Citation elle avait tout
Découvrez une citation elle avait tout - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase elle avait tout issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 190 citations et proverbes sur le thème elle avait tout.
190 citations
Tout là-bas, au fin fond des tréfonds inexplorés et mal famés du bout du bras occidental de la Galaxie, traîne un petit soleil jaunâtre et minable. En orbite autour de celui-ci, à la distance approximative de cent cinquante millions de kilomètres, se trouve une petite planète bleu-vert dont les habitants — descendus du singe — sont primitifs au point de croire encore que les montres à quartz numériques sont une vache de chouette idée. Cette planète a — ou plutôt, elle avait — un problème, à savoir celui-ci : la plupart de ses habitants étaient malheureux la plupart du temps. Bien des solutions avaient été suggérées mais la plupart d'entre elles faisaient largement intervenir la mise en circulation de petits bouts de papier vert, chose curieuse puisque en définitive ce n'étaient pas les bouts de papier vert qui étaient malheureux.
La souris prouva qu'elle n'avait besoin de personne en sortant toute seule et en se taillant un morceau de savon en forme de sucette. - N'en colle pas partout, dit Colin. Ce que tu es gourmande ! ...
S'il avait accepté de revenir sur cette histoire, c'était pour les centaines de millions de réfugiés qui, aujourd'hui encore arpente déserts, forêts et océans à la recherche d'une terre d'asile. Sa petite histoire personnelle n'était pas, par moment, sans rappeler la l'heure. Et puis, pour les Haïtiens aussi. Pour qu'ils sachent , en dépit du manque matériel donc il avait de tout temps subit les préjudices, du mépris trop souvent rencontré dans leur propre errance, qu'ils restent un grand peuple. Pas seulement pour avoir réalisé la plus importante révolution du XIX° siècle, mais aussi pour avoir contribué au cours de leur histoire, à améliorer la condition humaine. Ils n'ont jamais été pauvre en générosité à l'égard des autres peuples, le sien en particulier. Et cela, personne ne peut le leur enlever.
Virus inconnu signifiait deux choses : pas de parade possible du système immunitaire et, surtout pas de vaccin. Elle se rappelait le chaos créé pendant la pandémie Influenza H1N1 - la fameuse grippe mexicaine - de 2009. Là aussi, souche inconnue, jaillie du fin fond du Mexique, qui avait en quelques semaines fait le tour du monde.
L'islam inculqué par ma grand-mère, l'éducation que j'ai reçue, tout cela est de moins en moins présent. Mais il n'a pas perdu. Car s'il a perdu, alors la bataille est perdue, et l'on dépose les armes. Il faut, au contraire, poursuivre le combat. En Tunisie, mon pays de naissance, il y a une capacité de résilience, de résistance. On a dit de ce pays qu'il était au bord du gouffre, qu'on dansait sur un volcan. Quand les islamistes gagnaient les élections, on pensait que c'était perdu. Or, à chaque fois, il y avait une petite flamme qui faisait que la situation se retournait. Les femmes ont joué un grand rôle, certes, mais toute la société civile a participé à ce sursaut. Cette nébuleuse qu'on appelle société civile prend ici tout son sens.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Camille regardait dormir son bébé. Enfin, elle avait quelqu'un tout à elle, quelqu'un qui lui ressemblerait, qui lui appartiendrait, qui réaliserait ses folies et ses ambitions. Pour qui maman serait le bout du monde, la Vierge de l'immensité.
La grenouille de bénitier la plus évaporée de ma classe est une artiste de la pipe. Elle m'a confié qu'en le faisant elle avait l'impression de diriger tout un orchestre.
Je compris tout à coup qu'elle ne pouvait pas s'échapper. Il l'avait enchantée comme une bête.
Pour une ancienne esclave, aimer aussi fort était risqué ; surtout si c'était ses enfants qu'elle avait décidé d'aimer. Le mieux, il le savait, c'était d'aimer un petit peu, juste un petit peu chaque chose, pour que, le jour où on casserait les reins à cette chose ou qu'on la fourrerait dans un sac de jute lesté d'une pierre, eh bien, il vous reste peut-être un peu d'amour pour ce qui viendrait après.
Elle n'était pas mal conservée, tout de même, en dépit de ses quarante ans, pour une femme qui avait tant fait la noce.
Sans trop savoir comment, j’ai réussi à traverser l’autoroute et escalader le talus pour rejoindre le Ramada Inn avant de me rendre compte que les obstacles les plus sérieux m’attendaient. Ike me menaçait sans relâche : « Si tu pars, ce sera comme tu es venue. » Autrement dit : sans rien. Il avait raison. Dans ma poche, il y avait trente-six cents et une carte de crédit Mobil qui ne permettait d’acheter que de l’essence. J’avais le visage tuméfié, les vêtements souillés et ensanglantés… et j’étais noire. A Dallas. Dans de telles circonstances, n’importe quel hôtelier sensé me dirait de passer mon chemin. Je me suis approchée du comptoir de la réception et je me suis présentée au directeur. J’ai décliné mon identité, puis j’ai expliqué que je venais de fuir mon mari sans le moindre argent. Mais j’ai juré que je le rembourserais s’il me laissait occuper une chambre pour la nuit. J’ai bien songé que, dans mon état de vulnérabilité, cet inconnu aurait pu profiter de moi. J’étais trop épuisée pour m’en soucier. Par chance, il avait du coeur. Il m’a conduite à l’étage, dans une suite et m’a promis de me faire apporter de la soupe et des crackers. Quand j’ai refermé la porte, le contrecoup a frappé si fort que mes genoux se sont dérobés. J’ai failli m’évanouir. Mon coeur battait à tout rompre. J’étais terrifiée, mais aussi fébrile. Je fuyais Ike, mais je courais vers ma nouvelle vie.
De toute évidence, elle se croyait seule. Elle sortait de son bain et n’avait passé qu’un large pantalon de marin et une courte veste échancrée qui laissait ses bras nus. Elle tordait maintenant ses cheveux humides : au creux de ses bras bougeait une touffe brune et au creux de ses seins un pli sombre. Elle tenait ses épingles dans sa bouche serrée, qui baignait tout le visage tendu d’une soudaine onde d’enfance ; dans son innocence tendue et son application maniaque d’écolière, on eût dit que cette bouche abandonnée, si crûment à son affaire, tirait la mangue, vivait avec une intensité de fleur carnassière dans le seul geste aveugle de happer et de retenir.
Je crois que les gens sentaient que son silence avait quelque chose d'artificiel, que ne n'était pas qu'elle ne disait rien mais qu'elle faisait tout pour ne rien dire, ce qui change tout.
Sept ans plus tôt, elle m’avait expliqué qu’elle n’avait jamais ressenti un tel sentiment avec personne, une telle émotion, une telle vague de douce et chaude mélancolie qui l’avait envahie en me voyant faire ce geste si simple, si apparemment anodin, de rapprocher très lentement mon verre à pied du sien pendant le repas, très prudemment, et de façon tout à fait incongrue en même temps pour deux personnes qui ne se connaissaient pas encore très bien, qui ne s’étaient rencontrées qu’une seule fois auparavant, de rapprocher mon verre à pied du sien pour aller caresser le galbe de son verre, l’incliner pour le heurter délicatement dans un simulacre de trinquer sitôt entamé qu’interrompu, il était impossible d’être à la fois plus entreprenant, plus délicat et plus explicite, m’avait-elle expliqué, un concentré d’intelligence, de douceur et de style.
S'habiller propre, correct, en tout lieu et à toute heure, était une question de respect de soi et des autres, bref de dignité. C'est sans doute la raison pour laquelle maman n'avait pas souhaité se présenter à la remise des carnets scolaires. Elle a préféré demander à l'oncle paternel versé dans les bondieuseries de m'accompagner dans sa vieille Renault d'occasion. Lui habitait la ville et devait savoir comment se comporter dans ces circonstances où chacun trônait à la fois sur sont trente et un et son quant-à-soi.
Elle avait découvert la distorsion entre les discours engagés, humanistes et les réalités de l'existence, l'impossible application des plus nobles idées quand les intérêts personnels mis en jeu annihilaient toute clairvoyance et engageaient tout ce qui constituait votre vie.
Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
Je me souviens du moins d'une grande fille magnifique qui avait dansé tout l'après-midi. Elle portait un collier de Jasmin sur sa robe bleue collante, que la sueur mouillait depuis les reins jusqu'aux jambes. Elle riait en dansant et renversait la tête. Quand elle passait près des tables, elle laissait après elle une odeur mêlée de fleurs et de chair.
En réalité, dans l'amour il y a une souffrance permanente, que la joie neutralise, rend virtuelle, ajourne, mais qui peut à tout moment devenir ce qu'elle serait depuis longtemps si l'on n'avait pas obtenu ce qu'on souhaitait, atroce.
Je crois que l'âge ne sert pas à grand chose dans cette vie. Ma mère disait que l'âge véritable se loge dans le ventre et dans la tête. Les rides sont juste le fruit des soucis et de la mauvaise alimentation. J'ai toujours pensé qu'elle avait raison, alors j'ai tout fait pour avoir le moins de soucis possible et pour bien me nourrir.
Avoir peur de son ombre, c'était risible ! Mais qui plus que Wendy Torrance en avait le droit ? Après tout ce qu'elle avait vu et vécu, elle savait que certaines ombres sont dangereuses. Qu'elles ont des dents et qu'elles mordent.
Sur le moment, j'eus le sentiment qu'à bien des égards nous étions après tout fort semblables, ma mère et moi. Elle avait passé sa vie à fuir, errer, chercher, pour finir paralysée sur ce grabat couvert d'un édredon puant de sueur, attendant la mort...
Depuis le début, il savait qu'elle mentait, qu'elle lui avait menti sur tout. Elle restait cette forteresse sans porte ni fenêtres sous le plancher de laquelle il était persuadé que se trouvait le plus beau des trésors, son moi profond, qu'un jour il exhumerait, pour la sauver et la transformer.
C'était une jeune fille assez maigre, au visage touché par l'hystérie, encadré de lourds cheveux noirs coupés court, très grossièrement, comme au sécateur. Un officier lui lia les mains, la plaça sous la potence et lui mit la corde au cou. […] Lorsque vint mon tour, elle me regarda, un regard clair et lumineux, lavé de tout, et je vis qu'elle, elle comprenait tout, savait tout, et devant ce savoir si pur j'éclatai en flammes.
Le Guide du voyageur galactique de Douglas Adams
Références de Douglas Adams - Biographie de Douglas Adams
Plus sur cette citation >> Citation de Douglas Adams (n° 158625) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ecume des jours (1947) de Boris Vian
Références de Boris Vian - Biographie de Boris Vian
Plus sur cette citation >> Citation de Boris Vian (n° 142706) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Avant que les ombres s'effacent (2017) de Louis-Philippe Dalembert
Références de Louis-Philippe Dalembert - Biographie de Louis-Philippe Dalembert
Plus sur cette citation >> Citation de Louis-Philippe Dalembert (n° 164252) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pandemia (2015) de Franck Thilliez
Références de Franck Thilliez - Biographie de Franck Thilliez
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Thilliez (n° 168441) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview accordée à Pascal Louvrier pour Causeur et publiée le 15 mai 2018 de Sonia Mabrouk
Références de Sonia Mabrouk - Biographie de Sonia Mabrouk
Plus sur cette citation >> Citation de Sonia Mabrouk (n° 163595) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
Références de Marie NDiaye - Biographie de Marie NDiaye
Plus sur cette citation >> Citation de Marie NDiaye (n° 163481) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Moi d'abord (1979) de Katherine Pancol
Références de Katherine Pancol - Biographie de Katherine Pancol
Plus sur cette citation >> Citation de Katherine Pancol (n° 145279) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Grand Maître : faux roman policier (2012) de Jim Harrison
Références de Jim Harrison - Biographie de Jim Harrison
Plus sur cette citation >> Citation de Jim Harrison (n° 141116) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ane Culotte (1937) de Henri Bosco
Références de Henri Bosco - Biographie de Henri Bosco
Plus sur cette citation >> Citation de Henri Bosco (n° 81326) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Beloved (1987) de Toni Morrison
Références de Toni Morrison - Biographie de Toni Morrison
Plus sur cette citation >> Citation de Toni Morrison (n° 162856) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Femme pauvre (1887) de Léon Bloy
Références de Léon Bloy - Biographie de Léon Bloy
Plus sur cette citation >> Citation de Léon Bloy (n° 72182) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
Références de Tina Turner - Biographie de Tina Turner
Plus sur cette citation >> Citation de Tina Turner (n° 175169) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Rivage des Syrtes (1951) de Julien Gracq
Références de Julien Gracq - Biographie de Julien Gracq
Plus sur cette citation >> Citation de Julien Gracq (n° 166140) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Histoire de la violence de Édouard Louis
Références de Édouard Louis - Biographie de Édouard Louis
Plus sur cette citation >> Citation de Édouard Louis (n° 156921) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Faire l'amour (2002) de Jean-Philippe Toussaint
Références de Jean-Philippe Toussaint - Biographie de Jean-Philippe Toussaint
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Philippe Toussaint (n° 165117) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Noires blessures (2011) de Louis-Philippe Dalembert
Références de Louis-Philippe Dalembert - Biographie de Louis-Philippe Dalembert
Plus sur cette citation >> Citation de Louis-Philippe Dalembert (n° 164286) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les choses humaines (2019) de Karine Tuil
Références de Karine Tuil - Biographie de Karine Tuil
Plus sur cette citation >> Citation de Karine Tuil (n° 164442) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 171278) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Noces de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 157610) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
A la recherche du temps perdu, A l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919) de Marcel Proust
Références de Marcel Proust - Biographie de Marcel Proust
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Proust (n° 129928) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tout ce que nous aurions pu être toi et moi si nous n'étions pas toi et moi (2012) de Albert Espinosa
Références de Albert Espinosa - Biographie de Albert Espinosa
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Espinosa (n° 171594) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Docteur Sleep (2013) de Stephen King
Références de Stephen King - Biographie de Stephen King
Plus sur cette citation >> Citation de Stephen King (n° 147954) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Garçons de cristal (2003) de Bai Xianyong
Références de Bai Xianyong - Biographie de Bai Xianyong
Plus sur cette citation >> Citation de Bai Xianyong (n° 163447) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Enténébrés (2019) de Sarah Chiche
Références de Sarah Chiche - Biographie de Sarah Chiche
Plus sur cette citation >> Citation de Sarah Chiche (n° 170762) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
Références de Jonathan Littell - Biographie de Jonathan Littell
Plus sur cette citation >> Citation de Jonathan Littell (n° 157351) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur elle avait tout
Toutes les citations sur elle avait tout Citations elle avait tout Citation elle avait tout et Proverbe elle avait tout Proverbes elle avait tout : 190 citations et proverbes sur elle avait tout Citation sur elle Citations courtes elle
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
