Citation l un est sur
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1150 citations
Mais si, au point du jour, l'écureuil se met à crier partout que le caïman, parce qu'il avait mal aux yeux, a passé une nuit blanche, qui faut-il interroger ?
SAMORY TOURÉ - L'iguane. Il vit sur terre et dans l'eau.
MORIFING DIAN DIABATÉ - Tu dis vrai. L'iguane est aquatique et terrien, et l'écureuil rien qu'un terrien.L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Dieu n'est pas bon non plus. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur le monde pour se rendre à l'évidence. C'est la contradiction entre cette évidence et le bon Dieu vanté par des propagandistes puérils qui multiplie les incroyants.
Oui et puisque ma vie n'est devenue rien d'autre qu'un torchon gorgé d'eau frappé sur une table de bois. Vingt-huit ans donc, toujours debout, avec le corps qui me travaille. J'attends le moment où je ne pourrai plus rester chez moi, où il faudra sortir, aller au-devant du béton.
Les questions philosophiques, ça n'intéresse que pour en parler brillamment dans un salon ou sur une plage. Mais, quand on est tout seul, on n'y pense jamais.
En même temps, je me demande, et je commençais déjà à me demander à l'époque ce que devait, ce que doit faire en vérité ma génération, celle de gens vivant à une époque ultérieure, des informations sur les atrocités de l'extermination des juifs. Nous ne devons pas nous imaginer comprendre ce qui est inconcevable ; nous n'avons pas le droit de comparer ce qui échappe à toute comparaison ; nous n'avons pas le droit de questionner, car celui qui le fait, même s'il ne met pas les atrocités en doute, en fait néanmoins un objet de communication, au lieu de les prendre comme une chose devant laquelle on ne peut qu'imposer le silence de l'horreur, de la honte et de la culpabilité.
Le malheur est un arbre au bois dur; vous le fichez en terre, il ne demande pas de soins, il grandit seul, s'étoffe, on le trouve sur tous les chemins.
Papa est toujours sur sa planète. J'essaye de le faire rire en imitant le singe heureux de retrouver la jungle. Il dit "non" avec sa tête. Bon. Sur sa planète, on ne rit pas. Alors je m'approche de lui et je lui prends sa main dans laquelle je dépose un baiser d'amour. Rien à voir avec la langue de Franklin. On fait ça le dimanche quand on regarde des DVD à la télé. Entre deux films, papa et moi on dépose des baisers d'amour au creux des mains. Je me suis assis sur mes talons, la tête sur les jambes, et j'attends qu'il me caresse la tête. Je suis prêt à rester des heures. Je veux juste qu'il abandonne un instant sa planète pour la mienne. Et sa main, un peu hésitante, se pose sur mes cheveux, ses yeux gris laissent sortir la tempête, de grosses gouttes qui me tombent dessus et coulent sur mes joues, comme si on pleurait tous les deux, un goût de mer chaude, sans le sable et les transats bleu et blanc.
Un peu de bonheur, c'est toujours bon, même s'il pousse sur de mauvaises raisons.
Si l'enfant s'est présenté de la mauvaise manière ou, pire, s'il est venu au monde sans vie, l'accoucheuse a séché les larmes des pères, apaisé les angoisses devant l'interminable série de sacrifices à effectuer pour conjurer le sort. C'est elle encore, qui a préparé le mélange d'herbes devant servir lorsque les parents du mort-né seraient scarifiés. Ici, on leur trace un symbole sur la peau, afin que la mort se souvienne qu'elle leur a déjà ravi un enfant.
Le baiser que tu m'as donné en partant à travers ton voile ressemble à l'amour à travers l'absence. C'est doux et triste et enivrant pourtant. Il y a un obstacle, mais on se sent, on se touche, on s'unit. Tu n'es pas à mon côté en ce moment, et cependant je t'ai, je te vois là, tes yeux charmants se fixent sur mes yeux, je te parle, et je te dis : M'aimes-tu ? Et j'entends ta voix émue me répondre tout bas : Oui. C'est une illusion, et c'est une réalité. Tu es bien là, oui, mon coeur te fait présente. Mon amour fait roder partout autour de moi ton fantôme adoré et souriant. Et puis, néanmoins, tout me manque ; je ne suis pas longtemps dupe de moi-même, je n'ai qu'à demander un baiser de ce fantôme pour qu'il s'évanouisse, je ne puis le coucher près de moi qu'en rêve.
Le spectateur est là pour vivre deux heures avec nous et partager un autre temps, une autre histoire. Notre premier souci est de faire en sorte que le voile de l'ennui ne descende jamais sur lui et qu'il n'ait à aucun moment les fesses qui le démangent
Ah! que j'ai pensé à toi dans cette promenade délicieuse! que je t'y ai souhaitée! que je t'ai dit de choses dont tu n'as pas entendu un seul mot! ton coeur est mon interprète fidèle: c'est sur lui que je me repose.
La vraie félicité, c'est de posséder un capital qui permette d'assurer son destin spirituel et son salut sur la voie de la perfection.
Le soir, enfouie sous les couvertures, j’entends mon père hurler, traiter ma mère de « salope » ou de « pute », sans en comprendre la raison. À la moindre occasion, pour un détail, un regard, un simple mot « déplacé », sa jalousie explose. D’un instant à l’autre, les murs se mettent à trembler, la vaisselle vole, les portes claquent. D’une maniaquerie obsessionnelle, il ne tolère pas qu’on déplace un objet sans son accord. Un jour, il manque d’étrangler ma mère parce qu’elle a renversé un verre de vin sur une nappe blanche qu’il vient de lui offrir. Bientôt, la fréquence de ces scènes s’accélère. C’est une machine lancée dans une course folle, personne ne peut plus l’arrêter. Mes parents passent désormais des heures entières à s’envoyer à la figure les pires insultes. Jusqu’à l’heure tardive où ma mère vient se réfugier dans ma chambre pour y sangloter en silence, blottie contre moi, dans mon étroit lit d’enfant, avant de rejoindre, seule, le lit conjugal. Le lendemain, mon père dort une fois encore sur le canapé du salon.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
Oublier quelqu'un : avez-vous songé à ce que cela signifiait ? L'oubli est un gigantesque océan sur lequel navigue un seul navire, qui est la mémoire.
Parce qu’il faut faire le pari, lecteur, mon frère, qu’avec la lecture viendra l’intelligence, et la distance, et que la liberté de lire et de connaître produiront, in fine, plus de bien que l’ignorance. C’est un pari, sur la liberté et sur l’homme.
Voici l'Eden, et c'est une Fleur. Voici l'Eden. Le Pistil se penche sur les pétales et les baise un à un - chaque fleur pour un baiser, chaque baiser pour une fleur.
Quelle merveille si les femmes pouvaient un jour étudier et être instruites de ces mystères de l’univers ! Il paraît même que dans une contrée lointaine du pays, la femme d’un rabbin dirige une école de filles. Là, on apprend très certainement la vérité sur les étoiles et aussi à parler d’autres langues et bien d’autres choses encore. Mais une telle école est réservée aux gens fortunés. Et, de toute façon, à quoi servirait un tel savoir ici, au village !
L'attente. Les pas légers. Puis les heures qui coulent fraîches comme un ruisseau entre les herbes sur des cailloux blancs. Les sourires et les mots sans importance qui ont tellement d'importance. On écoute la musique du coeur : c'est joli pour qui sait entendre. Bien sûr on veut beaucoup de choses. On veut cueillir tous les fruits et toutes les fleurs. On veut respirer toutes les prairies. On joue. Est-ce jouer ? On ne sait jamais où le jeu commence ni où il finit, mais on sait bien que l'on est tendre. Et l'on est heureux.
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
La nouvelle pauvreté n'est pas un phénomène marginal du nouvel ordre économique mondial, mais au contraire absolument central. En Europe, où les SDF en sont l'expression la plus extrême, la plus visible, personne ne peut l'ignorer. Bien sûr, on peut fermer les yeux. Mais si on ferme les yeux, c'est qu'on a déjà vu quelque chose qu'on ne veut pas voir...
Je me demande, et je commençais déjà à me demander à l'époque ce que devait, ce que doit faire en vérité ma génération, celle de gens vivants à une époque ultérieure, des informations sur les atrocités de l'extermination des juifs. Nous ne devons pas nous imaginer comprendre ce qui est inconcevable ; nous n'avons pas le droit de comparer ce qui échappe à toute comparaison ; nous n'avons pas le droit de questionner, car celui qui le fait, même s'il ne met pas les atrocités en doute, en fait néanmoins un objet de communication, au lieu de les prendre comme une chose devant laquelle on ne peut que s'imposer le silence de l'horreur, de la honte et de la culpabilité.
C'est le terreau de la vie, la banalité. Rarement, une perle, un grain de sable, une particule luisante tombe sur notre épaule. Et dans cet océan de vagues ordinaires, le pouvoir est le vice banal le plus à son aise chez l'homme.
Une hyène à jeun de Massa Makan Diabaté
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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La faim du tigre de René Barjavel
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La conversation (1998) de Lorette Nobécourt
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Triplepatte de Tristan Bernard
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Tereza Batista (1972) de Jorge Amado
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Au pays des kangourous (2012) de Gilles Paris
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Le vase où meurt cette verveine (2012) de Frédérique Martin
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La saison de l'ombre (2013) de Léonora Miano
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Lettres à la fiancée (1821) de Victor Hugo
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Cher amour (2009) de Bernard Giraudeau
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Lettre, à Sophie Cannet, 8 mai 1772 de Manon, dite Madame Roland
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100 Maximes de Guidance de Ostad Elahi
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Hygiène de l'assassin (1992) de Amélie Nothomb
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Des hommes qui lisent (2017) de Edouard Philippe
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Petrusmok (1951) de Malcolm de Chazal
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Tous les fleuves vont à la mer (1978) de Belva Plain
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Lettres à l'inconnue (2008) de Antoine de Saint-Exupéry
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Derniers Vers (1872), Bannières de mai de Arthur Rimbaud
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King de John Berger
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Temps glaciaires (2015) de Frédérique Audouin-Rouzeau, dite Fred Vargas
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