Citation L un sur l autre
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Une Sélection de 170 citations et proverbes sur le thème L un sur l autre.
170 citations
Ainsi donc, cette histoire ne s'achèvera pas sur quelque tombe à visiter en souvenir. Car la fumée qui sort des crématoires obéit tout comme une autre aux lois physiques : les particules s'assemblent et se dispersent au vent, qui les pousse. Le seul pèlerinage serait, estimable lecteur, de regarder parfois un ciel d'orage avec mélancolie. Et loué. Auschwitz. Soit. Majdanek. L'Éternel. Treblinka. Et loué. Buchenwald. Soit. Mauthausen. L'Éternel. Belzec. Et loué. Sobibor. Soit. Chelmno. . L'Éternel. Ponary. Et loué. Theresienstadt. Soit. Varsovie. L'Éternel. Vilno. Et loué. Skaryzko. Soit. Bergen-Belsen. L'Éternel. Janow. Et loué. Dora. Soit. Neuengamme. L'Éternel. Pustkow. Et loué…
Au temps des Gaulois, le fameux gui qu'adoraient ces derniers n'était autre que l'os à moelle qui, à l'époque, n'était pas encore passé du règne végétal au règne minéral : les campagnes celtes verdissaient à l'ombre des ossamoelliers, au pied desquels les comiques en vogue chantaient leurs plus désopilants refrains dont l'un des plus célèbres : Le druide a perdu son dolmen, est parvenu jusqu'à nous. Au cours des siècles, l'Os à moelle subit de nombreuses métamorphoses et même une éclipse totale sous la Révolution française : aujourd'hui, nous assistons à son apothéose et à sa cristallisation définitive sous la forme du présent journal. Voilà pourquoi, amis lecteurs, nous avons choisi ce titre : L'Os à moelle! Nous tâcherons de nous en montrer dignes et de le maintenir sur le chemin du sourire et de la saine plaisanterie ; nous éviterons évidemment toute bifurcation politique, car nous voulons bien être loufoques mais pas fous
On prête aux gens des traits de personnalité sur la foi d'impressions, on interprète les caractères d'un visage, un menton « volontaire », un nez petit qui « trahit un caractère peu affirmé », ou bien plus simplement à la lumière d'une expérience en apparence décisive, « j'ai vu sa réaction, il n'a pas flanché, on peut lui faire confiance », « elle a crié, c'est une petite nature », ces micro jugements souvent jamais exprimés ailleurs que dans le silence intérieur ou bien dans le dos des intéressés et dans les ricanements entendus, « c'est un coureur », « elle est ambitieuse », « il n'a pas de couilles », mais qui définissent, figent, étiquettent et sérient. Ils ne sont pour la plupart du temps que des images arrêtées, de petits blocs flou figés par le flash d'un regard biaisé où aucune vérité ne se cache, de faux panneaux rassurants mais qui n'indiquent rien d'autre qu'un chemin parmi mille autres possibles.
Depuis trente ans, certains décrètent que, pour accueillir les nouveaux venus, il faut se dépouiller de ce qui fait de nous des français. Ils s'imaginent ainsi que l'on ne peut accueillir l'autre que si l'on n'est plus qui l'on est. C'est pourtant le contraire. Si l'on prend la définition de la nation de Renan, celle-ci est une volonté politique, un plébiscite renouvelé tous les jours, qui s'appuie sur ce qu'il appelle un "legs de souvenirs".
Le coeur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps. Que subsistera-t-il, dans cet éclatement, de l'unité de son fils ? Comment raccorder sa mémoire singulière à ce corps diffracté ? Qu'en sera-t-il de sa présence, de son reflet sur Terre, de son fantôme ? Ces questions tournoient autour d'elle comme des cerceaux bouillants puis le visage de Simon se forme devant ses yeux, intact et unique. Il est irréductible. C'est lui. Elle ressent un calme profond. La nuit brûle au-dehors comme un désert de gypse.
Il n'y a rien d'autre à apprendre que soi dans la vie. Il n'y a rien d'autre à connaître. On n'apprend pas tout seul, bien sûr. Il faut passer par quelqu'un pour atteindre au plus secret de soi. Par un amour, par une parole ou un visage.
Défense de détourner une once des sept livres obligatoires pour un autre emploi que pour «pot et salière». Si un villageois a économisé sur le sel de sa soupe pour saler un porc et manger un peu de viande en hiver, gare aux commis!
À un moment ou à un autre de notre vie, la plupart d'entre nous ressentent un appel émanant du plus profond de soi. Parfois, il est si discret qu'on l'entend à peine - comme un léger coup à la porte. Il ne fait pas plus de bruit qu'une feuille qui tombe. On peut alors s'imaginer l'avoir rêvé. Mais il peut aussi retentir plus fort et prendre la forme d'un malaise persistant, d'une sensation de manque. Cette sensation nous réveille au beau milieu de la nuit, et l'on commence à s'interroger sur le sens de notre routine quotidienne.
Il ne me plaît pas de croire que la mort ouvre sur une autre vie. Elle est pour moi une porte fermée. Je ne dis pas que c'est un pas qu'il faut franchir: mais que c'est une aventure horrible et sale.
La proposition de Hollande de 75 % de taxation m'a fait réfléchir. Je n'ai pas envie de dire au gouvernement vous avez raison. Mais, d'un autre côté, je pense que les riches doivent donner plus. C'est normal, c'est bien dans les moments de crise que l'on se mobilise et que les gens riches fassent un effort. Si c'est sur un temps limité et que cela aide à sortir de la récession, pourquoi pas ? En tout cas, je ne quitterai pas la France pour ça…
Quel prodige que la Mort ! ... la Mort et son frère le Sommeil ! L'une pâle comme la lune qui là-bas s'évanouit, avec les lèvres d'un bleu livide ; l'autre, rosé comme le matin, quand, trônant sur la vague de l'Océan, il empourpre le monde.
Le soir, enfouie sous les couvertures, j’entends mon père hurler, traiter ma mère de « salope » ou de « pute », sans en comprendre la raison. À la moindre occasion, pour un détail, un regard, un simple mot « déplacé », sa jalousie explose. D’un instant à l’autre, les murs se mettent à trembler, la vaisselle vole, les portes claquent. D’une maniaquerie obsessionnelle, il ne tolère pas qu’on déplace un objet sans son accord. Un jour, il manque d’étrangler ma mère parce qu’elle a renversé un verre de vin sur une nappe blanche qu’il vient de lui offrir. Bientôt, la fréquence de ces scènes s’accélère. C’est une machine lancée dans une course folle, personne ne peut plus l’arrêter. Mes parents passent désormais des heures entières à s’envoyer à la figure les pires insultes. Jusqu’à l’heure tardive où ma mère vient se réfugier dans ma chambre pour y sangloter en silence, blottie contre moi, dans mon étroit lit d’enfant, avant de rejoindre, seule, le lit conjugal. Le lendemain, mon père dort une fois encore sur le canapé du salon.
Nous avons toujours besoin d'un point extérieur sur lequel nous appuyer, afin d'appliquer le levier de la critique. C'est particulièrement vrai en psychologie, où, de par la nature de la matière, nous sommes beaucoup plus impliqués subjectivement que dans toute autre science. Comment, par exemple, pouvons-nous prendre conscience des particularités nationales si nous n'avons jamais eu l'occasion de considérer notre propre nation de l'extérieur ? La considérer de l'extérieur signifie la considérer du point de vue d'une autre nation. Pour ce faire, nous devons acquérir une connaissance suffisante de la psyché collective étrangère, et au cours de ce processus d'assimilation, nous rencontrons toutes ces compatibilités qui constituent le préjugé national et la particularité nationale. Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous conduire à la compréhension de nous-mêmes.
... il est des regards à la tentation desquels personne ne résiste: par exemple le regard sur un accident de la circulation ou sur une lettre d'amour qui appartient à l'autre.
Si vous vous asseyiez sur un nuage, vous ne verriez pas la frontière entre un pays et un autre. Il est bien regrettable que vous ne puissiez vous asseoir sur un nuage.
C’est bien parce qu’on n’a rien à se reprocher qu’il faut se battre pour que notre téléphone, notre ordinateur, notre logement soient des sanctuaires de notre liberté. Et puis il s’agirait de se mettre d’accord sur la notion de « rien à se reprocher ». Une chose est d’être pénalement irréprochable, une autre est de l’être dans l’absolu. Nous avons tous des secrets, même des petits secrets. Ils font partie de notre humanité et ne regardent personne. Je suis résolument opposé à la transparence. Je refuse de devenir, à cause de la loi, un être transparent.
Si ayant frappé quelqu'un sur une joue, il te tend l'autre, frappe le sur la même, ça lui apprendra à faire le malin.
Un livre ne va pas changer la face du monde, mais on ne peut rien modifier sans la culture. Un écrivain n'apporte pas de réponses. Il pose des questions. C'est le b.a.-ba. C'est un peu idiot dit comme cela. Mais, s'il le faut, je le répète. Rester curieux, avide de l'autre. S'interroger. Se remettre en cause. Chercher les bonnes questions, les mettre noir sur blanc
Même les canards m'ont enseigné d'importantes leçons sur le plan spirituel. Le seul fait de les regarder est une méditation en soi. Ils flottent si paisiblement de ci, de là, bien avec eux-mêmes, en étant totalement dans l'instant présent, dignes et parfaits comme seules les créatures dépourvues de mental peuvent l'être. A l'occasion, pourtant, deux canards auront une prise de bec, parfois pour aucune raison apparente ou parce que l'un d'eux a empiété sur le territoire de l'autre. L'altercation ne dure en général que quelques secondes, et ils se séparent, nagent dans des directions opposées et battent vigoureusement des ailes à quelques reprises. Puis ils reprennent leur paisible promenade sur l'eau comme s'il n'y avait jamais eu de bataille. Quand je les ai vus faire pour la première fois, j'ai soudainement compris que, en battant des ailes, ils se débarrassaient d'un surplus d'énergie, empêchant ainsi celle-ci de rester emprisonnée dans leur corps et de se transformer en négativité. Il s'agit là de sagesse naturelle, et c'est facile pour eux de l'appliquer parce qu'ils n'ont pas un mental qui maintient inutilement le passé en vie pour pouvoir en tirer une identité.
J'ai commencé « La Servante écarlate » à Berlin-Ouest, en 1984 – oui, George Orwell regardait par-dessus mon épaule –, sur une machine à écrire allemande que j'avais louée. Le Mur était tout autour de nous. De l'autre côté, il y avait Berlin-Est, et aussi la Tchécoslovaquie et la Pologne, que j'ai visités tous les trois à l'époque. Je me souviens de ce que me disaient les gens et de ce qu'ils ne me disaient pas. Je me souviens des pauses significatives. Je me souviens que j'étais moi-même obligée de faire attention à ce que je disais, de peur de mettre quelqu'un en danger par inadvertance. Tout cela s'est retrouvé dans mon livre.
Moralisme et niaiserie qui, loin d'être inhérents à la parole féminine, surgissent dès qu'on veut rejeter toute la criminalité sur l'autre sexe » ; il est à regretter « d'entendre répéter un peu partout aujourd'hui comme un fait établi qu'il n'y a pas de femmes voyeurs, qu'il n'y a pas de femmes sadiques, et enfin et surtout, mais c'est le b-a ba de l'aveuglement néo-féministe, que le regard est une fonction phallique
Comment se fait-il que, même dans l'immobilité la plus close, l'instant finisse par déboucher sur un autre instant et le temps, par passer, en sorte que l'absence à l'histoire soit elle-même toute une histoire?
Notre Premier ministre sous les jets de pierre en Palestine: la cohabitation fonctionne bien entre Chirac et Jospin. Il y en a un qui n'a plus de cheveux sur le caillou et l'autre qui a encore des cailloux sur les cheveux.
Beaucoup de gens font un lien entre la non-violence et la violence physique alors qu’il existe d’autres formes de violence. Par exemple, les violences que les gens se font à eux-mêmes en se blâmant ou en se critiquant, ce qui entraîne de la dépression. Mais également, la violence infligée par les parents à leurs enfants lorsqu’ils utilisent la culpabilité et la honte afin d’avoir un impact sur eux. Et donc, de cette manière, nous sommes tous impliqués d’une façon ou d’une autre par la violence.
L'autre jour, nous nous rendions au restaurant, un ami et moi, quand nous vîmes un malheureux étendu sur le bord de la route. Personne n'avait songé à lui porter secours. Eh bien, quand nous sommes sortis du restaurant, il était toujours là.

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Eric Dupond-Moretti
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