Citation Il y a ce que l on sait
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110 citations
Quoique ce soit une même passion, il y faut de la nouveauté ; l'esprit s'y plait, et qui sait la procurer, sait se faire aimer.
Je suis très bien payé et je n'ai pas à me justifier. Il y a eu des abus, on le sait. Mais après, ça devient une chasse aux sorcières. J'ai toujours adapté mon salaire. On a annoncé que j'avais pris 2 millions pour faire The Artist , je peux vous dire que si j'avais pris 2 millions, The Artist ne se serait jamais fait !.
A l'instant, j'ai interrompu ma lettre pour observer le ciel- le soleil est descendu d'un degré, derrière les bâtiments et, tout en haut,une foule de petits nuages-venus Dieu sait où-se sont rassemblés en silence. Ils sont d'un gris tendre, argentés et brillants sur la frange, et leurs formes déchiquetées se dirigent vers le nord. Il y a tant d'insouciance dans ces nuages qui passent, comme un sourire indifférent, que je n'ai pu m'empêcher de sourire moi aussi, car je suis toujours en accord avec le rythme de vie qui m'entoure. Devant un tel ciel, comment pourrait-on être méchant ou mesquin ? N'oubliez jamais de regarder autour de vous, vous y trouverez toujours une raison d'être indulgente.
Une enquête pour homicide, c'est exactement comme la vie: il y a un début, un milieu et une fin. Et, comme la vie, on ne sait jamais où on en est avant qu'elle soit achevée. Parfois, elle se termine presque avant d'avoir commencé et parfois, on a l'impression qu'elle continue pour toujours, jusqu'à ce qu'elle périclite ou qu'elle soit classée sans suite.
La mémoire, on sait ce que c'est : ça va, ça vient, ça bat la campagne, et puis un beau jour, ça s'en va pour de bon et il n'y a plus personne.
Tu es un homme extrêmement passionné, un homme affamé qui ne sait trop ce dont il a faim, un homme profondément frustré s'efforçant de projeter son individualité sur un arrière plan de strict conformiste. Tu existes dans un demi-monde suspendu entre deux superstructures:l'une, l'expression de toi-même , l'autre autodestruction. Tu es fort, mais il y a un point faible dans ta force, et, à moins que tu n'apprennes à le maîtriser, le point faible faible deviendra plus fort que ta force et te détruira. Le point faible? une réaction émotive explosive hors de toute proportion avec les circonstances.
Et puis soudain il y a autre chose. Au moment où vous vous y attendiez le moins. Soudain une occasion se présente, une porte s'ouvre, une personne ou plusieurs dont vous n'auriez jamais soupçonné l'existence surgit, et- ô joie !- vous avez l'impression de découvrir un trésor, alors même que le monde paraissait avoir définitivement perdu son éclat. Cela suffit à vous faire oublier un temps- voire très longtemps-que vous ayez pu céder à la colère, savoir ce que c'était que la colère.
La vie est une succession d'ambiguïtés et de bravades. On y apprend tous les jours, et tous les jours on efface son ardoise pour un nouvel exercice. En réalité, il n'y a pas de vérité irréfutable, il n'y a que des certitudes. Lorsque l'une s'avère être infondée, on s'en forge une autre et on s'y verrouille contre vents et marées. La survivance est un naufrage dont le salut repose sur l'entêtement et non sur la providence. Il y a ceux qui abandonnent, et ceux-là sont morts, et d'autres qui revoient leur copie... Me vient à l'esprit l'image du marabout-guerrier agonisant sur son lit de camp, le faciès taillé dans un parchemin. Sa voix chevrotante m'atteint dans un soupir d'outre-tombe. Que me disait-il ? Ça me revient ; il disait : « Pour qu'un coeur continue de battre la mesure des défis, il lui faut pomper dans l'échec la sève de sa survivance ».
Il y a beau jour que tout le monde sait que l'homme descend du singe, mais on le cacha longtemps pour ne pas humilier ce dernier.
De nouveau nous conduisions la nuit des automobiles auxquelles il manquait toujours quelque chose pour être en règle. De nouveau nous transportions des substances illicites que nous devions désigner par des noms de code et, même si nous ne travaillions plus à la destruction de la société, nous pouvions persister dans l'illusion réconfortante qu'elle-même n'avait pas renoncé à nous détruire, puisque de nouveau il nous fallait craindre les barrages, éviter les contrôles, et mentir avec aplomb lorsque nous étions obligés de nous y soumettre. De nouveau nous étions unis par des liens de circonstance, à la fois artificiels et forts comme tous ceux qu'engendre l'illégalité. Et par surcroît, ce qui cimentait le groupe et le vouait à l'opprobre de la société procurait du plaisir, un plaisir qui remplissait le corps et l'esprit au point de ne laisser de place pour rien d'autre, un plaisir qui dispensait de tout commerce, y compris de l'usage de la parole : jusque-là, rien n'avait eu la force de me faire taire ainsi, même du dedans.
En quittant la cabine d'Emily (et une telle intimité ne se renouvellerait pas), je savais que je serais toujours lié à elle par quelque rivière souterraine, ou filon de charbon ou d'argent — disons d'argent, car elle a toujours beaucoup compté pour moi. En mer Rouge, je suis sans doute tombé amoureux d'elle. Même si, quand je me suis arraché à elle, le magnétisme, quel qu'il soit, avait perdu sa force. Combien de temps suis-je resté avec Emily dans ce qui m'avait paru un lit haut comme le ciel ? Quand nous nous étions revus, nous n'en avons pas reparlé. Elle ne se souvient peut-être même pas quel poids de chagrin elle m'a ôté ou a tenu, ni pendant combien de temps. Je n'avais jamais connu pareille étreinte, pareille odeur d'un bras émergeant du sommeil. Je n'avais jamais pleuré à côté de quelqu'un qui, aussi, m'excitait d'une manière mystérieuse. Pendant qu'elle baissait les yeux sur moi, il devait y avoir chez elle une certaine compréhension, ainsi que dans ses petits gestes pleins d'attention.
J’étais aux côtés de Collins lorsque nous pénétrâmes dans le camp. Me voyant hésiter et ne plus rien faire de mon appareil, il me demanda des yeux pourquoi tandis que ses hommes s’avançaient entre les cadavres gris et parfois se signaient et se regardaient entre eux et cherchaient du regard Collins sans penser encore à enfiler un foulard contre l’odeur mais s’accroupissaient silencieux devant les mourants gris et nus et ils demeuraient là accroupis immobiles dans la lumière du soir et leurs lèvres ne bougeaient pas non plus et ils continuaient à chercher du regard Collins, leur colonel, qui ne trouvait pas un mot à leur dire n’en trouvant pas pour lui-même et soudain quelqu’un lança au-dessus du camp une fusée éclairante qui retomba en éclairant d’une même lumière rouge les morts et les vivants et personne à ce moment-là ne pensait que celui qui l’avait tirée avait perdu la tête, mais bien lancé volontairement une clameur rouge vers le ciel ou une prière et lorsqu’elle s’éteignit il y eut un silence encore plus profond .
Le Général de Gaulle disait : « Quand nous mourons, nous allons vers la vie. » Je pense que c'est ce qu'a fait Arnaud Beltrame. Il a puisé dans ses valeurs chrétiennes, qui sont aussi des valeurs universelles, pour combattre le terrorisme. Ce n'est pas la fin de la civilisation occidentale, au contraire. Il y a et il y aura des sursauts. Ça doit venir de nous tous, avec nos moyens, certes, mais nous devons former un rempart contre le projet terroriste.
Plus il se rapprochait des nuages éternels, plus il percevait le mugissement furieux qui s'y déchaînait : une puissance menaçante y faisait rage, prête à réduire en lambeaux quiconque oserait s'aventurer dans son territoire.
Je suis, en fait, un hérétique qui a renié son hérésie, et qui, aux yeux de tous, a sauvé son âme. Mais il y a quelqu'un qui sait très bien, au fond de lui-même, que tout ce qu'il a sauvé, c'est sa peau.
Il était touchant de voir avec quelle sollicitude on veillait sur la santé et sur le bonheur de la créature humaine. Désirait-on fumer ? Il était exposé avec précision en quelques lignes, pourquoi le Perfecto à cinq cents « Thomas Jefferson » était le seul cigare digne de ce nom. Avait-on au contraire abusé du tabac ? Il y avait là un remède, à un quart de dollar les vingt-cinq pilules, qui garantissait une désintoxication complète dès la dixième dose. Où qu’il tournât le regard, le promeneur s’apercevait que quelqu’un s’était préoccupé de lui faciliter son passage sur cette terre et de l’informer de ce qu’on avait fait pour lui.
Là résidait la différence entre le factuel et la fiction : avec le premier, l’émotion était impossible. On se contentait de données, de constatations. La fiction, au contraire, suscitait les passions, créait les débordements, bouleversait les esprits, elle n’appelait pas au raisonnement ni à la réflexion, mais entraînait les lecteurs – les lectrices, surtout – vers le désastre sentimental. Non seulement Geneviève n’y voyait aucun intérêt intellectuel, mais elle s’en méfiait. Aucun roman n’était donc autorisé dans le quartier des aliénées : il ne fallait pas prendre plus de risque à exciter les humeurs.
Malheureusement celui qu'elle (l'Académie) proposait avait eu la simplicité de prendre quelque part aux querelles du jansénisme, auxquelles on attachait encore, il y a trente ans, quelque espèce d'importance.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Le procès t'intéressait beaucoup ? » Il rit encore. « Le procès, ou l'accusée que tu ne quittais pas des yeux ? Celle qui n'était pas mal du tout ? On se demandait tous ce qu'il y avait entre vous, mais personne n'osait te poser la question. On était terriblement discrets et gentils à l'époque. Tu te souviens... »
Il y avait trois dames de Paris assez laides à la Cour; on disait que c'étaient des ponts sans garde-fous, parce que personne ne voulait passez dessus.
Le Crime ressemble à l'impact d'un caillou dans des eaux paisibles. On avait jeté le caillou dans cette localité dix semaines plus tôt. Bony était sûr que les rides qu'il produisait s'élargissaient et se rétractaient encore, comme un jeu d'influences sur l'esprit des gens. Les influences mentales engendrent des réactions physiques et Bony attendait qu'une action de cette sorte se produise qui lui permettrait de remonter jusqu'à sa source l'influence qui l'avait provoquée; à savoir le caillou.
J'observais les touristes de Notre-dame. Tous prenaient des photos, des millions de photos, sans discontinuer. Pas un ne regardait Paris de son oeil. Ils brandissaient un écran entre le monde et eux. Y avait-il encore la place pour l'éclosion d'un souvenir, d'une pensée? Ces gens devaient gober les discours sur la "réalité augmentée" ânonnés par les marchands de gadgets. Ce bluff technologique, comme disait Jacques Ellul, me rendait triste. Il siphonnait la joie de vivre, il asséchait la fantaisie, le mystère de l'homme et sa poésie vive. De quoi avaient ils peurs, ces braves visiteurs, pour s'abriter derrière leurs blindages portatifs ?
Et puis il y a toutes ces religions qui prônent chacune l'amour
Et qui fabriquent de la haine, des assassins, des terroristes
Pour telle ou telle croyance, des innocents meurent chaque jour
Tout ça au nom de Dieu, on sait même pas s'il existe !Bien entendu, cela n'a rien à voir avec les élections désordonnées et désorganisées des anciens, lorsque – il y a de quoi rire ! – on ne connaissait même pas à l'avance le résultat des élections. Construire un État sur des hasards absolument impondérables, à l'aveuglette – quelle ineptie !
Discours sur les passions de l'amour (1652-1653) de Blaise Pascal
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Interview Le Parisien 27 février 2013 de Jean Dujardin
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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Un cri sous la glace (2017) de Camilla Grebe
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Dix rêves de pierre (2013) de Blandine Le Callet
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De sang-froid (1965) de Truman Capote
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La Femme d'En Haut (2013) de Claire Messud
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Sans référence de Robert Desnos
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L'Organisation (2000) de Jean Rolin
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La Table des autres (2012) de Michael Ondaatje
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La Terre invisible (2019) de Hubert Mingarelli
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Interview accordée à Pascal Louvrier pour Causeur et publiée le 15 mai 2018 de Sonia Mabrouk
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L'envol du faucon sagittal (2013) de Andreas Eschbach
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Traité du zen et de l'entretien des motocyclettes (1974) de Robert Maynard Pirsig
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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Le bal des folles (2019) de Victoria Mas
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Eloges, Saint-Aulaire de Jean le Rond d'Alembert
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Le Sotisier de Voltaire
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Chausse-trappe (1951) de Arthur Upfield
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Une très légère oscillation (2017) de Sylvain Tesson
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Le blues de l'instituteur de Fabien Marsaud, dit Grand Corps Malade
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Nous autres (1920) de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine
Références de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine - Biographie de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine
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