Citation alors il y a
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220 citations
Quand on a vu un noyé, une fois, à peine retiré de l'eau, encore couché sur la route, on n'a pas grand-chose à ajouter. Surtout quand on a compris pourquoi il y a des gens qui se noient, certains jours. Le reste ne compte pas. Qu'il pleuve ou qu'il fasse beau temps, que ce soit un enfant ou un homme, ou une femme nue avec un collier de diamants, etc., cela indiffère. C'est l'espèce de décor d'un drame permanent. Mais quand on n'a pas compris, par exemple. Quand on se laisse distraire par les détails qui semblent justifier l'événement, lui donner une réalité, mais qui n'en sont que la mise en scène ; alors, il y a beaucoup à dire. Ils s'arrêtent, descendent de leurs automobiles, et les voilà qui entrent en jeu. Au lieu de voir, ils composent. Ils se lamentent. Ils prennent parti pour l'un, ou pour l'autre. Ils élucubrent et écrivent des poèmes.
Pour caractériser mon personnage, disons tout d’abord que ses origines sociales modestes et sa très grande culture le singularisent à la cour. Il lui arrive d’être naïf, maladroit, de susciter la colère ou l’hilarité du roi ; il est ambitieux aussi, il écrit de la littérature, et caresse même l’idée, très brièvement, de se laisser porter à de hautes responsabilités par les révolutionnaires qui entrent en contact avec lui. Il a le même âge que le roi, il a été choisi, quand il était enfant, pour accompagner ce prince dans sa scolarité, et il y a entre eux un rapport complexe de familiarité et de distance, presque de rivalité gémellaire. Sa « confession », comme vous l’appelez, s’arrête en 1972, et on le retrouve à la fin, en 1999, après la mort du roi et peu avant la sienne. Il y a une grande ellipse narrative concernant ce qui lui arrive alors, mais il est cependant assez clair que sa vie va prendre un autre tour, et qu’il ne sera sans doute plus ce lettré aux mains à peu près pures dont on a suivi le récit.
Je n'emporterai pas mon fonds de liquoriste au Paradis, n'est-ce pas?... Alors, buvons-le. C'est mon défunt qui me l'a légué. Il y a du bon. Il s'y connaissait. Je ne suis qu'une bistrote d'occasion.
C'est un été sur la péninsule armoricaine, qu'importe qu'il pleuve, qu'il vente, les éclaircies sont généreuses, ils se baigneront dans la darse ou ils iront explorer pour la centième fois la grotte Absinthe qu'il faut forcer avec le flux pour rejoindre ses entrailles, un théâtre de reflets qui s'ouvre sur trente mètres de large, là aussi voilà un secret, le secret des falaises, il règne dans cette cavité une semi-obscurité, l'eau y est fraîche, les voix résonnent, les respirations font de la buée entre les parois, et alors que leurs jambes ne sont plus que des pointillés mobiles, ils ont la sensation d'être immergés dans l'instant même, pris dans le miel des photons et des reflets, autant dire l'éternité, l'éternité de Kergat...
Soudain, abandonnant mon anglais de touriste, je me mets à parler vietnamien au chauffeur. Je sors cette langue, devenue étrangère, de ma bouche docile et je dis au mec qui s'en fout : je suis née ici, c'est mon pays aussi, le mien, j'ai mon histoire avec lui, j'y ai droit, alors oui, je suis partie longtemps, je n'ai plus la langue ni les codes ni mes amis ni ma famille, mais c'était ma mère aussi, ce pays. Le chauffeur acquiesce avec indifférence. Il me prend pour une folle.
S'il y a un dieu, alors la façon que vous avez de l'honorer est un blasphème.
Si l'interprétation est enrichissement, si elle est exhaussement du sens, alors le signe devient symbole et il y a déjà saut métaphysique.
Le christianisme, avant tout, console; mais il y a des âmes naturellement heureuses et qui n'ont pas besoin d'être consolées. Alors, celles-ci, le christianisme commence par les rendre malheureuses, n'ayant sinon pas d'action sur elles.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je suis tout et je suis rien. Je suis ce qu'on a fait de moi. J'accepte ce prix, cette palme, longtemps refusée, car j'aurais voulu qu'on la donne à mes metteurs en scène. J'ai été le premier violon ou piano et j'ai eu des chefs d'orchestre exceptionnels. C'est à eux qu'il faut donner le prix. Ils sont tous morts, alors, je prends le prix pour eux, en leur mémoire, en l'honneur de leur force, de leur talent. C'est pour ça que je suis là, sinon je n'y serais pas.
Le monde n'est pas «irréel» (je pourrais alors le parler: il y a des arts de l'irréel, et des plus grands), mais déréel: le réel en a fui, nulle part, en sorte que je n'ai plus aucun sens (aucun paradigme) à ma disposition.
Quand l'idée vient, il faut s'y mettre tout de suite, sinon elle moisit et je n'ai plus envie. Quand je suis sur un album, je ne pense plus qu'à lui. Je me lève, je prends mon petit déjeuner et je me mets à ma table. J'arrête quand je suis moulue. Ou alors je travaille jusque vers 8 ou 9 heures du soir, avec un verre. J'aime bien. Les gens ne pensent pas que la bande dessinée, c'est du boulot. Mais un album me prend environ un an et demi. Davantage, s'il y a des choses techniques à dessiner. Comme des Vélib' ou des voitures. Je déteste ça !
L'islam inculqué par ma grand-mère, l'éducation que j'ai reçue, tout cela est de moins en moins présent. Mais il n'a pas perdu. Car s'il a perdu, alors la bataille est perdue, et l'on dépose les armes. Il faut, au contraire, poursuivre le combat. En Tunisie, mon pays de naissance, il y a une capacité de résilience, de résistance. On a dit de ce pays qu'il était au bord du gouffre, qu'on dansait sur un volcan. Quand les islamistes gagnaient les élections, on pensait que c'était perdu. Or, à chaque fois, il y avait une petite flamme qui faisait que la situation se retournait. Les femmes ont joué un grand rôle, certes, mais toute la société civile a participé à ce sursaut. Cette nébuleuse qu'on appelle société civile prend ici tout son sens.
Nos enfants, qui passent la journée suspendus au téléphone à parler des heures avec quelqu’un qu’ils ont quitté un moment plus tôt, n’arrivent pas à croire que pour nous, dans notre enfance, mais aussi dans notre première jeunesse, le téléphone était encore un engin inhabituel, du moins dans les familles modestes, et qu’appeler d’une ville à l’autre l’« interurbain », comme on disait il y a peu de temps encore, était une entreprise passablement compliquée, qui exigeait souvent de faire la queue des heures durant dans des bureaux bondés, parce qu’alors le téléphone n’était pas encore automatique.
Regarder la télé! alors qu'il y a le ciel!
Tu vois, en amitié on ne passe pas devant le maire, alors il n'y a pas vraiment de date anniversaire mais ça peut quand même durer toute une vie puisqu'on s'est choisis.
On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes.
Quoi qu'en pense Pipo, il y a une différence entre la fiction et le mensonge. La fiction est là pour elle-même, elle ne sert à rien, alors que le mensonge sert toujours à quelqu'un.
Les ordonnances allemandes, les lois de Vichy, les articles de journaux ne leur accordaient qu'un statut de pestiférés et de droit commun, alors il était légitime qu'ils se conduisent comme des hors-la-loi afin de survivre. C'est leur honneur. Et je les aime pour ça.
Le vent souffla toute la nuit sans désemparer. Au petit matin, alors qu'il n'y avait pas encore assez de lumière à l'est pour éteindre les étoiles, il commença à faiblir.
Si quitter ce monde est une réalité aussi forte que l'aimer, alors il doit y avoir une signification dans les rencontres et les séparations de la vie.
Ah ! Que ne donnerais-je pas pour pourvoir arracher mon coeur de ma poitrine et le jeter dans le courant... Il n'y aurait alors plus de douleur, plus de regret, plus de souvenirs.
L'idée reçue est que je suis complètement folle et exhibitionniste alors que je suis assez pudique dans la vie. Il y a vraiment un décalage entre le personnage que l'on joue en tant que comédienne ou humoriste et la réalité. Justement, sur scène, tu cherches à faire des choses que tu ne fais pas dans la vie !
Je ne tiens pas tellement à être dans la Pléiade, ce que je veux c'est être lu et vous n'êtes pas tellement lu dans la Pléiade, c'est du spectacle, de la contemplation. Heureusement, il y a les livres de poche, alors là, ça y va.
On est un jeune couple, il n'y a pas de morceaux à essayer de recoller. Alors, le mieux, c'est de s'arrêter là, avant que l'on se fasse du mal.
Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Entretien Destimed, propos recueillis par Jean-Rémi BARLAND, 2 septembre 2020 de Maël Renouard
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Bourlinguer (1948) de Blaise Cendrars
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Les os des filles (2019) de Line Papin
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Relations et solitudes - aphorismes (1988) de Arthur Schnitzler
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Le Praticien et le Philosophe de Jean-Pierre-André Amar
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Journal 1889-1939 de André Gide
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Au Festival de Cannes 2019 le 19 mai 2019, discours pour la remise de la Palme d’or d’honneur pour l’ensemble de sa carrière de Alain Delon
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Fragments d'un discours amoureux (1977) de Roland Barthes
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Dans l'hebdomadaire l'Express n° 3011, 19 mars 2009. de Claire Bretécher
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Interview accordée à Pascal Louvrier pour Causeur et publiée le 15 mai 2018 de Sonia Mabrouk
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Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
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Aphorismes dans les herbes et autres propos de la nuit (2011) de Sylvain Tesson
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Mes amis mes amours (2006) de Marc Lévy
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Entretien dans le magazine Lire n°42, février 1979. de Françoise Sagan
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Le talent d'Achille (1991) de Micheline La France
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Dora Bruder (1997) de Patrick Modiano
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Le Mystère d' Edwin Drood (1874) de Charles Dickens
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L'Offrande lyrique (1914) de Rabindranath Tagore
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Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré (1994) de Paulo Coelho
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Entretien Madame Figaro, Le 14 mai 2018 de Axelle Lafont
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Entretien sur France Culture, juin 2015. de Michel Tournier
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En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
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