Citation pour nous meme
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Une Sélection de 270 citations et proverbes sur le thème pour nous meme.
270 citations
La mort et les souvenirs en cela se révèlent égaux. Ils sont, pour chaque homme, uniques, et ceux de nous qui croient avoir, pour les avoir vécus dans une même expérience, des souvenirs communs, ne savent pas qu'ils ont des souvenirs différents et qu'ils sont condamnés à la solitude de ces souvenirs comme à celle de leur mort. Ces souvenirs sont, pour chacun, comme un cachot où il est enfermé de la naissance à la mort.
Il n'y a qu'une erreur innée : c'est celle qui consiste à croire que nous existons pour être heureux. Elle est innée en nous, parce qu'elle coïncide avec notre existence même, que tout notre être n'en est que la paraphrase et notre corps le monogramme : nous ne sommes en effet que vouloir-vivre
La question qu'on me pose régulièrement - « Mais comment pouvez-vous donc défendre un assassin ? » - n'a aucun sens. Primo : nous autres pénalistes, ne faisons pas de morale, mais du droit; reprocherait-on, par exemple, à un chirurgien d'opérer un malade du foie pour lui sauver la vie, au motif que s'il est mourant c'est parce qu'il buvait de trop ? Pour l'avocat, c'est la même logique: sa robe est au service de celui qui la demande, à condition qu'il ne me demande pas de plaider une absurdité. Secundo: beaucoup d'accusés reconnaissent avoir commis le crime dont ils répondent, il ne s'agit pas d'entonner le grand air de l'acquittement en dépit du bon sens. Tertio: Si personne ne défend les assassins, il n' a plus de justice, seulement une vengeance légale.
La jeunesse fuit, la vie tombe en ruine: l'espérance même nous abandonne; nous n'avons plus le môme culte pour l'amour; il étend ses jeunes ailes et s'envole avec la brise, et le linceul de la tendresse est le dernier adieu de l'amour.
Très jeune encore, j'écrivais : "Nous vivons pour représenter." Si vraiment j'ai représenté quelque chose, je crois que c'est l'esprit de libre examen, d'indépendance et même d'insubordination, de protestation contre ce que le coeur et la raison se refusent à approuver.
Je ne suis pas politicien, ni même spécialisé en sciences politiques ; à vrai dire, je ne suis pas spécialisé dans l'étude de grand-chose. Je ne suis pas démocrate, je ne suis pas républicain et je ne me tiens pas même pour un Américain. Si nous étions Américains, vous et moi, il n'y aurait pas de problème. Ces Hongrois qui viennent de débarquer, ils sont déjà des Américains ; les Polonais sont déjà des Américains ; les émigrants italiens sont déjà des Américains. Tout ce qui est venu d'Europe, tout ce qui a les yeux bleus, est déjà américain – Et depuis le temps que nous sommes dans ce pays, vous et moi, nous ne sommes pas encore des Américains.
Quelle règle convient-il donc de suivre dans cette grande question des jeux de l'enfance ? Le jeu forme les trois quarts de leur vie. Faut-il les y abandonner aux seules ressources de leur imagination ? Faut-il les forcer à se tirer d'affaire et les laisser s'amuser seuls, ou bien est-il bon au contraire, là comme ailleurs, de leur ouvrir la voie, de leur tendre la main, de leur apprendre à inventer ? Le problème est des plus difficiles. On ne peut nier d'une part que les enfants n'aient en eux les plus ingénieuses et les plus fécondes ressources d'amusement. Qui de nous ne s'est arrêté à contempler un enfant assis à terre et passant des heures entières à creuser dans le sable un trou sans objet, sans forme, sans fin (car il le recreuse toujours), et attaché à cet ouvrage comme Archimède à son problème. Que fait-il ? A quoi songe-t-il ? Que se passe-t-il dans sa tête ?Nul ne peut le dire; lui-même ne le pourrait pas. Ces heures, pourtant, se sont écoulées pour lui avec cette rapidité légère dont le mot jeu est synonyme, et il a joué tout seul. Mais d'un autre côté, qui n'a pas vingt fois pris en pitié les regards de détresse et l'attitude mélancolique d'enfants réunis pour s'amuser, et ne pouvant trouver d'amusement ?.
J’étais aux côtés de Collins lorsque nous pénétrâmes dans le camp. Me voyant hésiter et ne plus rien faire de mon appareil, il me demanda des yeux pourquoi tandis que ses hommes s’avançaient entre les cadavres gris et parfois se signaient et se regardaient entre eux et cherchaient du regard Collins sans penser encore à enfiler un foulard contre l’odeur mais s’accroupissaient silencieux devant les mourants gris et nus et ils demeuraient là accroupis immobiles dans la lumière du soir et leurs lèvres ne bougeaient pas non plus et ils continuaient à chercher du regard Collins, leur colonel, qui ne trouvait pas un mot à leur dire n’en trouvant pas pour lui-même et soudain quelqu’un lança au-dessus du camp une fusée éclairante qui retomba en éclairant d’une même lumière rouge les morts et les vivants et personne à ce moment-là ne pensait que celui qui l’avait tirée avait perdu la tête, mais bien lancé volontairement une clameur rouge vers le ciel ou une prière et lorsqu’elle s’éteignit il y eut un silence encore plus profond .
Comment peut-on se donner la mort pour une promotion ajournée ? Comment peut-on se croire indigne de survivre à l'échec lorsque l'échec n'est qu'un incident de parcours censé nous aguerrir ? Comment peut-on oser se situer en deçà de ses ambitions et penser, une seule seconde, qu'il existe un objectif plus fort que l'amour, plus important que sa propre vie ? Que de questions biaisées qui s'évertuent à nous dévier de la seule réponse qui nous importe : nous-mêmes. Depuis les temps reculés, l'Homme court après son ombre et cherche ailleurs ce qui est à portée de sa main, persuadé qu'aucune rédemption n'est possible sans martyre, que le revers est un déni de soi, alors que sa vocation première réside dans sa faculté de rebondir... Ah ! l'Homme, ce prodige réfractaire à ses chances et fasciné par l'échafaud de ses vanités, sans cesse écartelé entre ce qu'il croit être et ce qu'il voudrait être, oubliant que la plus saine façon d'exister est de demeurer soi-même, tout simplement.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
L'actualité, c'est toujours la même chose : les mêmes vainqueurs, les mêmes vaincus. J'espère qu'un jour, les vaincus seront pour de bon les vainqueurs, mais j'espère qu'avant ça nous ne passions pas une époque encore plus réactionnaire qu'aujourd'hui.
Il y a d’abord l’évidence: passer un mois enfermé dans un appartement, avec pour tout panorama la fenêtre aux rideaux blanchâtres de l’appartement d’en face, n’a rien à voir avec des vacances, ni même avec un exercice de méditation. Certes, l’opprobre est jeté sur ces Parisiens à résidence secondaire qui ont fui l’étouffement de la ville, mais après tout, c’est un réflexe archaïque : en cas de guerre (et notre Président nous l’a suffisamment répété, que nous étions en guerre) on fuit à la campagne
Donc, premièrement, permettez-moi d'affirmer ma ferme conviction que la seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même — l'indéfinissable, la déraisonnable, l'injustifiable terreur qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la déroute en marche en avant. Lors de chacune des noires heures de notre vie nationale, un franc et vigoureux commandement a rencontré cette compréhension et ce soutien du peuple même qui sont essentiels à la victoire. Et je suis convaincu que de nouveau vous lui donnerez votre soutien en ces jours critiques.
Vous connaissez mon histoire : comment quelques mots transmis par les doigts d'un autre, un rayon de lumière d'une autre âme, ont percé l'obscurité de mon esprit et m'ont permis de me découvrir, de découvrir le monde et Dieu. Grâce à mon institutrice, qui a appris à me connaître pour me libérer de cette prison sombre et silencieuse dans laquelle j'étais murée, je suis désormais capable d'agir pour moi-même et pour les autres. C'est d'attention, plus que d'argent, dont nous avons besoin. Sans la sympathie et l'attention, le geste est vide. Si vous vous sentez sincèrement concernés, si nous pouvons faire en sorte que les citoyens de ce grand pays s'impliquent réellement, les aveugles pourront triompher de leur cécité.
Pour la première fois, je n'ai pas envie de connaître la fin, ni même la suite de cette aventure. Je suis là, nue, sur le fauteuil, à regarder Julien qui dort ; je voudrais rester ainsi, stagnante, tiède, dans le silence où s'élèvent seules nos respirations régulières, sans plus devoir faire les gestes, dire les mots qui nous échangent et nous trahissent ; cette minute vraie et vivante, je l'étire en éternité.
Allons, mon bienheureux Alcibiade, suis mes conseils et crois-en l'inscription de Delphes : Connais-toi toi-même, et sache que nos rivaux sont ceux-là et non ceux que tu penses et que, pour les surpasser, nous n'avons pas d'autre moyen que l'application et le savoir.
Garde-toi, pour ta part, même si tu es très riche,
De te fier à ton état, et ne va pas, à l'égard des pauvres
Que nous sommes, te montrer méprisant.
Ta chance, toujours
Tu dois montrer au regard des autres que tu en es digne.Conservons par la sagesse ce que nous avons acquis par l'enthousiasme, et sachons faire aimer notre liberté républicaine à ceux même qui sont assez malheureux pour ne pas en connaître le sentiment.
A l'être que nous avons le plus aimé nous ne sommes pas si fidèles qu'à nous-même, et nous l'oublions tôt ou tard pour pouvoir - puisque c'est un des traits de nous-même - recommencer d'aimer.
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
Dans cette Europe humide et noire, comment alors ne pas recevoir avec un tremblement de regret et de difficile complicité, ce cri du vieux Chateaubriand à Ampère partant en Grèce : « Vous n'aurez retrouvé ni une feuille des oliviers ni un grain des raisins que j'ai vus dans l'Attique. Je regrette jusqu'à l'herbe de mon temps. Je n'ai pas eu la force de faire vivre une bruyère. » Et nous aussi, enfoncés, malgré notre jeune sang, dans la terrible vieillesse de ce dernier siècle, nous regrettons parfois l'herbe de tous les temps, la feuille de l'olivier que nous n'irons plus voir pour elle-même, et les raisins de la liberté.
L'amour ne saurait donc naître chez l'aimé que de l'épreuve qu'il fait de son aliénation et de sa fuite vers l'autre. Mais, de nouveau, l'aimé, s'il en est ainsi, ne se transformera en amant que s'il projette d'être aimé, c'est-à-dire si ce qu'il veut conquérir n'est point un corps mais la subjectivité de l'autre en tant que telle. Le seul moyen, en effet, qu'il puisse concevoir pour réaliser cette appropriation, c'est de se faire aimer. Ainsi nous apparaît-il qu'aimer est, dans son essence, le projet de se faire aimer. D'où cette nouvelle contradiction et ce nouveau conflit: chacun des amants est entièrement captif de l'autre en tant qu'il veut se faire aimer par lui à l'exclusion de tout autre ; mais en même temps, chacun exige de l'autre un amour qui ne se réduit nullement au « projet d'être-aimé ».
Je me souviens très bien qu'à cette époque je ne connaissais pas du tout l'impressionnisme et l'oeuvre de Gauguin nous a enthousiasmés pour elle-même, non contre quelque chose...
Peut-être ne fait-on jamais une chose pour elle-même, mais pour se donner le temps d'en venir à une autre qui, seule, nous ressemblera.
J'ai des yeux - il a des yeux. Je respire - il respire. Lui et moi, nous participons au même miracle de la vie. Mais combien de mondes nous faudrait-il franchir pour pouvoir nous regarder en face ? Et, pourtant, l'un comme l'autre, nous mourrons.

Juan José Saer
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Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Albertine Sarrazin
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Ménandre
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Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de Condorcet
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Marcel Proust
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Emmanuelle Bayamack-Tam
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Albert Camus
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Jean-Paul Sartre
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