Butterfly à Brescia en 1904. Après le spectacle, pendant que papa faisait la cuisine, Puccini m'a régalée avec des histoires drôles et a signé mon carnet d'autographes ; c'est comme ça que je suis devenue une fervente adepte de l'art lyrique. De la même façon, il a fallu que je tombe amoureuse de Landen pour reconsidérer ma vision du mariage. J'ai trouvé ça passionnant et exaltant : deux êtres, ensemble, n'en formant qu'un. J'étais à ma juste place... heureuse, satisfaite, épanouie. Et les épinards ? Ma foi, j'attends toujours.
Quand j'ai commencé en tant que journaliste, les femmes s'occupaient de consommation, d'éducation. Puis nous avons eu le droit d'entrer dans les sujets régaliens : la politique intérieure, étrangère, l'économie... J'ai bénéficié à ce moment-là d'une sorte de privilège de minorité : comme il y avait peu de femmes, les gens étaient plus attentifs, y compris les politiques, qui nous respectaient parce qu'on osait aller sur un terrain qui n'était pas balisé.
Les discussions avec Sarkozy étaient ainsi tour à tour amusantes et exaspérantes, ses mains en mouvement perpétuel, sa poitrine bombée comme celle d'un coq nain, son interprète personnel (contrairement à Merkel, il parlait un anglais limité) toujours à ses côtés, reflet exalté de chacun de ses gestes, de chacune de ses intonations, tandis que la conversation passait de la flatterie à la fanfaronnade, sans manquer d'une authentique perspicacité ni jamais s'éloigner de son intérêt premier, à peine déguisé, qui était de se trouver au coeur de l'action et de s'attribuer le mérite de tout ce qui valait qu'on s'en attribue le mérite.
Ruquier ne choisit jamais simplement. Le prédécesseur de Yann Moix, Aymeric Caron, était un chieur total. Je disais à Ruquier qu’il faisait tellement haïr la gauche avec son côté « Saint Juste chez Guy Lux » qu’il faisait plus de voix pour Le Pen que Le Pen lui-même. J’ai dit à Ruquier : « Vire ce con ! »
Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
Il y avait trois dames de Paris assez laides à la Cour; on disait que c'étaient des ponts sans garde-fous, parce que personne ne voulait passez dessus.
Il n'y a rien de plus solitaire que d'être sous les feux de la rampe, passer à la télé, être mentionné dans les journaux. Être tout en haut de la hiérarchie. Tout le monde sait qui tu es, mais tu ne connais personne. Tout le monde veut être ton ami, mais tu ne peux faire confiance à personne.
On ne disait jamais de quelqu'un qu'il était intelligent, mais astucieux. Ce n'était pas tout à fait un mot de marchand puisque la ruse et le gain immérité s'y coloraient d'une sorte d'élégance, de détachement, d'esprit de jeu.
Quoique ce soit une même passion, il y faut de la nouveauté ; l'esprit s'y plait, et qui sait la procurer, sait se faire aimer.
Naturellement, personne ne portait d'étiquette à l'époque. On estimait que tout le monde était pareil. Et si ce n'était pas le cas, on ne disait rien, afin de ne blesser personne. Mais il n'y avait rien de mal à prévenir quelqu'un de sa vulnérabilité.
Les visiteurs étrangers avaient surnommé notre ville "la cité des oiseaux". un nom qui lui allait bien. le soir, juste avant la nuit, les oiseaux s'envolaient parfois tous ensemble, formant un nuage qui cachait la lune. jamais personne n'en avait vue autant. mais en hiver, le temps devenait mauvais. il faisait si froid le matin qu'on avait du mal à casser la glace des cuvettes pour se laver. et ces matins-là, on voyait quelque chose de triste: des montagnes de plumes là où les oiseaux gelés étaient tombés. vous pouvez me croire; c'était le travail de mon père de balayer la rue. il faisait des tas avec les corps et y mettait le feu. mais parfois il en ramenait quelques-uns à la maison. Maman, nous tous, on les soignait jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour s'envoler. et c'est ce qui arrivait, ils nous quittaient juste au moment où on les aimait le plus.tout comme les enfants, vous comprenez ? et quand l'hiver revenait et qu'on revoyait les oiseaux gelés, notre coeur nous disait qu'il y avait sans doute un que nous avions sauvé un an plus tôt.
Ton père disait qu'il n'y avait rien, absolument rien au monde, qui ne méritât pas d'être su. Il disait que l'ignorance était la défense des gens stupides.
Il y a ce regard échangé de loin. C'est la mère qui avance vers la fille parce que cette dernière est pétrifiée - par cette beauté, par cette vague d'émotion qui l'atteint, par le poids de ces dix dernières années, par la difficulté à être l'enfant de sa mère - et toujours le coeur qui bat, le ventre qui tourne, l'esprit qui se débat pour trouver les mots qui conviennent, mais en réalité c'est autre chose qui prend le dessus et ça ressemble à un début, à quelque chose qui s'ouvre et qui offre on ne sait pas encore quoi, on ne sait pas encore comment mais on espère que ça ressemblera à de la tendresse, et, pour l'instant, ça leur suffit.
J'ai besoin qu'il parle, de savoir qui sont ses complices, ce qu'ils comptent faire de nous, où nous sommes ; j'ai surtout besoin de mesurer notre chance de nous en sortir, d'y croire avec la force du désespoir comme croit au miracle le condamné qui a épuisé tous les recours et qui refuse de renoncer à son combat. Le garçon me paraît accessible. Qui sait ? Il n'est point de criminel totalement réfractaire à l'émotion ; tant qu'il dispose d'un ersatz d'âme, aussi enfoui soit-il dans sa bestialité, il est toujours possible de l'atteindre pourvu que l'on décèle une rainure dans sa cuirasse.
Là résidait la différence entre le factuel et la fiction : avec le premier, l’émotion était impossible. On se contentait de données, de constatations. La fiction, au contraire, suscitait les passions, créait les débordements, bouleversait les esprits, elle n’appelait pas au raisonnement ni à la réflexion, mais entraînait les lecteurs – les lectrices, surtout – vers le désastre sentimental. Non seulement Geneviève n’y voyait aucun intérêt intellectuel, mais elle s’en méfiait. Aucun roman n’était donc autorisé dans le quartier des aliénées : il ne fallait pas prendre plus de risque à exciter les humeurs.
C'est quand on l'a perdue que l'on comprend ce qu'est la liberté. C'est vrai. Mais il n'y a pas que des prisons avec des barreaux, il y en a de beaucoup plus subtiles dont il est difficile de s'échapper parce qu'on ne sait pas qu'on y est enfermé.
Au-delà de ce que l'homme sait à chaque époque, il y a le domaine inconnu où se meut la croyance. La croyance ne se prouve pas, elle se propose. Elle naît spontanément dans certaines âmes initiatrices; elle se répand par imitation.

Jean le Rond d'Alembert
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Georges Soulès, dit Raymond Abellio
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Blaise Pascal
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Gemma Malley
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Roger Jon Ellory
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Nathacha Appanah
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Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Victoria Mas
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