Citation Ou l on vient
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200 citations
C'est une deux-chevaux qu'il a achetée il y a sept ou huit ans d'occasion et qui doit bien avoir parcouru, en kilométrage, cinq fois le tour de la terre. Cette malheureuse ferraille fourbue et frémissante parvient encore à rouler.
Ça fait toujours ça, on n'est jamais sûr de soi vraiment. Des fois le rôle vient à vous, des fois il ne vient pas. Des fois vous essayez d'aller au rôle et vous n'y arrivez pas. C'est pour ça qu'on a toujours une petite angoisse, qui est toujours la même depuis qu'on passait son temps au conservatoire ou dans les cours d'art dramatique.
L'amour ne devient vraiment lui-même qu'à partir du moment où il cesse de flotter, douloureux et sombre, comme un embryon, à l'intérieur du corps, et qu'il ose se nommer, s'avouer du souffle et des lèvres.
Jamais on ne pourra oublier le lieu d'un bel amour, le décor d'une joie profonde ou le contexte d'une tendresse. C'est à travers de telles histoires que la géographie devient humaine.
Il y a des disputes où l'on va, l'on va, l'on s'échauffe, il se peut qu'on échange des coups, et un moment vient où l'on s'aperçoit qu'on ne se souvient plus du tout de l'objet de sa dispute...
Ici c'est une grande famille. Quand un chauffeur veut un congé ou une augmentation, il vient me voir, je l'écoute et je le vire.
Me voilà entraîné en pleine mer; où il faudrait les aptitudes d'un poisson, j'apporte les instincts d'un oiseau; j'aime à vivre dans l'espace, dans les régions idéales où l'on ne va plus, au pays des rêves, d'où l'on ne revient guère!
Que fait l'impôt ? Il enlève soit au producteur, soit au consommateur, une portion plus ou moins considérable du produit destiné, partie à la consommation immédiate, partie à l'épargne, pour l'employer à des fins moins productives ou destructives, et plus rarement à l'épargne. […] Il est impossible de savoir si le prix fixé par le gouvernement investi du monopole de la fourniture de ses services ne dépasse pas abusivement celui qu’aurait établi la concurrence. […] Mais il convient de remarquer que l'État possède une clientèle obligatoire, qu'il a beau élever le prix de ses services ou en abaisser la qualité, la nation, sa cliente ne peut les refuser. Si ruineux que soit l'impôt, l'État est amplement pourvu des pouvoirs nécessaires pour la contraindre à payer.
Beaucoup de romanciers le savent : il existe un principe dramaturgique dans la fiction connu sous le nom de fusil de Tchekhov. « Si dans le premier acte vous dites qu’il y a un fusil accroché au mur, prévient le dramaturge russe, alors il faut absolument qu’un coup de feu soit tiré avec au second ou au troisième acte. »
Où il y a pigeon, pigeon y vient.
La prière paraît être essentiellement une tension de l'esprit vers le substratum immatériel du monde. En général, elle consiste en une plainte, un cri d'angoisse, une demande de secours. Parfois elle devient une contemplation sereine du principe immanent et transcendant de toutes choses. On peut la définir également comme une élévation de l'âme vers Dieu. Comme un acte d'amour et d'adoration envers celui d'où vient la merveille qu'est la vie. En fait, la prière représente l'effort invisible, créateur de tout ce qui existe, suprême sagesse, force et beauté, père et sauveur de chacun de nous.
C'est un frère d'âme que je veux, un frère d'arme. Fragile et dur, inquiet et sûr, bienveillant et sauvage. Un fils de taulard, un balafré bien marqué. C'est un mort de faim que j'attends, un dalleux jusqu'à ce qu'il graille. Moi je veux un garçon qui aura été obligé de prendre pour avoir, Jafar contraint, Jafar forcé, Jafar teigneux qui revient de loin et pue la terre où la cave.
Un grand homme n’a qu’un souci : devenir le plus humain possible, — disons mieux : devenir banal. Devenir banal, Shakespeare, banal Gœthe, Molière, Balzac, Tolstoï… Et chose admirable, c’est ainsi qu’il devient le plus personnel. Tandis que celui qui fuit l’humanité pour lui-même, n’arrive qu’à devenir particulier, bizarre, défectueux… Dois-je citer le mot de l’Évangile ? Oui, car je ne pense pas le détourner de son sens : « Celui qui veut sauver sa vie (sa vie personnelle) la perdra ; mais qui veut la perdre la sauvera (ou pour traduire plus exactement le texte grec : « la rendra vraiment vivante »).
– De quoi dépend la grandeur et le salut d’un État ?... De la police, n’est-ce pas ?
– C’est vrai, général.
– Un pays sans police est un grand navire sans boussole et sans gouvernail.
– C’est à la fois juste et poétique, Gibassier.
– On peut donc regarder la mission de l’homme de police comme la plus sainte, la plus délicate et la plus utile à la fois de toutes les missions.
– Ce n’est pas moi qui vous dirai le contraire.
– D’où vient donc, alors, que, pour occuper cette fonction importante, pour remplir cette mission conservatrice, on choisit d’ordinaire des idiots de la plus laide espèce ? d’où vient cela ? Je vais vous le dire : c’est que la police, au lieu de s’occuper des grandes questions gouvernementales, entre dans les détails les plus infimes et se laisse aller à des préoccupations tout à fait indignes d’elle.Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
Il y a dans l'amour un moment où l'on oublie ses prénoms réciproques : les dames s'en tirent en appelant leur mère, qui heureusement ne vient pas.
Le proverbe empirique qui dit: «C'est en forgeant qu'on devient forgeron» est un proverbe de vérité, car il est plutôt rare, en effet, qu'en forgeant, un forgeron devienne petit télégraphiste ou mannequin de haute-couture.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il vaut mieux ne pas trop chercher à savoir d'où vient l'inspiration, sinon on devient systématique.
Aussi bien la gloire que je rêvais, c'était celle de Keats, de Baudelaire, de Nietszche, de Kierkegaard, de tant d'autres dont la voix ne fut écoutée que plus ou moins longtemps après leur mort. L'éminente distinction que vient de m'accorder la Suède me fait comprendre que j'avais mal fait mon compte ; c'est aussi que je n'imaginais pas vivre si vieux.
Les industriels et les hommes politiques font semblant de croire que les Américains sont un peuple de grimpeurs. Tout le monde doit aspirer au sommet, tout le monde doit monter, monter, monter, ce qui revient à monter sur les autres, à prendre appui sur eux et à les écraser, à escalader une montagne d'hommes et de femmes entassés pour planter son drapeau personnel à l'arrivée. Ça, c'est la pyramide hiérarchique, a dit Fausto. Et celui qui n'est pas un varappeur dans l'âme, celui-là est considéré comme un moins que rien, un raté, un parasite, même si, pour gravir cette foutue montagne, il faudrait déjà qu'il sorte du trou, et qu'il ne possède même pas d'échelle pour se tirer d'affaire.
Certaines personnes ont du mal à s'endormir ou souffrent carrément d'insomnie quand elles sont contrariées. Or il suffit d'un peu d'entraînement et on parvient à dormir sans peine. Cela peut même devenir une seconde nature. C'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Il n'est pas vrai de dire que le privilège du peintre soit de n'être jamais contraint de prendre parti. On le regarde comme un instrument ou comme un être inspiré à qui revient le privilège d'écrire sous la dictée de la nature.
J'étais devenu ce que Pascal aurait appelé un demi-habile: assez informé pour être un patient impatient et méfiant, pas assez informé pour percevoir la nature des obstacles et la lenteur des résolutions. Le peu que je savais accentuait ma solitude. Il arrive toujours un moment où le patient devient son meilleur ennemi.
C'est au moment où l'on rejette tous les principes qu'il convient de se munir de scrupules.

Jean Dutourd
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